La terreur à Rouen, 1793, 1794, 1795: d'après des documents inédits |
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La Terreur À Rouen, 1793, 1794, 1795: D'Après Des Documents Inédits... Felix Clerembray No preview available - 2018 |
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administrateurs adresse Amis Anquetin août Arch arrestation arrêté avaient Bignon Blutel brumaire Casenave Caudebec ci-devant citoyen Comité de Salut Comité de sûreté comité de surveillance commissaires commune de Rouen conseil général Constitution Convention Convention nationale Coutour décret délibération dénoncé dép¹ département députés détenu Dieppe directoire discours émigrés envoyé Fécamp Féray floréal Fontenay Fouquier-Tinville frère frimaire fructidor Gaillon germinal Godebin Gosselin Gravelines Haraneder Jacobins janvier jour Journal de Rouen juge juin l'arrestation l'Hôtel-de-Ville Lamine Leclerc Lecomte Lefebvre Legendre lettre Louchet Mabon maire maison membres ment messidor mis en liberté mission mpales nationale nivôse Normandie officier municipal patriotes pétition Pillon pluviôse Pocholle police Poret prairial président prêtres procès-verbal procureur registre représentants du peuple républicains République Révolution révolutionnaire Robert Rondeaux Saint-Lô Saint-Yon Salut public sans-culottes Sautereau séance sections Seine-Inférieure septembre Siblot Société populaire sûreté générale terroristes thermidor Thiessé Thieullen tribunal criminel tribunal révolutionnaire Troussey vendémiaire ventôse Victor Lefebvre
Popular passages
Page 97 - je jure de remplir mes fonctions avec exactitude, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et sanctionnée par le Roi.
Page 373 - Aucun ex-noble, aucun étranger des pays avec lesquels la république est en guerre ne peut habiter Paris, ni les places fortes , ni les villes maritimes pendant la guerre. Tout noble ou étranger dans le cas ci-dessus qui y serait trouvé dans dix jours est mis hors la loi.
Page 490 - Le Comité de sûreté générale est chargé de prendre toutes les mesures nécessaires pour faire désarmer, sans délai, les hommes connus dans leurs sections comme ayant participé aux horreurs commises sous la tyrannie qui a précédé le 9 thermidor.
Page 274 - Suivant la nouvelle organisation décrétée par la Convention nationale, toutes les autorités deviennent en quelque sorte des armées révolutionnaires, dont la position est différente, mais qui, agissant chacune dans une direction donnée, pressent avec énergie sur tous les conspirateurs, et leur offrent de toutes parts un front inexpugnable.
Page 466 - Joly faisait les exécutions; il s'emparait de tout ce qu'il trouvait : bijoux, argenterie, effets précieux, tout convenait à sa rapacité; il était le grand exécuteur, c'était lui qui liait les malheureux condamnés à mort et qui se trouvait à toutes les cérémonies journalières du Comité.
Page 204 - N. (le nom du roi) par la grâce de Dieu, et par la loi constitutionnelle de l'Etat, roi des Français, à tous présents et à venir, salut. L'Assemblée nationale a décrété, et nous voulons et ordonnons ce qui suit...
Page 97 - ... tout citoyen qui aurait le courage de se dévouer à la dénonciation des traîtres à la patrie et des conspirateurs contre la liberté.
Page 229 - De nouveaux seigneurs, non moins cruels, non moins avides, non moins insolents que les anciens, se sont élevés sur les ruines de la féodalité; ils ont affermé ou acheté les propriétés de leurs anciens maîtres, et continuent à marcher dans les sentiers battus...
Page 209 - L'habit noir, le manteau de drap ou de soie noir; les parements du manteau seront de la même couleur, et un ruban en sautoir aux trois couleurs de la nation, au bout duquel sera attachée une médaille dorée, sur laquelle seront écrits ces mots : La Loi ; ils auront la tête couverte d'un chapeau rond, relevé sur le devant et surmonté d'un panache de plumes noires : ce costume sera désormais celui de tous les juges de district et des tribunaux criminels.
Page 17 - La force ne détruit pas le droit. La légitimité du pouvoir est un droit plus précieux pour les peuples que pour les races royales; mais, quand la force domine dans un État, les particuliers ne peuvent que se soumettre, et les gens de bien doivent encore à la société le tribut de leurs efforts pour détourner de plus grands maux.