| Paris (France) - 1826 - 872 pages
...répondu que l'on n'en sa\oit rien, et c'était la ventée. 14 monta sur l'échafaud et voulut_/ô«cer sur le devant comme voulant parler. Mais on lui représenta que la chose rii.il impossible encore . il se laissa alors conduire à l'endroit où on l'attachât et où il s'est... | |
| 1826 - 444 pages
...lui fut répondu «jue l'on n'en savoit rien, et c'étoîs la véritée. Il monta sur l'échafaud et voulut foncer sur le devant comme voulant parler. Mais on lui représenta que la chose étoit impossible encore , il se laissa alors «induire à l'endroit où on l'attachat et où il s'est... | |
| comte de Courchamps - France - 1834 - 442 pages
...un dernier sacrifice. Il s'informa si les tambours battraient toujours; il lui fut répondu que l'on n'en savait rien, et c'était la vérité. Il monta...voulut foncer sur le devant, comme voulant parler; maison lui représenta que la chose était impossible encore ; il se laissa alors conduire à l'endroit... | |
| comte de Courchamps - France - 1836 - 426 pages
...un dernier sacrifice. Il s'informa si les tambours battraient toujours; il lui fut répondu que l'on n'en savait rien, et c'était la vérité. Il monta sur l'échafaud ; il voulut foncer sur Je devant, comme voulant parler ; mais on lui représenta que la chose était impossible encore ; il... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 336 pages
...Il lui fut répondu que l'on » n'en savoitrien, et c'etoit la véritée. Il monta l'echaffaud et » voulut foncer sur le devant comme voulant parler. Mais? on » lui représenta que la chose éloit impossible encore, il se » l'aissa alors conduire a l'endroit oft on l'attachât et où il... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1839 - 296 pages
...Il lui fut répondu que l'on n'en savoit • rien , et c'étoit la verilee. Il monta l'echaffaud et voulut foncer • sur le devant comme voulant parler. Mais? on lui représenta « que la chose éloit impossible encore, il se l'aissa alors conduire • a l'endroit où on l'atlachat et où il... | |
| comte de Courchamps - France - 1840 - 526 pages
...dernier sacrifice. Il s'informa si les tambours battraient toujours ; il lui fut répondu que l'on n'en savait rien, et c'était la vérité. Il monta...était impossible encore ; il se laissa alors conduire a l'endroit où on l'attacha et où il s'est écrié très haut : PEUPLE, JE MEURS INNOCENT! ensuite,... | |
| comte de Courchamps - France - 1840 - 502 pages
...tambours battraient toujours ; il lui fut répondu que l'on n'en savait rien , et c'était la vénté. 11 monta sur l'échafaud ; il voulut foncer sur le devant,...était impossible encore; il se laissa alors conduire a l'endroit où on l'attacha et où il s'est écrié très haut : PEUPLE, JE MEURS INNOCENT! ensuite,... | |
| Augustin Challamel, Wilhelm Ténint, Léopold Massard - France - 1843 - 494 pages
...lorsqu'il s'est agi de lui lier les mains , qu'il donna lui-même lorsque la personne qui l'accompagnait lui eut dit que c'était un dernier sacrifice. Il...l'endroit où on l'attacha et où il s'est écrié très-haut : PEUPLE, JE MEURS INNOCENT! ensuite se retournant vers nous, il nous dit : JE suis INNOCENT... | |
| Augustin Challamel - France - 1843 - 412 pages
...toujours ; il lui fut répondu qu'on n'en savait rien, et c'était la vérité. Il monta sur l'échafuud. Il voulut foncer sur le devant, comme voulant parler...l'endroit où on l'attacha et où il s'est écrié très-haut : PEUPLE, JE MEURS INNOCENT! ensuite se retournant vers nous, il nous dit : JE suis INNOCENT... | |
| |