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La maison du sieur de Bellefontaine, occupée par Clair Thomas, en la grande rue. La maison de Denis Guillon, représentant Jeanne Bénard, occupée par lui, en la grande rue.

La maison que tient la veuve Guillaume Bénard, venant de Louis Bénard, en la grande rue.

La maison de Jean-Baptiste Raguet, occupée par lui, en la grande rue.

La maison appartenant à Nicolas Leger, d'Aincourt, et à la femme de David Auger, représentant Nicolas Lamette, en la grande rue, occupée par ledit Auger.

La maison de Toussaint Thomas, représentant François Thomas, non occupée, en la grande rue.

Une portion de la maison des héritiers Louis Maurice, occupée par Marie Bénard, sa veuve, en la grande rue.

La maison de la veuve Philippe Chevalier, représentant Louis Havard, occupée par elle, près l'ormeteau.

La maison de Nicolas et Françoise Richomme, représentant Aignan Trognon, occupée par eux, rue du Bois.

La maison de la veuve Samuel Préaux, représentant Jean-Martin Laine, occupée par la veuve Buisson, rue du Bois.

La maison de Christophe Patenôtre, représentant Jean-Martin le jeune, occupée par Louis Richomme, en la rue du Bois.

La maison de la veuve Chevalier, représentant René Martin, occupée par Jacques Denise, rue du Bois.

La maison des héritiers Émery, représentants Nicolas Bénard, occupée par la veuve Guillaume Bénard et autres, rue du Bois.

La maison des héritiers Pierre Bréault, occupée par Aignan Lamette, lieu dit la Glaisière.

La maison de Claude Lamette, représentant Charles-Joseph Lamette, occupée par la veuve Guillaume Bénard, audit lieu de la Glaisière.

La maison de Nicolas Havard, occupée par Martine Leguay, sa veuve, et Nicolas Havard, son fils, lieu dit la Ruelle Bailli.

La maison de Louis Havard, occupée par lui et par André Havard, son fils, en la grande rue.

État des maisons de Chaussy relevant du fief de Saint-Ansbert

La ferme, lieux et bâtiments de la seigneurie de Saint-Ansbert, tenus par Denis Pajot, rue du Val.

Une maison appartenant à Pierre Imbert, occupée par lui, rue du Val.

La maison d'Antoine Imbert, occupée par lui, rue du Val.

La maison de Jacques Imbert, occupée par lui, rue du Val.

La maison de Pierre Trippé, occupée par lui, rue du Val.

La maison de Crespin Trippé, occupée par lui, rue du Val.

La maison des mineurs Louis Pilteau, occupée par Marie Delaisse, sa veuve, rue du Val.

Une autre maison des mêmes, occupée par Pierre-Ansbert Pilteau, l'un d'eux, rue du Val.

La maison de Marie Trippé, veuve de Pierre-Gilles Fleurier, rue du Val.

La maison des enfants mineurs de Pierre Gautrin et de Marguerite Huon, occupée par eux, rue du Val.

La maison de Jean Cachot, rue du Val, occupée par lui.

La maison de Pierre Imbert fils de Pierre, occupée par lui, rue du Val.

La maison de Pierre Pilteau, dit La Caille, occupée par lui, rue du Val.

La maison de Nicolas Pigeon, représentant les Lefèvre, de Vétheuil, occupée par lui, rue du Val.

La maison de Crespin Lemarié, rue du Val, occupée par lui.

La maison de Louis Huppé, dit Petit Ail, occupée par lui, rue du Val.

La maison de Charles Pavain, occupée par lui et par son fils, rue du Val, lieu dit les Tillots.

La maison de Pierre-Ansbert Lemarié, occupée par lui, rue du Val.

La maison de Pierre Édeline, occupée par lui, rue du Val.

La maison de Denis Pajot, occupée par Louis Gautrin, rue du Val.

Une maison en masure appartenant à Jean-François Daret, maréchal, à cause de Marie-Anne Huppé, sa femme, rue du Val.

La maison d'Eustache Gautrin, occupée par la veuve Pierre Yon, rue Pavée. La maison de Marie-Louise Scache, veuve en premières noces de Pierre Luce et femme en secondes de Jean-Vincent Mignard, rue Pavée.

Une autre maison venant de la même, actuellement à Noël Bellanger, rue Pavée. La maison appartenant audit Noël Bellanger de son propre et par lui occupée, rue Perdue.

La maison de Louis Renaud, fils de François, occupée par Marie Fleurier, sa veuve, rue Pavée.

La maison de Nicolas de Chérence, occupée par lui, rue Pavée.

La chambre d'Antoine Sarrazin, occupée par lui, rue Pavée.

Un bassier appartenant à Françoise Sarrazin, veuve de Gervais Santerre, rue Pavée.

La maison de Pierre Ansbert, représentant Vital Périchon, rue Perdue.

La maison appartenant à Noël Bellanger de son propre et par lui occupée, rue Perdue.

La maison de Louis Huppé, dit grand Louis, occupée par lui, rue Perdue.
La maison de la veuve Petit Jacques, occupée par elle, rue Perdue.

La maison de Jean-Baptiste Crêvecœur, occupée par Pierre Huppé, rue Perdue. La maison des sieur et dame Meslin, de Magny, actuellement appartenant à la veuve Jean-Baptiste Pajot des Bergeries, occupée par Romain Rouïllard en la rue qui conduit à Saint-Ansbert.

La maison de Catherine Lemarié, femme de Louis Mignard, occupée par eux, en la rue de Saint-Ansbert.

