Quinze ans du regne de Louis XIV (1700-1715) |
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allemande alliés Anglais Archives armée armes arriva Autrichiens avaient bataille bataille de Friedlingen bataillons Bavarois Bavière Bâville Bedmar Boufflers C'était Camisards campagne catholiques Catinat cavalerie Cavalier Cévennes Chamillart combattre commandement comte d'Avaux devait duc de Savoie ennemis envoya espagnoles États-Généraux française Friedlingen fusils garder Général Pelet gouvernement Gueldre guerre Guillaume Guillaume III Hautes-Cévennes Haye Histoire d'Allemagne Histoire d'Angleterre Histoire des Provinces-Unies Hollande huguenots Impériaux insurgés jonction jours l'Allemagne l'armée l'Autriche l'Electeur l'Empereur l'Empire l'Europe l'Histoire laissa Languedoc Léopold Ier Louis XIV lutte maison marche maréchal Marlborough Maximilien Mémoires de Villars Mémoires militaires ment Milanais mille hommes ministre Montrevel mort négociations Nîmes officiers Ordonnance paix Pays-Bas Philippe Piémont places pouvait prince de Bade prince Eugène protestants Provinces-Unies Ravanel réformés régiments République reste Rhin Secchia seulement siècle soldats Stahremberg Stathouder Succession d'Espagne Tallard testament de Charles tion traité de partage troupes Tyrol Vendôme Versailles victoire Victor-Amédée Villeroy
Popular passages
Page 161 - Français, rendez grâce à Bellone, Votre bonheur est sans égal: Vous avez conservé Crémone Et perdu votre général.
Page 245 - vivre Toute leur vie était employée non par lois, statuts ou règles, mais selon leur vouloir et franc arbitre. Se levaient du lit quand bon leur semblait; buvaient, mangeaient, travaillaient, dormaient quand le désir leur venait. Nul ne les éveillait, nul ne les parforçaient ni à boire, ni à manger, ni à faire chose autre quelconque.
Page 186 - Français que roi, ajouta-t-il; ce qui « ternit la gloire de la nation m'est plus sensible « que tout autre intérêt. C'est d'ordinaire sur les six « heures du soir que Chamillard vient travailler avec « moi, et pendant plus de trois mois il ne m'appre« noit que des choses désagréables.
Page 367 - N'importe où il soit, ont» ils dit ; il vaut autant être tué que de mourir » de faim. Il ya deux jours que nous n'avons » mangé. Ils se sont informés curieusement de » ce que je dis aux communautés à mon pas...
Page 113 - Mémoires et Correspondance du maréchal de Catinat, mis en ordre et publiés d'après les manuscrits autographes et inédits conservés jusqu'à ce jour dans sa famille, avec gravures, portrait, fac-similc, cartes, plans, ordres de bataille, etc., trois vol. in.8".
Page 59 - Essayez de remettre vos finances ; veillez aux Indes et à vos flottes ; pensez au commerce, vivez dans une grande union avec la France ; rien n'étant si bon pour nos deux puissances que cette union à laquelle rien ne pourra résister1. « Si vous êtes contraint de faire la guerre, mettez-vous à la tête de vos armées.
Page 185 - Cette vallée de Neustadt, que Votre Altesse me « propose, c'est ce chemin que l'on appelle le Val « d'Enfer. Hé bien ! que Votre Altesse me pardonne « l'expression, je ne suis pas diable pour y passer. « Il faut donc remettre à l'année prochaine, et se
Page 138 - II, pag. 561. pour la défense de la patrie , de la liberté et de la religion protestante1.
Page 245 - FAIS CE QUE VOUDRAS, parce que gens libères, bien nés, bien instruits, conversant en compagnies honnêtes, ont par nature un instinct et aiguillon qui toujours les pousse à faits vertueux et retire de vice, lequel ils nommaient honneur.
Page 370 - J'ai tellement exhorté tous les paysans, « que les mères même vont arracher leurs enfans du « milieu des camisards ; et l'on m'a assuré que celle « de Roland a été le trouver, et lui a dit : Tu ne me « tueras pas, car je suis ta mère; et je ne te quitte« rai pas que tu n'aies donné le repos à ton pays.