la pefanteur, la légèreté des corps, à juger de leur grandeur, de leur figure, & de toutes leurs qualités fenfibles, en regardant, palpant, écoutant, fur-tout en comparant la vue au toucher, en efiimant à l'œil la fenfation qu'ils feroient fous... Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique et ... - Page 610by Jean Baptiste Robinet - 1780 - 696 pagesFull view - About this book
| Jean-Jacques Rousseau - Education - 1777 - 362 pages
...trèsne'ceflàire. C'efl ainfi qu'il apprend à fentir la chaleur , Te froid , la dureté, la molleflè, la pefanteur , la légèreté des corps , à juger...grandeur, de leur figure, & de toutes leurs qualités fenfj.-. Ce n'eft que par le mouvement que nous apprenons qu'il ya des chofes qui ne font pas nous... | |
| Jean Baptiste Robinet - France - 1780 - 720 pages
...très-néceffaire. C'eft ainfi qu'il apprend à fentir la chaleur, le froid, la dureté, la molleffe, la pefanteur, la légèreté des corps, à juger de...par le mouvement, que nous apprenons qu'il ya des chofes qui ne font pas nous; & ce n'eft que par notre propre mouvement que nous acquérons l'idée... | |
| Jean Baptiste Robinet - France - 1780 - 714 pages
...très-néceflaire. C'eft ainfi qu'il apprend à fentir la chaleur, le froid, la dureté, la molleife, la pefanteur, la légèreté des corps, à juger de...écoutant, fur-tout en comparant la vue au toucher, en ellimant à l'œil la fenfation qu'ils feroient fous fes doigts. Ce n'eft que par le mouvement, que... | |
| Rousseau - 1782 - 406 pages
...C'eft ainii qu'il' apprend à fentir la chalettr, le froid , la dureté , la molleffe , la pefenteur , la légèreté des corps, à juger de leur grandeur...regardant, palpant^ ) écoutant, fur-tout en comparant la au toucher , en efîimant à l'œil la fenfation qu'ils fèroient fous fes doigts. Ce n'eft que par... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 400 pages
...fentir la chaleur, le froid', la dureté, la molleiTç , la pefanteur , la légèreté des corps r à juger de leur grandeur, de leur figure & de toutes...leurs qualités fenfibles , en regardant, palpant, (. 16 ) écoutant, furtout en comparant la vue au toucher ^ en eftimant à l'œil la fehfation quili... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1785 - 494 pages
...écoutant, furtout en comparant la vue au toucher, en eftimant à l'œil la fenfation qu'il feroit fous fes doigts. Ce n'eft que par le mouvement, que nous apprenons qu'il ya des chofcs qui ne font DE J. *= J. ROUSSEAU. iSl pas nous; & ce n'eft que par notre propre mouvement que... | |
| Ludwig Ideler - 1812 - 618 pages
...très-nécessaire. C'est ainsi qu'il apprend à sentir la chaleur, le froid, la dureté, la mollesse, la pesanteur, la légèreté des corps, à juger de leur grandeur, de leur figure et de toutes leurs qualités sensibles, en regardant, palpant *), *) I."odorat est de tou* lut sens... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1823 - 508 pages
...très-nécessaire. C'est ainsi qu'il apprend à sentir la chaleur, le froid, la dureté, la mollesse, la pesanteur, la légèreté des corps, à juger de leur grandeur, de leur figure, et de toutes leurs qualités sensibles, en regardant, palpant*, écoutant, surtout en comparant la... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 514 pages
...nécessaire. C'est ainsi qu'il apprend à sentir la chaleur, le froid, ladureté, la mollesse, la pesanteur, la légèreté des corps, à juger de leur grandeur, de leur figure, et de toutes leurs qualités sensibles, en regardant, palpant 1 , écoutant, sur-tout en comparant... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1826 - 488 pages
...nécessaire. C'est ainsi qu'il apprendà sentir la chaleur, le froid, la dureté, la mollesse, la pesanteur, la légèreté des corps, à juger de leur grandeur, de leur figure, et de toutes leurs qualités sensibles, en regardant, palpant ', écoutant, surtout en comparant la... | |
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