Histoire de France, depuis la révolution de 1789: écrite d'après les mémoires et manuscrits contemporains, recueillis dans les depôts civils et militaires, Volume 2Treuttel et Würtz, 1801 - France |
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... traiter avec justice ; leurs vœux n'étaient des point émis en France , et ne ressortaient pas lois françaises . Leur propriété ne pouvait être regardée que comme celle d'étrangers posses- sionnés en France ; et à ce titre , la loi ne ...
... traiter avec justice ; leurs vœux n'étaient des point émis en France , et ne ressortaient pas lois françaises . Leur propriété ne pouvait être regardée que comme celle d'étrangers posses- sionnés en France ; et à ce titre , la loi ne ...
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... traiter , fut un rapport des com- missaires Gallois et Gensonné , envoyés dans le département de la Vendée , où déja des trou- bles religieux étaient fomentés . Ce rapport fait dans les principes les plus sages , plein de vues d ...
... traiter , fut un rapport des com- missaires Gallois et Gensonné , envoyés dans le département de la Vendée , où déja des trou- bles religieux étaient fomentés . Ce rapport fait dans les principes les plus sages , plein de vues d ...
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... traiter la constitution française comme elle traita bientôt après celle de Pologne . Le décret sur les prêtres insermentés , était plus difficile encore à concilier avec les prin- eipes de liberté publique . On sentait , chaque jour ...
... traiter la constitution française comme elle traita bientôt après celle de Pologne . Le décret sur les prêtres insermentés , était plus difficile encore à concilier avec les prin- eipes de liberté publique . On sentait , chaque jour ...
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... traiter toujours les prêtres comme fonctionnaires publics , et l'esprit du clergé lui faisait préférer ce titre avec la persécution , à une nullité tranquille . Ce prétexte servait aussi à entretenir un état de guerre ouverte entre les ...
... traiter toujours les prêtres comme fonctionnaires publics , et l'esprit du clergé lui faisait préférer ce titre avec la persécution , à une nullité tranquille . Ce prétexte servait aussi à entretenir un état de guerre ouverte entre les ...
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... n'avait même pu traiter directement avec le prince de Kaunitz , ministre de François , encore roi de Hongrie la réponse qu'il avait eue du vice- que 1792 . IV . Ep . chancelier de l'empire , DEPUIS LA RÉVOLUTION . 115.
... n'avait même pu traiter directement avec le prince de Kaunitz , ministre de François , encore roi de Hongrie la réponse qu'il avait eue du vice- que 1792 . IV . Ep . chancelier de l'empire , DEPUIS LA RÉVOLUTION . 115.
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Common terms and phrases
août armées armes assurer attaque Autrichiens avaient bataillons Biron camp camp de Maulde canon cavalerie Châlons château citoyens Clairfait Clairfayt comité comité autrichien commandant commissaires conseil constitution constitutionnel convention nationale corps législatif Croix-aux-Bois déclaration décret défense déja demande département députation duc de Brunswick Dumourier émigrés ennemis envoyés Ettenheim eût événements force frontières Galbaud garde nationale général Dillon Grand-Pré grenadiers guerre j'ai jacobins jour juin Kalkreuth Kellermann L'armée du centre l'assem l'assemblée nationale l'empereur l'ennemi l'état Lafayette laisser lettre liberté lois Longwy Lukner majesté mandé marche mée membres ment messieurs mesures Metz militaire mille hommes ministre mouvement moyens municipalité n'était officiers ordres passer patrie patriotes Pétion peuple Pièces place politique porter position poste pouvait pouvoir pré prendre président princes Prusse Prussiens public publique Quiévrain rassemblements reine république retraite réunir révolution s'était Sainte-Menehould sanction séance semblée sentiments sera seul soldats sureté tion toyens troupes de ligne Valmy Verdun
Popular passages
Page 17 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 292 - Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départemens qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le peuple; actes de justice qui lui ont paru indispensables pour retenir, par la terreur, ces légions de traîtres cachés dans ses murs, au moment où il allait marcher à l'ennemi; et sans doute la nation entière, après la longue suite de trahisons qui l'ont conduite sur les bords de l'abîme, s'empressera d'adopter ce moyen si nécessaire...
Page 98 - Si ceux qui veulent renverser la monarchie ont besoin d'un crime de plus, ils peuvent le commettre. Dans l'état de crise où elle se trouve le Roi donnera jusqu'au dernier moment à fouies les autorités constituées l'exemple du courage et de la fermeté qui seuls peuvent sauver l'empire.
Page 40 - La nation française renonce à entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes, et n'emploiera jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple.
Page 151 - ... a succombé sous ses propres intrigues ; car sans doute ce n'est pas en sacrifiant trois collègues , asservis par leur insignifiance à son pouvoir, que le moins excusable, le plus noté de ces ministres aura cimenté dans le conseil du roi son équivoque et scandaleuse existence. Ce n'est pas assez néanmoins que cette branche du gouvernement soit délivrée d'une funeste influence : la chose publique est en péril ; le sort de la France repose principalement sur ses...
Page 158 - ... au courage calme et constant d'une nation qui connaît ses droits et les défend ; enfin leurs combinaisons sectaires, aux véritables intérêts de la patrie qui, dans ce moment de danger, doit réunir tous ceux pour qui son asservissement et sa ruine ne sont pas les objets d'une atroce jouissance ou d'une infâme spéculation.
Page 219 - C'est là qu'est la véritable plaie de mon cœur. Un jour, peut-être, le peuple saura combien son bonheur m'est cher, combien il fut toujours et mon seul intérêt et mon premier besoin. Que de chagrins pourraient être effacés par la plus légère marque de son retour ! Signé Louis.
Page 65 - J'ai dû épuiser tous les moyens de maintenir la paix. Maintenant je viens, aux termes de la constitution, vous proposer formellement la guerre contre le roi de Hongrie et de Bohême.
Page 44 - Tels sont les projets de la nouvelle politique qu'il adopte. Repousser la force, résister à l'oppression, tout oublier lorsqu'il n'aura plus rien à redouter, et ne plus voir que des frères dans ses adversaires vaincus, réconciliés ou désarmés : voilà ce que tous les peuples trouveront au fond du cœur des Français ; et voilà quelle est la guerre qu'ils déclareront à leurs ennemis.
Page 153 - Pouvez-vous vous dissimuler qu'une faction, et, pour éviter les dénominations vagues, que la faction Jacobite a causé tous les désordres? C'est elle que j'en accuse hautement. Organisée comme un Empire à part dans sa métropole et dans ses affiliations; aveuglément dirigée par quelques chefs ambitieux, cette secte forme une corporation distincte au milieu du peuple français, dont elle usurpe les pouvoirs, en subjuguant ses représentans et ses mandataires.