Histoire de soixante ans: la Révolution, 1789-1800, Volume 3Poulet-Malassis et De Broise, 1859 - France |
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accusés armées Arrestation attaques avaient Barrère bespierre Billaud-Varennes Bourdon de l'Oise Brissot Camille Desmoulins Carnot Carrier Chabot Chalier Charlotte Corday Chaumette chef citoyens Clootz club Collot-d'Herbois Comité de Salut condamnés Convention Cordeliers Couthon crime culte Custine d'Hébert Danton décret demande dénonça députation devant dictature Dillon discours dit-il ennemis eût Fabre d'Eglantine faction femme fête Fouché Fouquier-Tinville Gironde Girondins gouvernement guerre guillotine Hébertistes Herault de Sechelles Houchard Jacobins Jacques Roux jour juges justice l'armée du Nord l'échafaud l'Etre suprême lettre liberté Lucile Lyon Madame Roland Marat Marie-Antoinette Mayence ment Merlin de Douai mille hommes ministre morale mort motions Nantes parole patrie patriotes peuple Philippeaux politique prêtres prison prisonniers procès publique Rapport de Saint-Just représentants républicain République reste Révolution Robespierre Ronsin royalistes Saint-Just Salut public sang sauver séance sections sentiments siége sorte Sûreté générale suspects Tallien Terreur terrible Thuriot tion Toulon tribunal révolutionnaire tribune Vendéens Vergniaud Vieux Cordelier
Popular passages
Page 77 - Dès ce moment, jusqu'à celui où les ennemis auront été chassés du territoire de la république , tous les Français sont en réquisition permanente pour le service des armées.
Page 156 - J'ai à vous parler d'une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine, pardonnez-lui, ma chère sœur, pensez à l'âge qu'il a, et combien il est facile de faire dire à un enfant ce qu'on veut, et même ce qu'il ne comprend pas. Un jour viendra...
Page 387 - Divinité n'existe pas , ô toi qui te passionnes pour cette aride doctrine , et qui ne te passionnas jamais pour la patrie ? Quel avantage trouves-tu à persuader à l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées , et frappe au hasard le crime et la vertu...
Page 154 - Je suis calme comme on l'est quand la conscience ne reproche rien. J'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants ; vous savez que je n'existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur, vous qui avez, par votre amitié, tout sacrifié pour être avec nous.
Page 156 - Je demande sincèrement pardon à Dieu de toutes les fautes que j'ai pu commettre depuis que j'existe; j'espère que dans sa bonté il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis longtemps pour qu'il veuille bien recevoir mon âme dans sa miséricorde et sa bonté.
Page 155 - ... que dans sa propre famille ? Que mon fils n'oublie jamais les derniers mots de son père que je lui répète expressément, qu'il ne cherche jamais à venger notre mort.
Page 223 - On a supposé qu'en accueillant des offrandes civiques, la Convention avait proscrit le culte catholique. » Non , la Convention n'a point fait cette démarche téméraire, la Convention ne la fera jamais. Son intention est de maintenir la liberté des cultes qu'elle a proclamée, et de réprimer en même temps ceux qui en abuseraient pour troubler l'ordre public.
Page 109 - Il sera élevé sur les ruines de Lyon une colonne qui attestera à la postérité les crimes et la punition des royalistes de cette ville, avec cette inscription : Lyon fit la guerre à la Liberté ; Lyon n'est plus Le 18e jour du 1er mois l'an 2 de la République française une et indivisible Art.
Page 109 - Le nom de Lyon sera effacé du tableau des villes de la République. La réunion des maisons conservées portera désormais le nom de
Page 155 - J'espère qu'un jour, lorsqu'ils seront plus grands, ils pourront se réunir avec vous et jouir en entier de vos tendres soins. Qu'ils pensent tous deux à ce que je n'ai cessé de leur inspirer : que les principes et l'exécution exacte de ses devoirs sont la première base de la vie; que leur amitié et leur confiance mutuelle en feront le bonheur.