L'hermite de Belleville ou choix d'opuscules politiques, littéraires et satiriques de Charles Colnet [...], Volume 1Le Normant, 1833 |
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aimable amis assez aujourd'hui aurait beau Benjamin Constant Berchoux besoin Buonaparte c'était carbonari Casimir Périer Cauchois-Lemaire cent-jours Charles X Chartres chats cher chose Colnet croire croyez d'Alembert d'autres demande députés Desaix Dieu dire dit-il docteur Eymard doctrinaires doctrine donner doute duc de Bordeaux émigrés enfans enfin esprit eût événemens gastronomie Genlis gens gloire gouvernement grimace Guizot héros heureux hommes j'ai jamais jésuites jeune dame jour jourd'hui journaliste juge l'art l'auteur l'esprit lecteurs liberté long-temps Louis XVI Madame malheur médecins Mémoires ment mieux ministres n'avait n'en n'était noble ouvrage parle passer pauvre pense peuple philosophe plaisir poëme poëte pold politique pouvait Pradt prince de Ligne professeur qu'à qu'un raison reste révolution révolution de juillet rien Rivarol royauté s'en s'il sage Saint-Simon saint-simoniens sais sait satire savans savez serait seul siècle société souvent souverain sujet talent teur tion trouve vérité veut voilà Voltaire voulait Witt
Popular passages
Page 119 - Depuis quinze jours, je mange du pain et je bois de l'eau, je travaille sans feu, et j'ai vendu jusqu'à mes habits pour fournir aux frais de copie de mon travail. C'est la passion de la science et du bonheur public, c'est le désir de trouver un moyen de terminer d'une manière douce l'effroyable crise dans laquelle toute la société européenne se trouve engagée, qui m'ont fait tomber dans cet état de détresse.
Page 8 - N'obéira qu'aux lois; Et l'heureux Bonaparte est trop grand pour descendre Jusqu'au trône des Rois.
Page 336 - Dans l'auguste Assemblée il est sûr que tout cloche ; La raison , chacun l'aperçoit: ,. Le côté droit est toujours gauche, Et le gauche n'est jamais droit.
Page 125 - Pour que l'individu consente à se renfermer dans le cercle qui lui est tracé, il ne suffit pas que le but de la société et les moyens de l'atteindre lui soient connus ; il faut que ce but, ces moyens, soient pour lui des objets d'amour et de désir. Or, les...
Page 78 - Ne fait qu'anéantir la force des couronnes; Le droit des rois consiste à ne rien épargner. La timide équité détruit l'art de régner : Quand on craint d'être injuste, on a toujours à craindre ; Et qui veut tout pouvoir doit oser tout enfreindre, Fuir comme un déshonneur la vertu qui le perd , Et voler sans scrupule au crime qui le sert.
Page 8 - En i3i3, il réunit son magasin de librairie de la rue du Bac à celui qu'il avait déjà quai Malaquais, et qui n'était séparé que par un mur mitoyen du ministère de la police générale. Son cabinet , que ses amis appelaient la Caverne , était le rendez- vous des mécontents.
Page 202 - Je suis né sous une bien heureuse étoile, toutes les occasions se présentent, je n'ai qu'à en profiter. Celui qui se noyait est M.
Page 241 - L'opinion à mon arrivée était excellente, elle est exécrable ! Que me parle-t-on de bonté, de justice, de droits naturels? La seule loi , c'est la nécessité ; la seule justice, c'est le salut public. On veut que des hommes que j'ai comblés de biens s'en servent...
Page 146 - Il n'épargne pas plus les gens de lettres ses confrères qu'il n'a épargné la société et la nature : « Au ton qui règne depuis dix ans dans la littérature, la célébrité littéraire me parait une espèce de diffamation qui n'a pas encore tout à fait autant de mauvais effets que le carcan, mais cela viendra. » Ailleurs, au nombre des raisons qu'il allègue pour ne plus rien donner...
Page 165 - Son tombeau de mes pleurs. Que le lis, que la rose,. » Trop stérile tribut d'un inutile deuil, » Pleuvent à pleines mains sur son triste cercueil; » Et qu'il reçoive au moins ces offrandes légères, » Brillantes comme lui, comme lui passagères. » Ainsi tous deux erroient aux bois élysiens, Tels tous deux parcouroient ces champs aériens.