Hippocrate: le serment : la loi : de l'art : du médecine : prorrhétiques : le prognostic : prénotions de Cos : des airs, des eaux et des lieux : épidémies, livres I et III : du régime dans les maladies aigues : aphorismes : fragments de plusieurs autres traités |
Common terms and phrases
abondantes aphorisme apyrexie Aurélianus Bâle bilieuses cause causus Celse cerveau chaleur chaud choses Coaq Coaques coction commentaire de Galien constitution Coray corps crachats crise d'Hippocrate Damascius délire dépôt diathèse Dietz Dioscoride douleurs dyspnée eaux empyèmes Epid Épidémies Ermerins Érotien espèce Étienne évacuations femmes fièvre fièvre aiguë flux Foës frisson froid funeste Gloss hémorragie hémorroïdes Hippocrate hydropisies hypocondres interprétation J'ai suivi jour l'aph l'auteur l'hypocondre l'urine lades leçon Littré livide livre lombes Mack maladies aiguës manuscrits matières mauvais médecine ment Morb note OEcon Oribase parotides paroxysmes passage pernicieux petites sueurs phlegme phrenitis phthisie plaies pocrate poumon Pronost Pronostic Prorrh Prorrhétique ptisane purgatifs refroidissement régime respiration reste s'il saisons Samb sang selles semble sent seulement signes signifie spasmes suite suivant Galien suppuration surtout survient symptômes tantôt tétanos tête texte vulgaire porte Théophile tion traduit traité des Airs tumeurs ulcères urines urines ténues vessie vomissement vulg καὶ
Popular passages
Page xxxiv - Épidémies , il est dit qu'il ya dans les maladies deux choses : « Soulager ou ne pas nuire; que l'art est constitué par trois termes : la maladie, le malade, le médecin; que le médecin est le ministre de l'art, et que le malade doit concourir avec le médecin à combattre son mal. • Dans le traité du Pronostic...
Page xxxv - Des-Airs; des Eaux et des Lieux (§1), Hippocrate veut que le praticien, en arrivant dans une ville, recueille toutes les données qui peuvent l'éclairer sur la nature et le traitement des maladies qui se présenteront à son observation. Dans le Serment, il est parlé, en très-beaux termes, des devoirs du médecin envers ceux qui lui ont enseigné son art, de la sainteté de sa vie, de sa discrétion, de sa réserve dans ses rapports avec les malades, et du soin qu'il doit avoir d'écarter d'eux...
Page 308 - II est facile de constater qu'un régime mauvais pour le boire et pour le manger, mais toujours le même, est ordinairement plus salutaire à la santé que s'il était tout à coup et [notablement] changé en un meilleur, puisque, soit...
Page xxxiv - Articulations contient cette phrase remarquable et qui •-'applique à notre temps comme à celui d'Hippocrate : « Quand il existe plusieurs procédés, il faut choisir celui qui fait le moins d'étalage; quiconque ne prétend pas éblouir les yeux du vulgaire par un vain Appareil, sentira que telle doit être la conduite d'un homme d'honneur et d'un véritable médecin.
Page 210 - ... uniformes. En effet, l'esprit n'y ressent point ces commotions, et le corps n'y subit pas ces changements intenses qui rendent naturellement le caractère plus farouche, et qui lui donnent plus d'indocilité et de fougue qu'un état de choses toujours le même; car ce sont les changements du tout au tout qui éveillent l'esprit de l'homme et ne le laissent pas dans l'inertie. C'est, je pense, à ces causes extérieures qu'il faut rapporter la pusillanimité des Asiatiques, et aussi à leurs institutions...
Page 210 - ... ne pas paraître guerriers, car les périls ne sont pas également partagés. C'est contraints par la force qu'ils vont à la guerre, qu'ils en supportent les fatigues, et qu'ils meurent pour leurs despotes, loin de leurs enfants, de leurs femmes et de leurs amis. Tous leurs exploits et leur valeur guerrière ne servent qu'à augmenter la puissance de leurs despotes ; pour eux, ils ne recueillent d'autre fruit que les dangers et la mort.
Page 173 - ... introduisons en nous et qui nous fait vivre. On reconnaîtra de la manière suivante l'une et l'autre espèce de maladies : quand plusieurs individus sont attaqués en même temps par une même maladie, il faut penser que la cause est commune , et qu'elle tient à quelque chose dont tout le monde use ; et ce quelque chose , c'est l'air que nous respirons. Car il est évident que le régime particulier de chacun ne saurait être la cause d'une maladie qui s'étend sur les jeunes, sur les vieux,...
Page xxxvi - Il est de l'essence de ces deux sciences de faire éviter l'intempérance , le charlatanisme, l'insatiable avidité, les appétits déréglés, la rapine, l'impudence. Elles apprennent aussi à bien apprécier ceux avec lesquels on est en rapport; elles donnent le sentiment des devoirs de l'amitié; elles enseignent la manière de diriger convenablement et à propos ses enfants et sa fortune. Une certaine philosophie est donc unie à la médecine, car elle trouve dans l'étude des maladies et de...
Page 373 - Ce que les médicaments ne guérissent pas, le fer le guérit; ce que le fer ne guérit pas, le feu le guérit; ce que le feu ne guérit pas doit être regardé comme incurable.
Page 311 - ... avec de la farine mêlée [au son] , et aussi la maza sèche , ou humide ou gluante ; quels effets produit la farine d'orge fraîche chez les individus qui n'y sont pas accoutumés, et quels effets produit la farine ancienne chez ceux qui sont habitués à la farine récente ; [enfin...