Das Zeitalter der Revolution, Geschichte der Fürsten und Völker Europa's seit dem Ausgange der Zeit Friedrichs des Grossen, Volume 4

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Page 95 - ... l'Oder, la Wartha, les déserts de la Pologne , les mauvais temps de la saison n'ont pu vous arrêter un moment. Vous avez tout bravé, tout surmonté ; tout a fui à votre approche. C'est en vain que les Russes ont voulu défendre la capitale de cette ancienne et illustre Pologne; l'aigle française plane sur la Vistule. Le brave et infortuné Polonais , en vous voyant croit revoir les légions de Sobieski de retour de leur mémorable expédition.
Page 81 - Il ya de la gloire pour tous. Un autre jour » ce sera votre tour de remplir de votre nom les » bulletins de la grande armée.
Page 522 - ... nouveau, et pour la garantir de tout attentat qui menacerait de replonger les peuples dans les désordres et les malheurs des révolutions ; et quoique intimement persuadés que la France entière, se ralliant autour de son souverain légitime, fera incessamment rentrer dans le néant cette dernière tentative d'un délire criminel et impuissant, tous les souverains de l'Europe, animés des mêmes...
Page 35 - Les affaires intérieures de chaque État ne nous regardent pas. Les princes de la Confédération du Rhin sont des souverains qui n'ont point de suzerain.
Page 563 - Eh bien ! voilà des gens qui vont " encore tomber dans la même erreur que l'année dernière. " Ils ne veulent pas voir que je ne suis que le prétexte de la " guerre, et que c'est la France qui en est l'objet. Si elle " n'a pas été entièrement détruite au dernier traité, c'est " qu'un reste de respect humain a arrêté les étrangers, qui " avaient encore peur de mon retour. Il n'ya que des in...
Page 8 - Nous avons été principalement guidé par la grande pensée de consolider l'ordre social et notre trône qui en est le fondement et la base, et de donner des centres de correspondance et d'appui à ce grand empire ; elle se rattache à nos pensées les plus chères, à celle à laquelle nous avons dévoué notre vie entière, la grandeur et la prospérité de nos peuples.
Page 35 - Ce ne sont point des rapports de suzeraineté qui nous lient à la Confédération du Rhin, mais des rapports de simple protection. Plus puissant que les princes confédérés, nous voulons user de la supériorité de notre puissance, non pour restreindre leurs droits de souveraineté, mais pour leur en garantir la plénitude.
Page 563 - Si elle n'a pas été entièrement détruite au dernier traité , c'est qu'un respect humain a arrêté les étrangers, qui avaient encore peur de mon retour. Il n'ya que des insensés qui ne veulent pas voir cela, lorsqu'ils m'auront abandonné, on s'en prendra à eux de m'avoir accueilli; il sera bien temps alors de se livrer aux regrets.
Page 566 - A l'article de l'Alsace il secouait la tête: ../"•• ne crois pas"; c'est contre les engagemens pris à Vienne. Nous devons avoir égard à notre opinion publique. La nation anglaise y verra un manque de bonne foi. On a dit qu'on ne faisait la guerre, que contre Bonaparte, et qu'on ne voulait pas faire une guerre de conquête.
Page 66 - (prince de Ponte-Corvo) est avec vous, « vous pourrez marcher ensemble ; mais « l'empereur espère qu'il sera dans la posi« tion qu'il lui a indiquée à Dornburg.

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