Correspondance des Réformateurs dans les pays de langue française, Volume 3H. Georg, 1870 - French letters |
Other editions - View all
Common terms and phrases
allusion ambassadeurs amys apud Arch atque aultres Autographe avril Bâle Baudichon Bellay Bernois Bucer Bullinger Calvin ceste ceulx chap Christi Christum Claude Claude Farel Conseil de Berne Conseil de Genève Copie décembre dict Dieu Dieuz Ecclesiæ ejus enim esset esté estre etiam Évangéliques faict février François fratres frère Fribourg Froment Furbiti Genevois Gérard Roussel Grandson Grynæus Guillaume du Bellay Guillaume Farel hæc Hist Inédite Jean Jean Sturm Jeanne de Jussie juillet L'ADVOYER l'Évêque lettre Luthériens maistre Martin Bucer Mélanchthon mihi multis Neuchâtel nihil nisi nobis nunc octobre omnes omnia omnibus orig Parolle pasteurs Payerne Pierre Toussain Pierre Viret Porral præter prescher qu'ilz quæ quàm quibus quid quidam quòd quoy Réforme renv renvoi de note Ruchat saincte Saunier Seigneur septembre sibi SOMMAIRE Strasbourg Sturm sunt tamen tibi Toussain très-chiers Vaudois verò Voyez Wingle Zurich
Popular passages
Page 312 - Dieu le créateur, luy estant en ce monde, a plus usé de miséricorde que de rigoureuse justice, et qu'il ne faut aucunes fois user de rigueur, et que c'est une cruelle mort...
Page 400 - Comment pourrai-je subsister devant le tribunal de Dieu, moi qui ayant enseigné en toute pureté l'évangile de son fils à tant de personnes qui ont souffert la mort pour cela, l'ai cependant toujours évitée, dans un âge même où, bien loin de la devoir craindre, je l'a devrais plutôt désirer...
Page 238 - Monseigneur, que vous en avez maintes prières, et n'y a houme qui ayme à lire la Sainte Escripture, que, s'il voit quelqu'un en parler légierement, qui ne le repraigne, plus pour la crainte de vous desplaire que de pugnisions. Dieu merci , Monseigneur, nul des nostres n'ont esté trouvés sacramentaires , combien qu'ils n'ont guères porté maindres peines ' ; et ne me puis garder de vous dire qu'il vous souviengne de ' « Vous savez comme le Roy a ordonné que MM.
Page 60 - Lyon, une requête pressante au sujet des livres hérétiques, en exposant fortement au roi que, s'il voulait sauver la religion, attaquée et ébranlée de tous côtés, il était d'une indispensable nécessité d'abolir pour toujours en France, par un édit sévùre, l'art de l'imprimerie, qui enfantait journellement tant de livres pernicieux.
Page 53 - J'espère, écrivait- elle au connétable de Montmo« rency, que le Roy trouvera qu'il est digne de mieulx « que du feu , et qu'il n'a jamais tenu opinion pour « le mériter, ny qui sente nulle chose hérétique. Il ya « cinq ans que je le cognois, et croyez que sy je y « eusse veu une chose doubteuse, je n'eusse point voulu « souffrir sy longuement une telle poison , ny y em
Page 128 - Dieu m'a assisté en ce grand danger de mort, duquel il m'a retiré, du glaive de ceus qui pour lors estoyent de mes ennemis : et puis, par la grâce de Dieu, sont devenus amis et domestiques en la maison de Dieu avec nous ».' Nous aimerions connaître le résultat de ces travaux de Viret à Payerne.
Page 312 - Bourgeois (et ce bourgeois était un curé), « le pape Paul adverty de l'exécrable justice et horrible que le roy faisoit en son royaume sur les luthériens, on dit qu'il manda au roy...
Page 128 - EN vérité, en vérité je vous dis, que celui qui n'entre pas par la porte dans la bergerie des brebis, mais qui y monte par un autre endroit, est un larron et un voleur. 2 Mais celui qui entre par la porte est le berger des brebis. 3 Le portier...
Page 252 - ... que je demeuroye à Basle, estant là comme caché et cognu de peu de gens, on brusla en France plusieurs fidèles et saincts personnages, et que le bruit en estant venu aux nations estranges, ces bruslemens furent trouvez fort mauvais par une...
Page 118 - Morin alla en sa chambre au collège de Fortret, où il se tenoit, pensant le constituer prisonnier: mais ne le trouvant pas, saisit tout ce que il peut de ses livres et papiers: entre lesquels estans plusieurs lettres de ses amis tant d'Orléans que d'ailleurs, on tascha de leur en faire fascherie: toutesfois Dieu voulut que cela ne vint à effect.