| Maria Theresa (consort of Francis i, emperor of Germany.) - 1865 - 382 pages
...espèce de douceur de vie, à laquelle j 'avais renoncé, mais dontje vois que le goût ne m'avait pas quitté. Elle est aimable et charmante; j'ai passé...ma force pour trouver des jambes pour m'en aller." Jugez combien ce récit a de consolant et de touchant pour une mère qui aime si tendrement ses enfants.... | |
| 1865 - 956 pages
...Joseph écrivait à Marje-Thérè$e,: J'ai quitté Versailles avec peine, attaché vraiment à ma sœur. Elle est aimable et charmante ; j'ai passé des heures...ma force pour trouver des jambes pour m'en aller. ,,',.', naissance de la fille à laquelle celle grande souveraine donna son nom. Quelques jours plus... | |
| France - 1866 - 1054 pages
...trahis pas en mettant ses propres paroles, que je ne pourrois jamais rendre si bien : « J'ai quitté Versailles avec peine, attaché vraiment à ma sœur....des heures avec elle sans m'apercevoir comment elles s'écouloient. Sa sensibilité au départ étoit grande, sa contenance bonne; il m'a fallu toute ma... | |
| Maria Theresa (Empress of Austria) - Austria - 1866 - 454 pages
...une espèce de douceur de vie, a laquelle j'avais renoncé, mais dontje vois que le goût ne m'avait pas quitté. Elle est aimable et charmante; j'ai passé...ma force pour trouver des jambes pour m'en aller." Jugez combien ce récit a de consolant et de touchant pour une mère qui aime si tendrement ses enfants.... | |
| Maria Theresa (Empress of Austria) - 1866 - 448 pages
...espèce de douceur de vie, à laquelle j'avais renoncé, mais dontje vois que le goût ne m' avait pas quitté. Elle est aimable et charmante; j'ai passé...ma force pour trouver des jambes pour m'en aller." Jugez combien ce récit a de consolant et de touchant pour une mère qui aime si tendrement ses enfants.... | |
| Österreich Maria Theresia, Marie-Antoinette ((reine de France ;) - 1866 - 446 pages
...espèce de douceur de vie, à laquelle j'avais renoncé, mais dontje vois que le goût ne m'avaitpas quitté. Elle est aimable et charmante; j'ai passé...ma force pour trouver des jambes pour m'en aller." Jugez combien ce récit a de consolant et de touchant pour une mère qui aime si tendrement ses enfants.... | |
| tome soixante-troisieme - 1866 - 1084 pages
...une espèce de douceur de vie à laquelle j'avais renoncé, nuis dont je vois que le goût ne m'avait pas quitté. Elle est aimable et charmante; j'ai passé...il m'a fallu toute ma force pour trouver des jambes pou' m'en aller. » Voilà le moment précis où va s'ouvrir pour Marie-Antoinette une nouvelle période.... | |
| 1867 - 844 pages
...lettre ces justes éloges : « J'ai quille Versailles avec peine, attaché « vraiment à ma sœur. Elle est aimable et charmante ; « j'ai passé des heures et des heures avec elle san* « m'apercevoir comment elles s'écoulaient; sa sen« sibilité au départ étail grande, sa contenance... | |
| Alfred-Auguste Cuvillier-Fleury - France - 1868 - 480 pages
...une espèce de douceur de vie à laquelle j'avais renoncé, mais dont je vois que le goût ne m'avait pas quitté. Elle est aimable et charmante. J'ai passé...sensibilité au départ était grande, sa contenance bonne. // m'a fallu toute ma force pour trouver des jambes pour m'en aller... » Je n'ajoute rien : je sais... | |
| Alfred-Auguste Cuvillier-Fleury - France - 1868 - 456 pages
...une espèce de douceur de vie à laquelle j'avais renoncé, mais dont je vois que le goût ne m'avait pas quitté. Elle est aimable et charmante. J'ai passé...sans m'apercevoir comment elles s'écoulaient. Sa sensibililé au départ élait grande, sa contenance bonne. Il m'a fallu toute ma force pour trouver... | |
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