La maison de Louise Carneville, femme d'Adrien Gilles, occupée par eux, rue Courte Soupe.

La maison de Madeleine Gautrin, femme de Charles Vaultier, occupée par eux, rue Courte Soupe.

La maison de Marie-Louise Trippé, femme de Louis Huon, occupée par eux, rue de l'Estre.

La maison de Jacques Tubeuf, occupée par lui, rue de l'Estre.

Une maison en masure appartenant à Anne Scache, veuve Jean Édeline, et à Françoise Chéron, femme de Pierre Lefebvre, rue de l'Estre, proche le cimetière.

État des maisons de Guernes qui relèvent immédiatement du bailliage de Magny

DANS LE BAS DU VILLAGE

La maison de Simon Legendre.

Celle de Lubin Levasseur.

Celle de Charles-Vincent Ledebt.

Celle d'André Caron.

Celle de Vincent Caron.

Celle de Denis Ledebt, fils de Philippe.

Dans le centre du Village depuis le CimETIÈRE JUSQU'Au bas

La maison de la veuve Jean-Baptiste Marc.

Celle de la veuve Jacques Provost.

Celle de Philippe Ledebt, fils de Guillaume.

Celle de Guillaume Laurent.

Celle des héritiers Ledebt.

Celle de François Ledebt.

Celle de François Fortin.

Les maisons de la Cour aux Prévots, à la réserve d'une ou deux au bout de ladite Cour.

La maison de Nicaise Legendre.

La maison de Jacques Legendre.

Celle de Simon Legendre, fils de Simon.

Celle d'Anne Mention.

Celle de Pierre Barbu.

Celle du sieur Demetz, frère du curé deffunt.

La maison presbytérale.

Les maisons de la Cour aux Bréants, vis-à-vis l'église, à la réserve de celle de la veuve Pierre Bréant.

La maison de Georges Prévost.

Celle de Jean Chanu l'ainé.

Celle de Christophe Mention.

Celle de Jean Legendre.

Celle de la veuve Le Beuf et de son fils.

Celle d'Eustache Bréval.

Celle de Jean Marc et autres, situées dans le même centre.

DANS LA RUE QUI CONDUIT DU CIMETIÈRE A SAINT-MARTIN

La maison de Georges Mention.

La maison de Jean Marc, fils d'Eustache.

Celle de la veuve Jacques-Nicolas Demansel.

Celle de Pierre-Clair Marc.

Celle de Mathieu Legendre.

DANS LA RUE qui descend DU CIMETIÈRE AU BORD DE L'Eau

Partie des lieux de Jean Ledebt dit Baron.

Partie de ceux de Jean Bréval.

Partie de ceux d'Antoine Hottot et de même de tous ceux qui sont sur le même alignement. En général toutes les maisons qui sont au centre et en dedans du village de Guernes relèvent immédiatement du bailliage, et celles qui sont autour dudit village vers les champs, dépendent en première instance de la justice du lieu.

Il y a des bornes en quelques endroits qui marquent la séparation des deux districts.

Dans l'état ci-dessus on n'a point, faute d'instructions suffisantes, distingué les propriétaires d'avec les locataires, comme on a fait dans les deux autres états.

État des maisons du hameau des Milonnets ou Moulinets qui relèvent du bailliage en première instance

La ferme et le moulin d'Orgueil, appartenant à Madame la duchesse d'Enville. La maison de la veuve Louis Hua et de son fils.

Le moulin du seigneur de Villers.

La maison de Jean Abraham.

Celle des héritiers de Pierre Abraham.

Celle de Nicolas Roullé.

Celle de Nicolas Prévost.

La maison de la veuve Antoine Ozanne.

Celle de Jacques Cauchois.

NOTA.

Le chemin de Meulan sépare le ressort immédiat du bailliage d'avec le district de la justice de la Roche-Guyon.

NOTICE ARCHÉOLOGIQUE

SUR

L'ÉGLISE DU BELLAY

(SEINE-ET-OISE)

Par M. LÉON PLANCOUARD

Officier d'Académie

Correspondant du Ministère et du Comité des Sociétés des Beaux-Arts des départements

Membre de la Société historique du Vexin

L

A paroisse du Bellay (1) dépendait, avant 1789, du diocèse de Rouen, de l'archidiaconé du Vexin français et du doyenné de Magny. L'abbé de Saint-Martin de Pontoise présentait à la cure (2) en vertu de la donation faite par les de Gisors. Sous Thibaut II, abbé de Saint-Martin, « le conte de Gisors donna confirmation des bienfaits que ses ancêtres et lui personnellement avaient faits à Saint-Martin de la troisième partie des dîmes du Bellay dans le Vexin (3) ».

(1) Seine-et-Oise, arrondissement de Pontoise, canton de Marines.

(2) Pouillés du diocèse de Rouen depuis le milieu du xv° siècle. Années 1439 et 1505 et documents divers du fond de l'archevêché aux archives de la Seine-Inférieure. On lit dans un arrêt rendu, le 4 février 1743, en faveur de l'Hôtel-Dieu de Paris, qu'en 1505 le seigneur de Fresne-l'Aiguillon (Oise) présentait à la cure du Bellay.

(3) Histoire de Saint-Martin. Manuscrit de Pihan de la Forest. [Bibl. de Pontoise]. Aucun personnage historique n'a été comte de Gisors au Moyen âge. Il n'y avait que des châtelains. Pihan a fait une erreur due à la création d'un titre de cour au XVI siècle, transformé en duché en 1742.

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