Histoire du sentiment national en France pendant la guerre de cent ans |
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Alain Chartier Anglais apud Quicherat Armagnacs armée avaient bataille Bibliothèque de l'Ecole bientôt bourgeois Bourguignons C'était Cabochiens Cagny capitaines cents Charles VII Chastellain château cheval Christine de Pisan Chronique des quatre Clerc cœur comte connétable Continuateur de Guillaume dauphin devant Dieu Discours sur l'état duc d'Orléans duc de Bourgogne Duguesclin Froissart gens gentilshommes Gerson gouvernement guerre Guillaume Calle Guillaume de Nangis Histoire hommes d'armes ibid Jacques Coeur Jean Chartier Jean sans Peur Jeanne Darc Journal du siége jours Juvénal des Ursins l'Ecole des chartes l'héroïne laisser Lettenhove Marcel ment Michaud et Poujoulat Monstrelet morale mort nobles Normandie Orléans Parisiens patriotique pays paysans Perceval de Cagny peuple Philippe Pierre Cauchon Pierre Clément Poitiers porte prévôt Procès de condamnation Procès de réhabilitation Pucelle Vallet quatre premiers Valois Reims Religieux de Saint-Denys Rouen royaume seigneurs semble sentiment national sera seulement Siméon Luce Smet Thomas Basin tion Ursins Michaud Vallet de Viriville
Popular passages
Page 28 - (réjouir), combien que la besogne » ne soit tournée à votre gré : car vous avez aujourd'hui » conquis le haut nom de prouesse et avez passé tous » les mieux faisants de votre côté...
Page 316 - la coutume des Français est telle : » si un homme parle à un autre, de quelque état ou » autorité qu'il soit, la vue baissée, on dit que c'est un » mauvais homme, puisqu'il n'ose regarder celui à qui
Page 28 - il n'est pas ici ; mais rendez-vous à moi, je vous » mènerai devers lui. » — « Qui êtes-vous? » dit le roi. — « Sire, je suis Denis de Mortbeque, un chevalier » d'Artois, mais je sers le roi d'Angleterre,
Page 137 - bien aller en Angleterre ni ne iront jusques à tant » que les biens iront de commun, et qu'il ne sera ni
Page 241 - sang et lignage; car nous nous courrouçons l'un à » l'autre quand il nous plaît; et quand il nous plaît, la
Page 335 - et que vous seriez trouvez plus desnaturez qu'elles, » qui n'ont pas entendement de raison, quant les » oyseaulx au bec et aux ongles deffendent leurs nidz » et les ours et les lyons gardent leurs cavernes à
Page 76 - nobles » de France, chevaliers et écuyers, honnissoient et » trahissaient le royaume, et que ce seroit grand bien » qui tous les détruiroit.
Page 98 - et qu'ils avaient plus cher à être taillés , tous » les ans, de la moitié de leur chevance que ce qu'ils
Page 135 - le nier cent fois, c'est par la volonté des peuples » qu'ils régnent; c'est la force des peuples qui les rend
Page 355 - ne me croyez-vous? Je vous dis que Dieu a pitié » de vous, de votre royaume et de votre peuple