L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volumes 7-81774 - French literature |
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affez affure ainfi auffi augufte auroit avoient avoit c'eft c'eſt caufe ceffe chofe Comète compofer confeils confidérable connoiffances connoître déja Difcours différens Ecrivains Effai efprit enfuite eſpèce eſt étoient étoit faifant faifoit fans doute fçait fçavez fçavoir fe trouve feconde felon femble fens fentiment feroit fervir feul fiècle fieur fimple fingulier fion foient foin foit Fontaine fource fous fouvent François ftyle fuis fuite fuivant fujet fur-tout Gaulois gens gloire Harpe homme intéreffantes jufqu'à jufte juftice l'Année Littéraire l'Art l'au l'auteur l'efprit l'Hiftoire l'Orateur laiffe lefquels Lettre livres loix Louis XV ment Mercure Molière Monfieur n'eft n'eſt n'étoit Nation néceffaire obfervations ouvrage paffe paffions paroît penfer perfonne Peuple Philofophes Pierre Cardinal plaifir plufieurs Poëfie Poëte pofer pourroit préfente prefque Prince propofe puiffe qu'un raifon refpect refte Rois rue des Mathurins s'eft Saint teur tion Trogue-Pompée Troubadours ufage Voltaire vrage
Popular passages
Page 102 - Et laisse en proie à l'avide regard Un frais bouton , qui ne fleurit qu'à peine. Par le sommeil , fermé languissamment Son œil muet ne suit point son amant ; Mais sur son sein la volupté respire : Un doux penser l'agite en ce moment , Et sur sa bouche a placé le sourire.
Page 278 - Et quelles ? Ma truie hier mit bas treize petits. Oh ! c'est trop d'un , dirent nos gens assis ; La mère en tout n'a que douze mamelles : Qui nourrira le treizième ? Ma foi , Répond le drôle aux douze heureux apôtres , Qu'il s'accommode ! il fera comme moi , II verra , seul à jeun , dîner les autres.
Page 144 - L'un semble avoir vu les ridicules comme un défaut de bienséance choquant pour la société; l'autre avoir vu les vices comme un défaut de raison fâcheux pour nous-mêmes. Après la lecture du premier, je crains l'opinion publique : après la lecture du second, je crains ma conscience.
Page 229 - Turquie, fans pouvoir le fatis» faire. Chez eux la méchanceté eft en » honneur ; le courage & la courtoifie « font dans le mépris. Ils ne font aucun » cas de la probité , qu'ils regardent » comme un vain nom. Ils font plus »> avides de proie que des loups ; &• » mentent plus impudemment que des » femmes perdues. Vous les perceriez » en deux ou trois endroits pour en » faire fortir la vérité , qu'il n'en forti« roit que des menfonges , qui fe débor»
Page 293 - Prince paraît en public, il n'entend „ plus retentir autour de lui les acclama„ tions de fes fujets: le Peuple n'a pas, „ fans doute, le droit de murmurer; „ mais, fans doute auffi, il a le droit
Page 161 - L'un se charge de l'éducation et de la fortune de son fils ( car il avoit cédé aux désirs de sa famille, et un soir il se trouva marié), l'autre lui donne un asile dans sa maison. .Il se croit parmi des frères : ils vont le devenir en effet, et fa société reprend les vertus de l'âge d'or pour celui qui en a la candeur et la bonne foi.
Page 143 - ... mais chacun, selon la double différence de son genre et de son caractère, les exprime différemment. Le pinceau de Molière doit être plus énergique et plus ferme, celui de La Fontaine plus délicat et plus fin.
Page 160 - Il s'écrie , dans l'ivresse des plus doux sentimens, qu'il aime à la fois la ville, la campagne ; que tout est pour lui le souverain bien : Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique, Les chimères, le rien, tout est bon. Il retrouve en tout lieu le bonheur qu'il...
Page 226 - Seigneur , je le fais , porte le ravage dans mes Terres , malgré le ferment que nous fîmes pour la sûreté commune. Mais une chofe me raflure : non , je ne tarderai pas à brifer mes chaînes. » Chanfonniers , mes amis , Chail...
Page 223 - Mais on s'y trompe. « Puis continuant de chanter celle à qui il a donné fon cœur : » Je fuis devant elle à genoux , » les mains jointes , comme fon...