Il chercha le jardin, la maison isolée, La grille d'où l'œil plonge en une oblique allée, Les vergers en talus. Pâle, il marchait. — Au bruit de son pas grave et sombre Il voyait à chaque arbre, hélas ! se dresser l'ombre Des jours qui ne sont... Les voix intérieures: Les rayons et les ombres - Page 248by Victor Hugo - 1844 - 294 pagesFull view - About this book
| Victor Hugo - 1840 - 198 pages
...âmes confondues Avaient lout oublié! Il chercha le jardin, la maison isolée, La grille d'où l'œil plonge en une oblique allée, Les vergers en talus....marchait. — Au bruit de son pas grave et sombre II voyait à chaque arbre, hélas! se dresser l'ombre Des jours qui ne sont plus ! Il entendait frémir... | |
| Victor Hugo - 1840 - 228 pages
...marchait.— Au hruit de son pas grave et somhre II voyait à chaque arhre, hélas! se dresser l'omhre Des jours qui ne sont plus ! Il entendait frémir...la forêt qu'il aime Ce doux vent qui, faisant tout vihrer en nous-mémc. Y réveille l'amour, Et, remuant le chêne ou halançant la rose, Semhle l'âme... | |
| Victor Hugo - 1842 - 944 pages
...âmes confondues Avaient lout oublié! Il chercha le jardin, la maison isolée. La grille d'où l'œil qui lavent le gazon? Et, sur les coteaux verts dont...s'emplit l'horizon, Les immenses troupeaux aux f cl sombre II voyait à chaque arbre, hélas! se dresser l'ombre Des jours qui ne sont plus ! H entendait... | |
| Victor Hugo - 1855 - 612 pages
...oblique allée Les vergers en talus. Pille, il marchait. — Au bruit de son pas grave et sombre II voyait à chaque arbre, hélas! se dresser l'ombre...qu'il aime Ce doux vent qui, faisant tout vibrer en nous-méme, Y réveille l'amour. Et, remuant le cliôae ou balançant la rosé. Semble l'âme de tout... | |
| Victor Hugo - 1869 - 488 pages
...àmes confondues Avaient tout oublié! Il chercha le jardin, la maison isolée, La grille d'où l'œil plonge en une oblique allée, Les vergers en talus. Pâle, il marchait. — Au bruitde son pas grave et sombre, II voyait à chaque arbre, hélas ! se dresser l'ombre Des jours qui... | |
| Narcisse Michaut - Imagination - 1876 - 334 pages
...présent fait avec le passé un trop violent contraste. On connaît la plainte immortelle d'Olympio : « Pâle, il marchait, au bruit de son pas grave et sombre,...! se dresser l'ombre « Des jours qui ne sont plus « O douleur ! j'ai voulu, moi, dont l'âme est troublée, « Savoir si l'urne encore conservait la... | |
| Narcisse Michaut - Imagination - 1876 - 334 pages
...la plainte immortelle d'Olympio : « Pâle, il marchait, au bruit de son pas grave et sombre, « II voyait à chaque arbre, hélas ! se dresser l'ombre « Des jours qui ne sont plus « O douleur ! j'ai voulu, moi, dont l'âme est troublée, « Savoir si l'urne encore conservait la... | |
| Victor Hugo - 1880 - 618 pages
...âmes confondues Avaient tout oublié. Il chercha le jardin, la maison isolée, La grille d'où l'œil plonge en une oblique allée, Les vergers en talus....qu'il aime Ce doux vent qui, faisant tout vibrer en nous.mème, Y réveille l'amour, Et, remuant le chêne ou balançant la rose, Semble l'âme de tout... | |
| Eleanor Vere Boyle - Poetry - 1885 - 322 pages
...choses. Mais quoi ! me crois-tu donc assez fou Pour rêver L'eternité des Roses ? Victor Hugo. V '8s3' L entendait frémir dans la forêt qu'il aime Ce doux vent qui, faisant tout vibrer en nous-mômc, Y réveille l'amour, Et remuant le chêne ou balançant la Rose, Semble l'âme de tout... | |
| Ferdinand Brunetière - French poetry - 1894 - 344 pages
...cœur s'est répandu ; et plus loin : Pâle, il marchait. — Au bruit de son pas grave et [sombre, II voyait à chaque arbre, hélas! se dresser l'ombre Des jours qui ne sont plus... ; ou encore : II contempla longtemps les formes magnifiques Que la nature prend dans les champs pacifiques...;... | |
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