Histoire de France depuis la mort de Louis XVI jusqu'au traité de paix du 20 novembre 1815, Volume 1Janet et Cotelle, 1821 - France |
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Common terms and phrases
Anglois armée armées du Rhin armes arrêter arriva assignats attaque auroit avoient avoit Billaud-Varennes blique Buonaparte canon cent citoyens çois comité de salut commandant commandoit conseil conspiration constitution convention corps législatif courage Couthon crime Danton décret députés devoient devoit directoire disoit division Dumouriez ennemis esprit étoient étoit faisoient faisoit falloit foible force fran fructidor général en chef girondins gouvernement guerre heures jacobins Jourdan journée jours justice l'armée l'assemblée l'Autriche laisser liberté long-temps Louis XVI madame Roland Marat mée membres ment militaires mille hommes ministre Moreau mort n'avoient n'avoit n'étoient n'étoit nation paix patrie patriotes pendant peuple Pichegru politique pouvoir prairial premier prince rent répu républicains république de Venise république françoise resta révolutionnaire Rhin Robespierre royalistes Saint-Just salut public sang Santhonax scélérats sections seroit seul soldats sort Stofflet succès talents terreur tête tion tour du Temple tribunal tribunal révolutionnaire tribune troupes tyran Vendéens vengeance venoit vention vouloient
Popular passages
Page 58 - qui travaille et celui qui l'emploie. La résistance à l'oppression est la conséquence des autres droits de l'homme. Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits
Page 84 - des ci-devant nobles , ensemble les maris , les femmes , pères , mères , fils ou filles , frères ou sœurs et agents d'émigrés, qui n'ont pas constamment manifesté leur attachement à la révolution. « Les tribunaux civils et criminels pourront, s'il ya lieu , faire retenir en état d'arrestation, comme gens suspects, et envoyer dans les maisons de détention cidessus énoncées , les prévenus de délits
Page 35 - Ecoutez ce que je vais vous dire : si le fer étoit porté au sein de la représentation nationale, je vous le déclare au nom de la France entière, Paris seroit anéanti. Oui, la France entière tireroit vengeance de cet attentat, et l'on chercheroit bientôt
Page 378 - jusqu'ici battus pour des rochers stériles. Illustrés par votre courage, mais inutiles à la patrie, vous égalez aujourd'hui, par vos services, l'armée conquérante de Hollande et du Rhin. Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts , fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain. Les phalanges
Page 378 - de vos ennemis, sont aujourd'hui confondus et tremblants (i). « Mais, il ne faut pas vous le dissimuler , soldats, vous n'avez rien fait, puisqu'il vous reste encore à faire. « Ni Turin , ni Milan ne sont à vous ; les cendres des vainqueurs des Tarquins sont
Page 154 - la représentation nationale, et le gouvernement révolutionnaire, dont elle est le centre ; « Ceux qui auront trahi la république dans le commandement des places ou de l'armée, entretenu des intelligences avec les ennemis de la république, travaillé à faire manquer les approvisionnements et le service des armées ;
Page 420 - et votre sainteté est signée. Je me félicite d'avoir pu contribuer à son repos particulier. J'engage votre sainteté à se défier des personnes qui sont à Rome , vendues aux cours ennemies de la France > ou qui se laissent exclusivement gouverner par des passions haineuses, qui entraînent toujours la perte des états. Toute l'Europe
Page 443 - dant le sang va couler plus que jamais. Cette sixième campagne s'annonce par des présages sinistres : quelle qu'en soit l'issue, nous tuerons de part et d'autre quelques milliers d'hommes de plus , et il faudra bien qu'on finisse par s'entendre,
Page xii - sensible et généreux, les dernières paroles de l'infortuné furent, comme sa vie, consacrées à la liberté. Je suis satisfait, disoit-il en expirant, de verser mon sang pour la patrie, j'espère qu'il servira à consolider la liberté, l'égalité et la souveraineté du peuple. « Oui, ta mort, ô Le Pelletier ! sera utile à la république : ta mort est une victoire sur la tyrannie.
Page 61 - user d'artifice avec un monstre, elle lui écrit la lettre suivante : « Citoyen, j'arrive de Caen. Votre amour pour la patrie me fait présumer que vous connoîtrez avec plaisir les malheureux événements de cette partie de la république. Je me présenterai