 | Pierre Corneille - 1797 - 402 pages
...définition. Or, s'il est vrai que ce dernier sentiment ne s'excite en nous par sa représentation que quand nous voyons souffrir nos semblables, et que leurs infortunes nous en font appréhender de pareilles , n'est - il pas vrai aussi qu'il y pourroit être excité plus fortement... | |
 | Pierre Corneille - 1816 - 316 pages
...défuiition. Or, s'il est vrai que ce dernier sentiment ne s'excite en nous par sa représentation que quand nous voyons souffrir nos semblables• et que leurs infortunes nous en font appréhender de pareilles; n'est-il pas vrai aussi quiil y pourroit être excité pins fortement... | |
 | Pierre Corneille - Drama - 1817 - 500 pages
...définition. Or , s'il est vrai que ce dernier sentiment ne s'excite en nous par sa représentation que quand nous voyons souffrir nos semblables, et que leurs infortunes nous en font appréhender de pareilles , n'est-il pas vrai aussi qu'il y pourroit être excité plus fortement... | |
 | Pierre Corneille - 1821 - 496 pages
...définition. Or, s'il est vrai que ce dernier sentiment ne s'excite en nous par sa représentation que quand nous voyons souffrir nos semblables, et que leurs infortunes nous en font appréhender de pareilles, n'est-il pas vrai aussi qu'il y pourroit être excité plus fortement... | |
 | French drama - 1823 - 306 pages
...définition. Or, s'il est -vrai que ce dernier sentiment ne s'excite en nous par sa représentation que quand nous voyons souffrir nos semblables, et que leurs infortunes nous en font appréhender de pareilles; n'est-il pas vrai aussi qu'il y pourroit être excité plus fortement... | |
 | 1824 - 342 pages
...définition. Or, s'il est vrai que ce dernier sentiment ne s'excite en nous par sa représentation que quand nous voyons souffrir nos semblables, et que leurs infortunes nous en font appréhender de pareilles, n'est-il pas vrai aussi qu'il y pourroit être excité plus fortement... | |
 | Elias Steinmeyer, Edward Schroeder, Gustav Roethe - German literature - 1882 - 822 pages
...semblables, et que leurs infortunes nous eti fönt apprehender de pareilles, n'estü pas vrai aussi, qn'ü y pourrait e'tre excite plus fortement, par la vue des malheurs arrives aux personn es de ndtre condition d qui nous ressemblons tout d fait, que par l'image de ceux. qui fönt... | |
 | Désiré Nisard - French literature - 1844 - 518 pages
...préface de Don Sanche, que la crainte ne s'excite en nous par la représentation de la tragédie, que quand nous voyons souffrir nos semblables et que leurs infortunes nous en font appréhender de pareilles, n'est-il pas vrai aussi qu'elle pourrait être excitée plus fortement... | |
 | Pierre Corneille, Thomas Corneille - 1844 - 570 pages
...délinition Or, s'il est vrai que ce dernier sentiment ne s'excite en nous par sa représentation que quand nous voyons souffrir nos semblables , et que leurs infortunes nous en font appréhender de pareilles, n'est-il pas vrai aussi qu'il y pourrait être excité plus fortement... | |
 | Eugène Forcade - 1845 - 666 pages
...crainte. Or, s'il est vrai que ce dernier sentiment ne s'excite en nous par sa représentation que quand nous voyons souffrir nos semblables, et que leurs infortunes nous en font appréhender de pareilles, n'est-il pas vrai aussi qu'il y pourrait être excité plus fortement... | |
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Or s'il est vrai que ce dernier sentiment ne s'excite en nous par sa représentation que quand nous voyons souffrir nos semblables, et que leurs infortunes nous en font appréhender de pareilles, n'est-il pas vrai aussi qu'il y pourrait être excité... 
