Essais Historiques Sur Les Causes Et Les Effets de la Révolution de France: Avec Des Notes Sur Quelques Événemens Et Quelques Institutions, Volume 3Maradan, 1803 - France |
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... hommes avides qui , n'ayant pas encore trouvé dans la révolution la fortune et le pouvoir qu'ils en avaient at- tendu , étaient décidés à en perpétuer les dé- sordres jusqu'au moment où elle leur aurait assuré l'une et l'autre ; les ...
... hommes avides qui , n'ayant pas encore trouvé dans la révolution la fortune et le pouvoir qu'ils en avaient at- tendu , étaient décidés à en perpétuer les dé- sordres jusqu'au moment où elle leur aurait assuré l'une et l'autre ; les ...
Page 4
... hommes , sans doute à grands talens , par qui fut tissu ce déplorable ouvrage , de- venu , pour notre nation , ce que fut la boîte de Pandore pour toute l'espèce humaine . Ce qu'ils ne virent pas alors , ou plutôt ce qu'ils craignirent ...
... hommes , sans doute à grands talens , par qui fut tissu ce déplorable ouvrage , de- venu , pour notre nation , ce que fut la boîte de Pandore pour toute l'espèce humaine . Ce qu'ils ne virent pas alors , ou plutôt ce qu'ils craignirent ...
Page 5
... hommes à qui la renommée donnait de grands talens , et le pu- blic une certaine estime ( 1 ) ; l'incertitude du ( 1 ) MM . Condorcet , Brissot , l'Anglais Thomas Payne et six ou sept membres de l'assemblée constituante , parmi lesquels ...
... hommes à qui la renommée donnait de grands talens , et le pu- blic une certaine estime ( 1 ) ; l'incertitude du ( 1 ) MM . Condorcet , Brissot , l'Anglais Thomas Payne et six ou sept membres de l'assemblée constituante , parmi lesquels ...
Page 7
... hommes qui lui avaient , peu de temps auparavant , prodigué les lau- riers et les couronnes civiques , l'abreuvèrent d'outrages et de dégoûts ; des crieurs de jour- naux et de pamphlets s'introduisaient avec audace jusques dans le lieu ...
... hommes qui lui avaient , peu de temps auparavant , prodigué les lau- riers et les couronnes civiques , l'abreuvèrent d'outrages et de dégoûts ; des crieurs de jour- naux et de pamphlets s'introduisaient avec audace jusques dans le lieu ...
Page 33
... hommes dans lesquels on reconnaît le plus de talens , ne sont cependant pas toujours ceux qui calculent le plus juste . M. de Calonne , auteur de l'écrit qu'on vient de lire , ne présumait pas , sans doute , que le langage qu'il fesait ...
... hommes dans lesquels on reconnaît le plus de talens , ne sont cependant pas toujours ceux qui calculent le plus juste . M. de Calonne , auteur de l'écrit qu'on vient de lire , ne présumait pas , sans doute , que le langage qu'il fesait ...
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Common terms and phrases
10 août agens amis André Chénier armées assaillans assez attaquer avaient Avignonais bataillon bientôt Brissot Brissotins cause cesser Champ-de-Mars château chefs citoyens club comité comité autrichien constitution constitutionnels convention nationale crimes Danton déclaration décret déja Delessart délibérations demande dénoncer départemens députés desirer désordre devait donner doute Dumourier émigrés eût événemens faubourg Saint-Antoine fesait Feuillans firent force frères fût garde nationale général gouvernement grenadiers Guadet guerre habitans hommes j'ai Jacobins journaux jours l'Ami des Citoyens l'as l'assem l'assemblée nationale l'empereur l'Europe Lafayette législatif Léopold liberté lois long-temps Louis XVI madame madame Roland maire majesté malheureux ment mesures ministre monarchie municipalité n'avait n'était nation française patrie patriotes personnes Pétion pétition peuple populace porte pouvait prendre prêtres prince principes projets publique puissances raient rassemblemens reine républicains réunis révolution révolutionnaires Robespierre royale s'était sance séances sections serait seul Sire société soldats sorte Suisses sur-tout sûreté tion tribunes troupes Vergniaux voulait
Popular passages
Page 415 - Que les habitants des villes, bourgs et villages , qui oseraient se défendre contre les troupes de Leurs Majestés Impériale et Royale, et tirer sur elles, soit en rase campagne, soit par les fenêtres, portes et ouvertures de leurs maisons, seront punis surle-champ suivant la rigueur du droit de la guerre, et leurs maisons démolies ou brûlées.
Page 482 - L'Assemblée nationale , considérant que les dangers de la patrie sont parvenus à leur comble ; « Que c'est pour le Corps législatif le plus saint des devoirs d'employer tous les moyens de la sauver \ qu'il est impossible d'en trouver d'efficaces, tant qu'on ne s'occupera pas de tarir la source de ses maux...
Page 13 - M. le comte d'Artois, se déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe. Elles espèrent que cet intérêt ne peut manquer d'être reconnu par les puissances dont le secours est réclamé...
Page 153 - États de l'Empire que de la part des autres souverains réunis en. concert pour le maintien de la tranquillité publique et pour la sûreté et l'honneur des couronnes...
Page 391 - J'ose enfin vous supplier en mon nom, et au nom de tous les honnêtes gens du royaume de prendre des mesures efficaces pour faire respecter toutes les autorités constituées, particulièrement la vôtre et celle du roi, et de donner à l'armée l'assurance que la constitution ne recevra aucune atteinte dans l'intérieur, tandis que de braves Français prodiguent leur sang pour la défendre aux frontières.
Page 131 - J'espère que Votre Majesté approuvera mes idées, et qu'elle me gardera le secret le plus absolu sur la démarche que je fais auprès d'elle; elle sentira aisément que les circonstances où je me trouve m'obligent à la plus grande circonspection : c'est ce qui fait qu'il n'ya que le baron de Breteuil qui soit instruit de mon secret, et Votre Majesté peut lui faire passer ce qu'elle voudra.
Page 228 - L'épouvante et la terreur sont souvent sorties dans les temps antiques, et au nom du despotisme, de ce palais fameux. Qu'elles y rentrent aujourd'hui, au nom de la loi.
Page 311 - ... agression d'un roi; que les Français ne confondront jamais leurs frères avec leurs véritables ennemis; qu'ils ne négligeront rien pour adoucir le fléau de la guerre, pour ménager et conserver les propriétés, et pour faire retomber sur ceux-là seuls qui se ligueront contre sa liberté, tous les malheurs inséparables de la guerre; qu'elle adopte d'avance tous les étrangers qui , abjurant la cause de ses ennemis , viendront...
Page 411 - Qu'entraînées dans la guerre présente par des circonstances irrésistibles, les deux cours alliées ne se proposent d'autre but que le bonheur de la France sans prétendre s'enrichir par des conquêtes; 2°...
Page 26 - ... votre main de souscrire une acceptation que votre cœur rejette, que votre intérêt et celui de vos peuples repoussent, et que votre devoir de Roi vous interdit expressément, nous protesterions, à la face de toute la terre, et de la manière la plus...