Revue des deux mondes, Volume 55Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1883 - France |
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affaires Aleth animaux assez avaient Bartley Benvenuto Benvenuto Cellini bosniaque Bosnie Brégy c'était catholiques Cellini chambre chemins de fer Choquard chose chrétiens Cimon classique cœur compagnies conscience coup devant Dieu dire disait Doboj donner Égypte élémens enfans esprit eût faisait femme fille François Ier Frédéric fût gens gouvernement Herzégovine heures homme Hyperbolos idées j'ai jamais Jean Boulogne jour l'avait l'état l'homme l'ostracisme laisser Larrazet Léon Say Lesape lui-même main Marcia mari Mariette ment Michel ministre Mme Paluel Monaco monde Montaillé Monte-Carlo morale mort Mostar musulmans n'avait n'était non-seulement œuvre parler passé pays paysan peine pensée Périclès Perrusson personne petite peuple peut-être politique Polydore porte pouvait premier prince Prusse public qu'un question raïas raison regard religieuse république reste rien Robert romantisme Russie s'est s'était s'il savait semble sentimens sentiment serait Serajewo Serbie seul siècle Slaves sorte Sutaïef terre tête Thémistocle tion Trawnik trouve Turcs voilà vrai yeux
Popular passages
Page 611 - N'osant rien demander et n'ayant rien reçu. Pour elle, quoique Dieu l'ait faite douce et tendre, Elle ira son chemin, distraite, et sans entendre Ce murmure d'amour élevé sur ses pas; A l'austère devoir pieusement fidèle, Elle dira, lisant ces vers tout remplis d'elle : « Quelle est donc cette femme ?
Page 610 - Mon âme a son secret, ma vie a son mystère, Un amour éternel en un moment conçu : Le mal est sans espoir, aussi j'ai dû le taire, Et celle qui l'a fait n'en a jamais rien su. Hélas! j'aurai passé près d'elle inaperçu, Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire; Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre, N'osant rien demander et n'ayant rien reçu. Pour elle, quoique Dieu l'ait faite douce et tendre, Elle suit son chemin, distraite, et sans entendre Ce murmure d'amour élevé...
Page 610 - MON âme a son secret, ma vie a son mystère; Un amour éternel en un moment conçu : Le mal est sans espoir, aussi j'ai dû le taire, Et celle qui l'a fait n'en a jamais rien su. Hélas ! j'aurai passé près d'elle inaperçu , Toujours à ses côtés , et pourtant solitaire , Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre, N'osant rien demander et n'ayant rien reçu. Pour elle, quoique Dieu l'ait faite douce et tendre...
Page 96 - En présence de Dieu, je jure d'observer fidèlement la Charte constitutionnelle avec les modifications exprimées dans la déclaration ; de ne gouverner que par les lois et selon les lois; de faire rendre bonne et exacte justice à chacun selon son droit, et d'agir en toutes choses dans la seule vue de l'intérêt, du bonheur et de .la gloire du peuple français.
Page 96 - J'ai lu avec une grande attention la déclaration de la Chambre des députés et l'acte d'adhésion de la Chambre des pairs. J'en ai pesé et médité toutes les expressions. J'accepte, sans restriction ni réserve, les clauses et engagements que renferme cette déclaration, et le titre de roi des Français qu'elle me confère, et je suis prêt à en jurer l'observation.
Page 886 - Maintenant que le nom du roi pénètre aux parties du monde les plus inconnues, et que ce prince étend aussi loin les recherches qu'il fait faire des plus beaux ouvrages de la nature et de l'art, ne...
Page 794 - Le besoin de connaître retourné sur le moi est puni, comme la curiosité de Psyché, par la fuite de la chose aimée. La force doit rester mystérieuse à elle-même ; dès qu'elle pénètre dans son propre mystère elle s'évanouit.
Page 118 - Les créanciers devront, dans les trois mois de la promulgation du présent décret, adresser leurs demandes et produire leurs titres au liquidateur général. Jusqu'au 31 décembre 1849, il ne pourra être intenté d'action ni exercé de poursuites sur les biens séquestrés. Art. 3. — Le liquidateur général pourra, dans l'intérêt de la liquidation, stipuler toutes hypothèques et prendre toutes inscriptions sur les biens compris dans le séquestre, en son nom, pour la masse des créanciers....
Page 98 - ... du roi Louis-Philippe, la reconnaissance la plus formelle de cette règle fondamentale, puisqu'il fallait tant de précautions pour l'éluder; Qu'on exciperait vainement de ce que l'union au domaine public des biens du prince ne devait résulter que de l'acceptation de la couronne par celui-ci, et de ce que cette acceptation n'ayant eu lieu que le 9 août, la donation consentie le 7 du même mois avait dû produire son effet ; Considérant qu'à cette dernière date LouisPhilippe n'était plus...
Page 332 - ... de 89, il vit avec défiance et inquiétude l'un et l'autre de ces deux régimes. C'est lui qui proposa au sénat la déchéance de Napoléon le 2 avril 1814. Sous la Restauration, il vécut dans l'opposition et dans la retraite. En 1832 , il fut appelé à faire partie de la section de philosophie de l'Académie des Sciences morales et politiques reconstituée , et il mourut peu de temps après, en 1836.