des principes, des dogmes, des notions abstraites, était comme « dans l'état de santé; je ne me croyais donc pas malade. Les « embarras où je m'étais trouvé me semblaient des songes, et « je me disais chaque jour, qu'il ne me restait aucun symp... Unité et confusion des langues - Page 152by Feliks Władysław Michałowski - 1857 - 202 pagesFull view - About this book
| Medicine - 1872 - 812 pages
...morbide, je n'allais pas plus loin, et je me disais chaque jour qu'il ne me restait aucun symptôme ; mais dès qu'on venait me voir, je ressentais mon...vous portez-vous? Il fallait donc bien apprendre que l'exercice intime de la pensée pouvait se passer de mots, que la corporification des idées était... | |
| V. Bernies - Immortality - 1901 - 526 pages
...dogmes, des notions abstraites, était comme dans l'état de santé. Je ne me croyais donc pas malade... Mais, dès qu'on venait me voir, je ressentais mon...trouvais de dire : Bonjour, comment Vous portez-vous? » Lordat constate lui-même la nouveauté de cette analyse et de cette caractéristique ; « car,... | |
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...difficulté dans les changements qu'il me plaisait d'introduire dans l'ordre des idées ... ; mais, des qu'on venait me voir, je ressentais mon mal à l'impossibilité où je me trouvais de dire : Bonjour^ dominent vous portez-vous ? ... Le symptôme dominant a été une sorte d'ataxie nerveuse, d'aberration... | |
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