Histoire populaire de la Révolution française de 1789 à 1830: précédée d'une introduction contenant Le précis de l'histoire des Français depuis leur origine jusqu'aux Etats-Généraux, Volume 4 |
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9 thermidor accuse Anglais Aristocrates armée arrêter assassins assignats attaquer Augereau Babeuf Barras Barrère bespierre bientôt Billaud Bonaparte Bourbons brumaire calomnie Carnot chef Chouans citoyens Coalition Collot Comité de Salut Comité de Sûreté commandant Commission complices Comte d'Artois condamnés Conseils conspiration Constitution de 93 contre-révolutionnaires Convention Corps législatif coupables Couthon crime Danton déclare décret défendre demande Démocrates Députés Despotisme dévouement Dictature Directoire Emigrés ennemis force Fouché Fréron Garde nationale Girondins Gouvernement guerre hommes Jacobins Jeunesse dorée journaux l'armée l'insurrection laisse liberté Louis XVIII Lucien Masséna membres menace ment militaire Ministres Montagnards Moreau Napoléon Nation nomme paix Patrie patriotes Peuple Pichegru police populaire prairial Président Prince proclamation Représentation nationale Républicains République Révolution révolutionnaire Robespierre Royalistes Russes s'il Saint-Just Salut public sauver secret Sections Sénat sera seul Sieyes soldats Sûreté générale Talleyrand Tallien Terreur Thermidoriens Thiers tion trahir trahison Tribunal Tribunat tribune tyran Vadier veulent veut victoire Voilà voulait
Popular passages
Page 77 - République ont opposé ce comité au comité de salut public, et constitué ainsi deux gouvernements; que des membres du comité de salut public entrent dans ce complot; que la coalition ainsi formée cherche à perdre les patriotes et la patrie. Quel est le remède à ce mal? Punir les traîtres, renouveler les bureaux du comité de sûreté générale, épurer ce comité...
Page 372 - Ce sont deux piédestaux sur lesquels les destinées vont placer deux puissantes nations. » J'ai l'honneur de vous remettre le traité signé à CampoFormio , et ratifié par sa majesté l'empereur. » La paix assure la liberté , la prospérité et la gloire de la république. » Lorsque le bonheur du peuple français sera assis sur les meilleures lois organiques , l'Europe entière deviendra libre.
Page 13 - Divinité n'existe pas , ô toi qui te passionnes pour cette aride doctrine , et qui ne te passionnas jamais pour la patrie ? Quel avantage trouves-tu à persuader à l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées , et frappe au hasard le crime et la vertu...
Page 558 - France soit heureuse; que le commerce français renaisse ; que les arts, ces bienfaits de la paix, refleurissent, parce qu'un grand peuple ne saurait être tranquille qu'autant qu'il est heureux. Les puissances confirment à l'empire français une étendue de territoire que n'a jamais, connue la France sous ses rois...
Page 566 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution, ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice ; mais qu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait au peuple français...
Page 10 - Si le ressort du gouvernement populaire dans la paix est la vertu, le ressort du gouvernement populaire en révolution est à la fois la vertu et la terreur : la vertu, sans laquelle la terreur est funeste ; la terreur, sans laquelle la vertu est impuissante.
Page 31 - Vous qui soutenez la patrie chancelante contre le torrent du despotisme et de l'intrigue, vous que je ne connais que, comme Dieu, par des merveilles ; je m'adresse à vous, monsieur, pour vous prier de vous réunir à moi pour sauver mon triste pays.
Page 606 - Votre général, appelé au trône par le choix du peuple, et élevé sur vos pavois, vous est rendu : venez le joindre. Arrachez ces couleurs que la nation a proscrites, et qui, pendant vingt-cinq ans, servirent de ralliement à tous les ennemis de la France. Arborez cette cocarde tricolore : vous la portiez dans nos grandes journées ! Nous devons oublier que nous avons été les maîtres des nations, mais nous ne devons pas souffrir qu'aucune se mêle de nos affaires.
Page 599 - J'accepte la Constitution; je jure de l'observer et de la faire observer. Ce serment sera réitéré dans la solennité où il recevra le serment de fidélité des Français. Déclaration...
Page 14 - Et, d'ailleurs, qu'y at-il entre les prêtres et Dieu? Les prêtres sont à la morale ce que les charlatans sont à la médecine.