| Gaëtan de Raxis de Flassan - Diplomacy - 1809 - 526 pages
...et que je croyais encore trop étendus; mais je me suis toujours soumis à la volonté divine , et les maux dont il lui plaît d'affliger mon royaume, ne me permettent plus de douter du sacrifice qu'elle demande que je lui fasse de tout ce qui pouvait m'être le plus sensible. » J'oublie... | |
| Gaëtan de Raxis de Flassan - Diplomacy - 1809 - 560 pages
...présent, et que je croyais encore trop étendus; mais je me suis toujours soumis à la volonté divine, et les maux dont il lui plaît d'affliger mon royaume , ne me permettent plus de douter du sacrifice qu'elle demande que je lui fasse de tout ce qui pouvait m'être le plus sensible. » J'oublie... | |
| Jean-Baptiste Colbert marquis de Torcy - Europe - 1828 - 452 pages
...que je croyois « encore trop étendus; mais je me suis toujours sou« rais à la volonté divine, et les maux dont il lui plaît « d'affliger mon royaume ne me permettent plus de « douter du sacrifice qu'il demande que je lui fasse « de tout ce qui pouvoit m'être le plus sensible. « J'oublie... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1828 - 446 pages
...que je croyois « encore trop étendus ; mais je me suis toujours sou« mis à la volonté divine, et les maux dont il lui plaît « d'affliger mon royaume ne me permettent plus de « douter du sacrifice qu'il demande que je lui fasse « de tout ce qui pouvoit m'être le plus sensible. « J'oublie... | |
| France - 1828 - 444 pages
...que je croyois « encore trop étendus; mais je me suis toujours sou« mis à la volonté divine, et les maux dont il lui plaît « • d'affliger mon royaume ne me permettent plus de « douter du sacrifice qu'il demande que je lui fasse « de tout ce qui pouvoit m'être le plus sensible. « J'oublie... | |
| France - 1828 - 444 pages
...que je croyois « encore trop étendus ; mais je me suis toujours sou« mis à la volonté divine, et les maux dont il lui plaît « d'affliger mon royaume ne me permettent plus de « douter du sacrifice qu'il demande que je lui fasse « de tout ce qui pouvoit m'être le plus sensible. « J'oublie... | |
| François-Auguste Mignet - 1843 - 520 pages
...concessions. « Je me suis toujours soumis, dit Louis XIV « en l'envoyant, a la volonté divine, et les maux dont « il lui plaît d'affliger mon royaume ne me permettent « plus de douter du sacrifice qu'elle demande que je lui « lasse de tout ce qui me pouvait être le plus sensible. «... | |
| François-Auguste-Alexis-Marie Mignet - 1843 - 352 pages
...concessions. «Je me suis » toujours soumis, dit Louis XIV en l'envoyant, à la volonté di» vine , et les maux dont il lui plaît d'affliger mon royaume ne me » permettent plus de douter du sacrifice qu'elle demande que je lui » fasse de tout ce qui me pouvait être le plus sensible. J'oublie... | |
| France - 1850 - 1166 pages
...(Mémoires de Saint-Simon, t. Mil, page 163.) — a Je me suis toujours soumis à la volonté divine, et les maux dont il lui plaît d'affliger mon royaume ne me permettent plus de douter du sacrifice qu'elle demande que je lui fasse de tout ce qui me pourrait être le plus sensible. J'oublie... | |
| Augustin Thierry - 1853 - 300 pages
...incontestés de Saint-Simon, t. XIII, p. 163. ) — Je me suis toujours soumis à la \olonle divine, et les maux dont il lui plaît d'affliger mon royaume ne me permettent plus de douter du sacrifice qu'elle demande que je lui fasse de tout ce qui me pourrait être le plus sensible. J'oublie... | |
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