fait signe de la main. Puis, élevant la voix : Écoute, ô Axa, lui dit-il, mon vœu solennel! Puisque je ne puis être à toi, je ne serai jamais à nulle autre : le seul souvenir de nos jeunes ans, que l'innocence et l'amour ont embellis, me suffit. Jamais le fer n'a passé sur ma tête, jamais le vin n'a mouillé mes lèvres; mon corps est aussi pur que mon cœur : prêtres du Dieu vivant, je me voue à son service; recevez le Nazaréen du Seigneur. Aussitôt, comme par une inspiration subite, toutes les filles, entraînées par l'exemple d'Axa, imitent son sacrifice, et, renonçant à leurs premières amours, se livrent aux Benjamites qui les suivaient. A ce touchant aspect il s'élève un cri de joie au milieu du peuple : Vierges d'Éphraïm, par vous Benjamin va renaître. Béni soit le Dieu de nos pères ! il est encore des vertus en Israël. Pages. Discours sur cette question: Le rétablissement des sciences Lettre de J.-J. Rousseau à M. Philopolis. Du Contrat social, ou principes du droit politique. 1 ib. ib. 3 29 143 151 Du droit du plus fort. De l'esclavage. Qu'il faut toujours remonter à une première convention. Du pacte social. Du souverain. · De l'état civil. VIII. 152 ib. 154 155 159 160 162 164 165 Jugement sur le projet de paix perpétuelle de M. l'abbé de Mandement de M. l'archevêque de Paris, portant condamna- tion d'un livre qui a pour titre : Émile ou de l'éducation. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève, à Christophe de Beau- J.-J. Rousseau, citoyen de Genève, à M. d'Alembert, sur son article Genève, dans le septième volume de l'Encyclopédie, et particulièrement sur le projet d'établir un théâtre de co- Quatre lettres à M. le président de Malesherbes, contenant le Pages. FIN |