Droit municipal au moyen age, Volume 2

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Popular passages

Page 423 - SaintMéry avait sonné l'angélus, les métiers cessaient de battre, l'ouvrage restait suspendu, et la cité, de bonne heure endormie, attendait le lendemain que le timbre de l'abbaye prochaine annonçât le commencement des travaux du jour.
Page 353 - Les chansons d'autrefois toujours nous les chantons : . . '• Oh ! nous ne sommes pas les derniers des Bretons ! ; Le vieux sang de tes fils coule encor dans nos veines , O terre de granit recouverte de chênes.
Page 416 - ... pensions; et souvent les chiens sont nourris du pain acheté des deniers du pauvre laboureur dont il devait vivre '. » C'est toujours et partout, d'ailleurs, le spectacle navrant d'une misère qui persiste jusqu'au bout.
Page 353 - Oui, nous sommes encor les hommes d'Armorique ! La race courageuse et pourtant pacifique! Comme aux jours primitifs la race aux longs cheveux, Que rien ne peut dompter quand elle a dit : Je veux! Nous avons un cœur franc pour détester les traîtres ! Nous adorons Jésus, le Dieu de nos ancêtres!
Page 491 - ... que le bien commun appartient , » mais à la communauté , corps immortel , composé de ceux qui » n'existent pas encore, comme des habitants actuels.
Page 306 - Si quis nativus quiete per unum annum et unum diem in aliqua villa privilegiata manserit, ita quod in eorum communem gyldam tanquam civis receptus fuerit, eo ipso a villenagio liberabitur.
Page 426 - Les fabriques sont très anciennes; on les a toujours réputées corps laïques, quoiqu'elles participassent autrefois aux privilèges ecclésiastiques, et quoique, dans presque toutes, les curés en fussent membres nécessaires. Les règlements des fabriques ne pouvaient être exécutés sans avoir été préalablement approuvés et homologués par les cours souveraines.
Page 147 - Les armées françaises répandues sur les bords du Rhin , de la Meuse et de la Moselle , depuis les frontières de Hollande jusqu'aux montagnes helvétiques , consistaient en trois corps principaux. L'un , sous le nom d'armée du...
Page 541 - Que chaque cité, dit le deuxième concile de Tours, en 567, nourrisse d'aliments « convenables les pauvres qui y sont domiciliés, suivant l'étendue de ses ressources ; « que les prêtres et les autres citoyens y contribuent, afin que les pauvres ne se ren« dent pas dans les autres localités.
Page 563 - Il ya une troisième sorte de religion plus bizarre, qui, donnant aux hommes deux législations, deux chefs, deux patries, les soumet à des devoirs contradictoires, et les empêche de pouvoir être à la fois dévots et citoyens.

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