LETTERES JEAN CALVIN1854 |
Common terms and phrases
advisez affin ainsy assez aultres aura aussy avez avoit avons Berne besoing Bèze Bibl bon Dieu Calvin cause celuy ceste ceulx charge chers choses commun confession conseil costé d'aultant d'avoir d'estre demande désir désirer desjà devant dict dire doctrine doibt donner doubte eccl Eglise Esprit esté estoit estre eust exhorter faict fault fidèles frères fust garde Genève gens Hist homme humblement j'ay Jésus-Christ jour juger jusques l'Eglise l'Evangile laisser lettres lieu Madame main maintenir ment mesme mieux ministre moien monde Monseigneur Monsieur monstrer mort n'en Navarre parole Parquoy passé peine penser Père porter pource premier présent prie prier prince propos protestants pure qu'en quoy raison recommandé Réforme regarder rendre reste rien s'en s'il sainct salut seigneurs semble sentir sera seroit servir seulement sinon Sire soiez sommes tellement tenir tost tousjours toutesfois troubles trouvé vérité vertu voiez vostre Vray
Popular passages
Page 563 - Dieu en l'Eglise de Genève, me sentant tellement abattu de diverses maladies que je ne puis autrement penser sinon que Dieu me veut retirer en brief de ce monde...
Page 566 - David, leur frère, pour ce qu'il a esté léger et volnge , je ne luy donne que vingt-cinq escus pour chastiment. C'est en somme tout le bien que Dieu m'a donné , selon que je l'ay peu taxer et estimer, tant en livres qu'en meubles, vaisselle et tout le reste.
Page 158 - Il faut donc, à cause de lui, que non-seulement on endure que les supérieurs dominent, mais aussi qu'on les honore et prise en toute révérence, les tenant pour ses lieutenants et officiers, lesquels il a commis pour exercer une charge légitime et sainte. XL. Nous tenons donc qu'il faut obéir à leurs lois et statuts...
Page 156 - Mesmes , quoy qu'ils s'eflbrcent, qu'il leur convient avoir incessamment leur recours à la rémission de leurs péchés. Nous croyons que les sacremens sont conjoints à la parolle pour plus ample confirmation, affin de nous estre gages et méraux de la grâce de Dieu , et par ce moyen soulager et ayder nostre foy, à cause de l'infirmité et rudesse qui est en nous. Nous tenons aussy que la substance d'iceux est Jésus-Christ , car estans séparéz de luy ils perdent toute vertu. Nous croyons que...
Page 157 - Or, bien qu'il soit au ciel jusqu'à ce qu'il vienne pour juger tout le monde* toutefois nous croyons que par la vertu secrète et incompréhensible de son Esprit, il nous nourrit et vivifie de la substance de son corps et de son sang...
Page 575 - J'ay vescu icy en combats merveilleux ; j'ay esté salué par mocquerie le soir devant ma porte de 50 ou 60 coups d'arquebute. Que pensez-vous que cela pouvoit estonner un pauvre escholier timide comme je suis, et comme je l'ay...
Page 142 - Nous vous donnons doncques le conseil duquel nous vouldrions estre modéréz et retenus en cas semblable. Et de faict il vauldroit mieulx que nous fussions tous abysméz, que l'Evangile de Dieu fust exposé à ce blasme, qu'elle fist armer les gens à sédition et tumulte , car Dieu fera tousjours fructifier les cendres de ses serviteurs; mais les excéz et violences n'apporteront que stérilité. Parquoy, très chers seigneurs et frères, monstrez que vous avez profité...
Page 565 - Au reste, je désire que mon corps après mon décèz, soit ensevely à la façon accoustumée, en attendant le jour de la résurrection bienheureuse. Touchant le peu de bien que Dieu m'a donné icy pour en disposer, je nomme et institue pour mon héritier unique mon frère...
Page 177 - Dieu soyez , très chers et honorés pères et frères. Toute l'Eglise qui est icy au Seigneur et le ministre d'icelle vous saluent. Autant en fait maistre Jean Knox, Escossois, singulier organe du Sainct-Esprit, lequel selon les grâces que le Seigneur a prodigalement espandues en luy, s'est fidèlement employé pour promouveoir par sainctes prédications la gloire de Christ, durant le peu de temps qu'il luy a esté loisible de converser avec nous.
Page 589 - Ces deux lettres où le patriarche des P. réformés s'est peint .au naturel , lui font si peu d'honneur qu'il n'est rien que l'on n'ait mis en œuvre pour les retirer d'entre les mains de M. du Poët, jusque-là qu'un ministre des Cévennes ayant demandé à les lire, voulut s'en saisir de force, ce qui donna lieu à une scène un peu vive dont on imagine bien que les suites ne furent pas à l'avantage du prédicant. » Telle est la première mention...