| N. La Mothe - 1740 - 626 pages
...fermeté de fon difcours &? la chaleur avec laquelle il a défendu le pauvre f enfle. Je îen eftime , car on ne nous flatte toujours que trop: mais néanmoins , il en a un peu trop dit, et me femble , pour une perfonne aujjî bien intentionnée que je le fuis, qui fouhaiterois de tout... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard), Alexandre Petitot, Louis-Jean-Nicolas Monmerqué - France - 1824 - 476 pages
...commanda de lui dire ce qui m'avoit semblé des harangues. Comme elle vit pat ma réponse que j'etois assez satisfaite de la liberté de l'avocat général,...de le louer ; j'approuve fort la fermeté « de son discours , et la chaleur avec laquelle il a dé« fendu le pauvre peuple. Je l'en estime, car on ne... | |
| France - 1824 - 476 pages
...surtout me commanda de lui dire ce qui m'avoit semblé des harangues. Comme elle vit par ma réponse que j'étois assez satisfaite de la liberté de l'avocat...de le louer; j'approuve fort la fermeté « de son discours , et la chaleur avec laquelle il a dé« fendu le pauvre peuple. Je l'en estime, car on ne... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1824 - 476 pages
...surtout me commanda de lui dire ce qui m'avoit semblé des harangues. Comme elle vit par ma réponse que j'étois assez satisfaite de la liberté de l'avocat...de le louer ; j'approuve fort la fermeté « de son discours , et la chaleur avec laquelle il a défi fendu le pauvre peuple. Je l'en estime, car on ne... | |
| Joseph Fr. Michaud - France - 1838 - 656 pages
...surtout me commanda de lui dire ce qui m'avoit semblé des harangues. Comme elle vit par ma réponse que j'étois assez satisfaite de la liberté de l'avocat...louer; j'approuve fort la fermeté de son dis« cours , tt la chaleur avec laquelle il a défendu • le pauvre peuple. Je l'en estime , car on ne « nous... | |
| Joseph Fr. Michaud - France - 1838 - 646 pages
...grande Reine : « Vous avez raison de le « louer; j'approuve fort la fermeté de son dis« cours , tt la chaleur avec laquelle il a défendu « le pauvre peuple. Je l'en estime, carón ne « nous flatte toujours que trop ; mais néanmoins « ¡1 en a un peu trop dit, ce me semble,... | |
| Joseph Fr. Michaud - France - 1851 - 644 pages
...surtout me commanda de lui dire ce qui m'avoit semblé des harangues. Comme elle vit par ma réponse que j'étois assez satisfaite de la liberté de l'avocat...avec estime, elle me répondit ces belles paroles, digues d'une grande Reine : « Vous avez raison de le « louer; j'approuve fort la fermeté de son... | |
| Françoise de Motteville - France - 1855 - 466 pages
...des finances T. II. lui dire ce qui m'avoit semblé des harangues. Connue elle vit par ma réponse que j'étois assez satisfaite de la liberté de l'avocat général, et que j'en parfois avec estime, elle me répondit ces belles paroles, dignes d'une grande Reine : « Vous avez... | |
| Henri-Léonard Bordier, Édouard Charton - Art - 1860 - 620 pages
...par d'autres. Le soir , la reine dit avec chagrin à l'une de ses femmes ( Mro<> de Motleville ) : « Vous avez raison de le louer; j'approuve fort la fermeté de son discours et la chaleur avec laquelle il a défendu le pauvre peuple. .le l'estime, car on ne nous flatte... | |
| Henri Léonard Bordier, Édouard Charton - France - 1862 - 624 pages
...par d'autres. Le soir , la reine dit avec chagrin à l'une de ses femmes ( Mmo de Motteville ) : « Vous avez raison de le louer; j'approuve fort la fermeté de son discours et la chaleur avec laquelle il a défendu le pauvre peuple. Je l'estime , car on ne nous flatte... | |
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