Histoire de la Révolution française, Volume 2A. Le Vasseur, 1800 |
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allait aristocrates armée avaient Avignon Barnave Brissot c'était Camille Desmoulins Carpentras Champ-de-Mars chose clergé club cœur Condorcet constitutionnels coup cour d'Avignon Danton déclara décret demanda députés Desmoulins devait dire directoire disait discours Dumouriez Duport Duprat émigrés ennemis eût faisait fallait Fédérations femmes Feuillants force foule frapper furieux garde nationale général Gironde Girondins guerre haine hommes Isnard Jacobins jeta jeune jour Jourdan juge juillet juin l'Autriche l'homme Lafayette laisser Lameth Léopold Lescuyer liberté Louis XVI madame de Staël madame Roland main Mainvielle massacre menaces ment mille ministre Mirabeau monde mort Mulot municipalité n'avait n'était nation noble octobre officiers pape papistes parler paroles passer passion patrie patriotes pensée personne Pétion pétition peuple philosophie politique porte pouvait premier prêtres question Reine république reste RÉV Révolution révolutionnaire rien Robespierre rois royalistes royauté sauver semblait sentiment serment seul Sieyès soldats sorte terreur terrible tion tribunes trouver Tuileries Varennes venait Vergniaud violente voilà voulait
Popular passages
Page 120 - On m'a accusé au sein de l'assemblée d'être républicain, on m'a fait trop d'honneur, je ne le suis pas ; si on m'eût accusé d'être monarchiste, on m'eût déshonoré , je ne le suis pas non plus.
Page 277 - Roi, qui sans doute avez cru, avec le tyran Lysandre, que la vérité ne valait pas mieux que le mensonge, et qu'il fallait amuser les hommes par des serments comme on amuse les enfants avec des osselets, qui n'avez feint d'aimer les...
Page 67 - Si dans le sein de Rome il se trouvait un traître Qui regrettât les rois et qui voulût un maître , Que le perfide meure au milieu des tourments; Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans que Rome entière abhorre.
Page 298 - Par un reste d'indulgence, nous aurions désiré pouvoir vous demander la suspension de Louis XVI, tant qu'existera le danger de la patrie ; mais la constitution s'y oppose. Louis XVI invoque sans cesse la constitution; nous l'invoquons à notre tour, et nous demandons sa déchéance. Cette grande mesure une fois portée, comme il est très- douteux que la nation puisse avoir confiance en la dynastie actuelle, nous demandons que des ministres...
Page 223 - La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complu d'embellir : c'est un être auquel on a fait des sacrifices, à qui l'on s'attache chaque jour davantage par les sollicitudes qu'il cause; qu'on a créé par de grands efforts, qui s'élève au milieu des inquiétudes et qu'on aime par ce qu'il coûte, autant que par ce qu'on en espère.
Page 110 - ... c'est la longue impunité des grands criminels qui a' pu rendre le peuple bourreau.
Page 379 - L'expérience lui a prouvé qu'il n'est aucun retour à espérer des anciens oppresseurs du peuple : elle va rentrer dans ses droits... Mais, là où commence l'action de la justice, là doivent cesser les vengeances populaires. Je prends devant l'Assemblée nationale l'engagement de protéger les hommes qui sont dans son enceinte ; je marcherai à leur tête et je réponds d'eux.
Page 154 - C'est que je ne me suis point assurée de votre bonheur, et que je ne me pardonnerais jamais de l'avoir troublé. C'est que j'ai cru vous voir l'attacher, du moins en partie, à des moyens que je crois faux, à une espérance que je dois interdire.
Page 255 - ... assez impudent pour avouer aux yeux de la nation qu'il n'a cherché dans la révolution qu'un moyen de s'agrandir...
Page 298 - ... mais elle croit que, pour guérir les maux de la France, il faut les attaquer dans leur source et ne pas perdre un moment. C'est avec douleur qu'elle vous dénonce par notre organe le chef du pouvoir exécutif. Le...