Revue nationale et étrangère, politique, scientifique et littéraire, Volume 4 |
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anciens années appelé arriver artistes assez aujourd'hui aurait avaient avant beau belle c'était cause chose commencement commun compte conseil côté coup cour Daniel demande dernier devant Dieu Dieux dire doit donner effet élevé esprit États faisait fils fond force forme Galerie général gens gouvernement Grèce guerre haut homme idées j'ai jeune jouer jour juge l'air l'art l'auteur l'autre l'État l'histoire l'Italie l'un laisse liberté libre lieu livre loin lui-même main maître ment mieux mille monde montre morale mort n'avait n'en n'était nationale nombre nouvelle parler passer pays peine peinture pendant pensée père personne petite peuple place poésie poëtes porte pouvait pouvoir premier présente presque pris public qu'à qu'un question raison regard religion représente république reste rien s'en s'est s'était s'il sait savant semble Sénat sentiment serait seul siècle soleil sorte souvent tableau terre tion Titans traité trouve venait Venise Vénitiens vérité voie vrai yeux
Popular passages
Page 170 - Des lois qui seraient contraires ou qui porteraient atteinte à la Constitution, à la religion, à la morale, à la liberté des cultes, à la liberté individuelle, à l'égalité des citoyens devant la loi, à l'inviolabilité de la propriété et au principe de l'inamovibilité de la magistrature ; 2° De celles qui pourraient compromettre la défense du territoire. Art. 27. Le sénat règle par un sénatus-consulte : 1° La Constitution des colonies et de l'Algérie ; 2...
Page 170 - Le sénat maintient ou annule tous les actes qui lui sont déférés comme inconstitutionnels par le Gouvernement, ou dénoncés pour la même cause par les pétitions des citoyens.
Page 169 - Le Président de la République convoque, ajourne, proroge et dissout le corps législatif. En cas de dissolution, le Président de la République doit en convoquer un nouveau dans le délai de six mois.
Page 178 - Lorsque, sur l'exhibition d'un ordre formel à lui donné par le ministre de la justice, le procureur général près la cour de cassation dénoncera à la section criminelle, des actes judiciaires, arrêts ou jugements contraires à la loi, ces actes, arrêts ou jugements...
Page 571 - L'étude et la visite ont leurs talents à part. Qui se donne à la cour se dérobe à son art. Un esprit partagé rarement s'y consomme, Et les emplois de feu demandent tout un homme.
Page 30 - J'avoue que je ne suis pas enchanté de l'idéal de vie que nous présentent ceux qui croient que l'état normal de l'homme est de lutter sans fin pour se tirer d'affaire, que cette mêlée où l'on se foule aux pieds, où l'on se coudoie, où l'on s'écrase, où l'on se marche sur les talons et qui est le type de la société actuelle, soit la destinée la plus désirable pour l'humanité, au lieu d'être simplement une des phases désagréables du progrès industriel.
Page 180 - A défaut de journal dans l'arrondissement, le préfet désignera un ou plusieurs journaux de département. » Voilà une disposition qui a pour la propriété une importance considérable, puisque la nullité de l'insertion peut entraîner la nullité d'une vente judiciaire ou d'un contrat.
Page 593 - ... la chaux (à ce aydant l'agitation fréquente) et s'attache à ses plus menues parties, non autrement que l'eau appesantit le sable que vous jettez et agitez dans icelle, par l'amortir et adhérer au moindre de ses grains.
Page 345 - ... dont le premier soin est de les exploiter à son profit. On eût aimé que l'auteur essayât au moins de disculper la centralisation de ces reproches, s'il les considère comme peu fondés, mais il ne semble pas même se douter que ces reproches existent. Son ton est celui d'un enthousiasme continu : « Telle est cette admirable hiérarchie à laquelle la France doit une administration incomparable, » etc. Et pour être conséquent avec lui-même, il applaudit à tout ce qui peut fortifier cette...
Page 329 - Assurément, dit-il, si on jugeait ces actes d'après la morale ordinaire, qui rend sacrée la propriété d'autrui, il faudrait les flétrir à jamais comme on flétrit ceux du criminel qui a touché au bien qui ne lui appartient point, et même en les jugeant d'après des principes différents on ne peut que leur infliger un blâme sévère. Mais les trônes sont autre chose qu'une propriété privée. On les ôte ou on les donne quelquefois au grand avantage des nations dont on dispose ainsi arbitrairement.