... manière fort honnête, et qui avoit remis son chapeau sur la tête, parce qu'il avoit autorité sur lui. Je lui dis le soir que j'avois observé comme il savoit se faire traiter en général: que je pouvois l'assurer que le commandement lui seyoit... Précis de l'histoire d'Avesnes - Page 165by Isidore Lebeau - 1836 - 226 pagesFull view - About this book
| France - 1825 - 536 pages
...je pouvois l'assurer que le commandement lui seyoit très-bien. Nous partîmes de Saint-Quentin avec un temps effroyable. Quelque incommodité que je pusse...et est encore ma première passion , M. de Lauzun la seconde ; je dis la seconde , et je dois assurer que je sais que lui-même est dans un pareil état... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1825 - 558 pages
...je pouvois l'assurer que le commandement lui seyoit très-bien. Nous partîmes de Saint-Quentin avec un temps effroyable. Quelque incommodité que je pusse...et est encore ma première passion , M. de Lauzun la seconde; je dis la seconde, et je dois assurer que je sais que lui-même est dans un pareil état... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1825 - 538 pages
...je pouvois l'assurer que le commandement lui seyoit très-bien. Nous partîmes de Saint-Quentin avec un temps effroyable. Quelque incommodité que je pusse...j'étois satisfaite, parce que je voyois tous les jours.tout ce que j'aimois au monde. Le Roi a'toujours été et est encore ma première passion , M.... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1852 - 440 pages
...C'est au nom du roi, et comme sous son invocation, qu'on s'aime et qu'on ose à la fia se l'avouer. « Le roi a toujours été et est encore ma première passion, M. de Lauzun la seconde, » disait Mademoiselle; et M. de Lauzun, de son côté, ne se flattait d'avoir plu en définitive... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - France - 1870 - 542 pages
...C'est au nom du roi, et comme sous son invocation, qu'on s'aime et qu'on ose à la fin se l'avouer. « Le roi a toujours été et est encore ma première passion, M. de Lauzun la seconde, » disait Mademoiselle; et M. de Lauzun, de son côté, ne se flattait d'avoir plu en définitive... | |
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