HistoireChez Dandré ... Obré, 1796 - Chronology, Chinese |
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Allemands Amazones Ammien anciens apprend Arbogaste Arimaspes armée avoient pris avoit Barbares Bastarnes Bataves bords Borysthene Callinus Chamaves Chersonèse Cimbres Cimmériens Claudien Cluvier colonie Constans Constantin d'Hérodote Danube demeurerent devoient différens écrivains empereur établis étoient étoit Euxin expédition faisoit femmes fleuve Fréret frontiere garnisons Gaule Gaulois Goths Gratien Grecs guerre guerrieres habitoient Hérodote Hist Huns Hyperboréens Julien jusqu'à l'an l'Asie mineure l'em l'empereur l'histoire l'invasion l'Italie l'occident l'orient langue ligue long-temps Lygdamis magister militum Magnentius Marcomans Maximien Mayence Merobaudes n'avoit n'étoit nations Germaniques nom de Sicambre nomme nord notice de l'empire occupoient Pannonie parle particuliere passa le Rhin passerent pays situés Perses peuples Pline poëte portoient pouvoient pouvoit premiere prince regne Rhin Ricimer rois s'étoient emparés Saliens Sardes Sarmates Sauromates Sauromatides Saxons Scythes Sicambres siecle signifie Silvanus Sinope soldats Stilicon Strab Strabon Sueves Sunnon systême Tacite Tanaïs Tartares Théodose Thermodon tion troupes Romaines trouve Valentinien voisins voyons Zozime
Popular passages
Page 270 - Les Saliens, dit Fréret, sont ceux qui ont fondé la monarchie française, comme on le voit parce que leur loi, sous le nom de Salique/ a été regardée comme la loi commune de toute la nation f.
Page 155 - SUR L'ORIGINE DES FRANÇAIS. ( Analyse. ) ON ne doute plus aujourd'hui, dit Fréret, que les Français ne soient originaires de la Germanie; et l'opinion qui les fait descendre des Troyens par un Francus, fils d'Hector, ou sortir des marais du Tanaïs, est abandonnée de tout le monde.
Page 162 - Francs sont une nation ou plutôt une ligue de différens peuples de la Germanie, établis sur le Rhin, en remontant depuis son embouchure jusqu'à Cologne, et composée à peu près des mêmes peuples qui, du temps de César, formaient la ligue des Sicambres. Ces Francs , ligués pour se mettre à couvert de l'invasion des Romains, ne se tinrent pas toujours sur la défensive ; ils passèrent souvent le Rhin, et vinrent enfin à bout de se jfàire nn établissement fixe dans la Gaule, long-temps...
Page 163 - Ces deux nations sont devenues si considérables qu'elles ont compris par la suite le corps entier des Francs , comme on le voit par leurs anciennes lois , dont les deux codes portent le nom , l'un de Lois sa~ tiques , et l'autre de Lois ripuaires.
Page 162 - En travaillant à démêler l'origine de la nation française, Fréret observe qu'il ne s'est proposé aucun système particulier, mais que ce système s'est trouvé fait de lui-même à la fin du travail. On n'en rappellera ici que les principaux points. Les Francs sont une nation ou plutôt une ligue de différens peuples de la Germanie, établis sur le Rhin, en remontant depuis son embouchure jusqu'à Cologne, et composée à peu près des mêmes peuples qui, du temps de César, formaient la ligue...
Page 112 - Nation, eft fuffifamment atteftée par les relations de divers Européens , témoins oculaires ; par la guerre que les Portugais du Congo eurent à foutenir contre cette Reine \ par le Traité qu'ils firent avec elle ; enfin par fa converfion au Chriraanifme, Si par fon mariage avec le jeune Portugais qu'elle épouia dans un âge très-avancé.
Page 196 - D'où vient que cet événement est demeuré inconnu à tous les historiens romains et français ? D'où vient que les premiers commencent à parler des Francs, sans rien dire de leur établissement , si ce n'est parce que cette ligue s'étant formée tout d'un coup, sans guerre et sans conquête, par la seule liaison des anciens habitans du pays, qui se réunirent par un traité? Les Romains ne connurent le nom de Francs que par les premières entreprises des nations liguées contre les peuples...
Page 202 - Nous trouvons dans les monumens de l'ancienne langue germanique qui sont venus. jusqu'à nous, plusieurs noms dont le son et la signification se rapportent assez à cette étymologie du nom des Francs. Dans le glossaire joint par Struonsulsmus à l'édition de l'Evangile en langue gothique, on trouve frakanj mépriser, outrager (i); ij se venger, persécuter (i) ; vrakiaj persécution (2) ; frackimenj détruire ; frousktanj craindre (3).
Page 196 - ... très-nombreuse. Si cette nation avait quitté ses premiers établissemens pour chercher une nouvelle demeure vers les bords du Rhin, il aurait fallu qu'elle eût chassé les anciens habitans de ce pays, qui était très-peuplé , et que ceux-ci eussent été chercher une retraite ailleurs, ce qui n'aurait pu se passer sans une guerre et sans des combats dont les Romains, en garnison sur le Rhin , auraient été témoins. Que sont devenus ces peuples chassés par les Francs ? Leibnitz n'en dit...
Page 5 - Le mot Kember et Kemper s'y trouve employé pour désigner celui qui s'engage dans le service militaire pour une solde, ou par l'espoir du pillage; voilà pourquoi Sidonius les appelle populatores: le mot Kember, dans son origine, signifiait proprement un homme robuste, un lutteur. Sabbathier, Dict . art. CIMBRES. •i33. — HosTitts DR1CONES. — « Le dragon était un signe militaire de...