La Mérope française,Chez Prault fils, libraire, 1757 - 57 pages |
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Common terms and phrases
affaffin affez affurée ainfi augufte autels ayeux barbare bras C'eft C'eſt ceffez cher Ciel cœur connois courage crime cris cruel d'Egifte défefpoir défenſe déferts deffein deftins déja Dieu Dieux efclave efprits eft fon Eft-ce eft-il EGIST enfanglanté époux ERO X EROX eſt étoit EURICLE EURICLE'S facré fanglant fans doute fauver fçai fçavoir fecret fein fervir feul foible foibleffe foins foit foldats fon fang fon fils font foupçons fous fouvent fuis funefte grace hazard Hélas Héraclide himen horrible Ifmenie ISMENIE j'ai vû J'avois jufqu'à jufte juftice l'affaffin l'autel l'Elide L'himen l'inftant laiffer lieux loix Madame main maître malheureux ME'R O P Meffene MÉRO MERO PE Mérope meure meurtrier mifere monftre mort n'eft NARBA pere Peuple pitié pleurs Policlete Polifonte eft préfent preffe puni Refpectez refte Reine Rois ROPE SCENE PREMIERE tems tendreffe trifte trône trouble tyran venger vengeur verfé veux vois voix yeux yous
Popular passages
Page 11 - S'il reste un rejeton de la race d'Alcide, Si ce fils tant pleuré dans Messène est produit, De quinze ans de travaux j'ai perdu tout le fruit.
Page 55 - II court : c'était Egisthe ; il s'élance aux autels ; II monte , il y saisit , d'une main assurée , Pour les fêtes des dieux la hache préparée. Les éclairs sont moins prompts : je l'ai vu de mes yeux , Je l'ai vu qui frappait ce monstre audacieux. « Meurs , tyran , disait-il : dieux , prenez vos victimes...
Page 17 - L'un et l'autre à ces mots ont levé le poignard. Le ciel m'a secouru dans ce triste hasard : Cette main du plus jeune a puni la furie; Percé de coups, madame, il est tombé sans vie : L'autre a fui lâchement, tel qu'un vil assassin.
Page 15 - Vous me demandez que l'intérêt furmonte Cette invincible horreur que j'ai pour Polifonte ! Vous, qui me l'avez peint de fi noires couleurs!
Page 9 - Qui sert bien son pays n'a pas besoin d'aïeux. Je n'ai plus rien du sang qui m'a donné la vie ; Ce sang s'est épuisé, versé pour la patrie : Ce sang coula pour vous, et, malgré vos refus , Je crois valoir au moins les rois que j'ai vaincus ; Et je n'offre, en un mot, à votre âme rebelle, Que la moitié d'un trône où mon parti m'appelle.
Page 19 - ... jeunesse, Servir sous vos drapeaux, et vous offrir mon bras : Voilà le seul dessein qui conduisit mes pas. Ce faux instinct de gloire égara mon courage : A mes...