Choix de rapports, opinions et discours prononcés à la Tribune Nationale depuis 1789 jusqu'à ce jour: 1791-92. (Assemblée législative)Lallement (M., Guillaume) A. Eymery, 1820 - Constitutional history |
Common terms and phrases
acte Applaudissemens armées armes aurait avaient avez avons bonne camp cause cesse château chose circonstances citoyens civile comité commune conduite confiance considérant Constitution corps corps législatif cour d'autres danger dangers déclaration décret demande départemens département députation dernier devant devoir dire doit donner doute enfin ennemis étrangères force former garde garde nationale général guerre hommes intérêts j'ai jour juger l'armée l'Assemblée nationale l'empire l'ordre Lafayette laisser lettre liberté libre lieu lois Louis XVI mains maintenir marche membres ment messieurs mesures milieu mille ministres moyens municipalité Murmures nation nécessaire nombre nouveau nouvelle ordres paix parler patrie patriotisme pensé personne peuple place porter pourrait pouvait pouvoir exécutif premier présenter projet prononcer propose public publique puissances puisse qu'un rappeler rapport rendre représentans respect responsabilité reste réunir révolution rien s'est s'il salut sauver séance sentiment serait serment seront servir seul soldats sort sûreté troubles troupes trouve vérité veut voix volonté voulait Voyez
Popular passages
Page 335 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation; nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Page 334 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution.
Page 152 - La constitution vous laissa-t-elle le choix des ministres pour notre bonheur ou notre ruine? vous fitelle chef de l'armée pour notre gloire ou notre honte? vous donna-t-elle enfin le droit de sanction, une liste civile et tant de grandes prérogatives pour perdre constitulionnellemcut la constitution et l'empire?
Page 151 - ... j'ai obéi à la Constitution, qui m'ordonne de m'opposer par un acte formel à leurs entreprises, puisque j'ai mis des armées en campagne. Il est vrai que ces armées étaient trop faibles; mais la Constitution ne désigne pas le degré de force que je devais leur donner : il est vrai que je les ai rassemblées trop tard ; mais la Constitution ne désigne pas le temps auquel je devais les rassembler : il est vrai que des camps de réserve auraient pu les soutenir ; mais la Constitution ne m'oblige...
Page 268 - Par un reste d'indulgence nous aurions désiré pouvoir vous demander la suspension de Louis XVI tant qu'existera le danger de la patrie; mais la constitution s'y oppose: Louis XVI invoque sans cesse la constitution; nous l'invoquons à notre tour, et nous demandons sa déchéance. » Cette grande mesure une fois prise , comme il est trèsdouteux que la nation puisse avoir confiance en la dynastie actuelle, nous demandons que des ministres...
Page 97 - Majesté a constitutionnellement refusée à deux décrets. Le Roi n'a opposé aux menaces et aux insultes des factieux que sa conscience et son amour pour le bien public. Le Roi ignore quel sera le terme où ils voudront s'arrêter ; mais il a besoin de dire à la nation...
Page 50 - ... des crimes , toujours funeste à ceux qui l'ont provoquée. Le salut de l'État et le bonheur de Votre Majesté sont intimement liés ; aucune puissance n'est capable de les séparer...
Page 57 - ... au courage calme et constant d'une nation qui connaît ses droits et les défend ; enfin , leurs combinaisons sectaires aux véritables intérêts de la patrie qui , dans ce moment de danger , doit réunir tous ceux pour qui son asservissement et sa ruine ne sont pas les objets d'une atroce jouissance et d'une infâme spéculation.
Page 152 - ... la puissance qui vous servirait à les braver; la constitution, que pour qu'elle ne vous précipitât pas du trône, où vous aviez besoin de rester pour la détruire; la nation, que pour assurer le succès de vos perfidies en lui inspirant de la confiance : pensez-vous nous abuser...
Page 51 - Majesté, par une proclamation vraiment impolitique dans la circonstance; la situation de Paris, sa proximité des frontières, ont fait sentir le besoin d'un camp dans son voisinage. Cette mesure, dont la sagesse et l'urgence ont frappé tous les bons esprits, n'attend encore que la sanction de Votre Majesté. Pourquoi faut-il que des retards lui donnent l'air du regret, lorsque la célérité lui gagnerait tous les cœurs?