Le règne de Marie-Thérèse dans les Pays-Bas autrichiens |
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administrations affaires Anvers août archives Arneth Aufzeignungen avaient avril Bartenstein Belges Belgique Bruges Bruxelles carton Chancellerie des Pays-Bas CHAPITRE charge Charles de Lorraine châtellenies civil clergé colléges commerce compagnie d'Ostende comte de Cobenzl conseil de Brabant Conseil privé Conseil suprême conseillers conseils de justice cour Courtrai Crumpipen Décret du prince devait dispositions ecclésiastiques établissements exécution fabriques février finances fiscaux flamand Flandre Gachard Gand gouvernement autrichien guerre Hainaut Harrach hist Hollande Ibid introduits janvier jésuites jointe juillet juin juridiction Kaunitz l'Académie l'Angleterre l'Autriche l'enseignement l'État l'impératrice lettres Limbourg Louvain Luxembourg Malines Manufacture Maria-Theresia mars ment mesures ministre Namur Neny octobre Octroi ordonnance Ostende pays Pays-Bas autrichiens Plac placard Placc pouvait prince Charles professeurs provinces provinces des Pays-Bas Provinces-Unies publication publier puissances maritimes règlement règne de Marie-Thérèse reine religieux seulement souverain Starhemberg subsides sujet Tarouca tions traité tribunaux Vander Verloo villes voulait XVIIIe siècle Ypres
Popular passages
Page 185 - Mémoires sur la question : quels étaient les endroits compris dans l'étendue des contrées qui composent aujourd'hui les dix-sept provinces des Pays-Bas et du pays de Liège qui pouvaient passer pour villes avant le septième siècle...
Page 71 - VE pour la place de surintendant de la bibliothèque des bollandistes ; car il est fort persuadé que les bénits pères déménageront de nos provinces. Pour donner du poids à la supplication, il veut voler de cette bibliothèque et se propose de présenter à VE le plus beau Pline de l'univers II ya aussi quelque prix pour ma recommandation : c'est je ne sçai quel livre grec extrêmement rare.
Page 126 - Par une circulaire (4 août 1764) il ordonna aux conseillers fiscaux (2) de ne pas se contenter de viser les catalogues des livres, qui avaient été approuvés par un censeur ecclésiastique, « attendu, est-il dit dans la consulte, que les gens d'église cherchent souvent à faire valoir leurs principes, au préjudice des droits des souverains, des lois de l'État, des libertés et priviléges des peuples. » Ils ne pouvaient pas, selon les mêmes dispositions, prohiber les livres non proscrits...
Page 9 - Le ton trop menaçant avec les Russes, notre conduite mystérieuse, tant avec nos Alliés que nos adversaires, tout cela est provenu qu'on a mis pour principe à chercher à profiter de la guerre entre la Porte et la Russie pour étendre nos frontières et obtenir des avantages, auxquels nous ne pensions pas avant la guerre. On voulait agir à la Prussienne, et voulait en même temps retenir les apparences d'honnêteté.
Page 70 - Koch (2) : car il est sûr qu'il a un esprit supérieur, et qu'un mot venant de Votre Majesté lui fera faire beaucoup de réflexion. Cependant je supplie Votre Majesté qu'il ne sache pas que j'ai pris la liberté de demander cela à Votre Majesté, ne proposant cela que pour le bien du service, et pour son propre bien à lui personnellement; n'ayant de mon côté qu'à me louer de son assiduité.
Page 5 - Ces lois fondamentales supposent nécessairement des canaux moyens par où coule la puissance : car, s'il n'ya dans l'État que la volonté momentanée et capricieuse d'un seul, rien ne peut être fixe, et, par conséquent, aucune loi fondamentale.
Page 185 - Quels étaient les endroits compris dans l'étendue des contrées qui composent aujourd'hui les dix-sept provinces des Pays-Bas et le pays de Liège, qui pouvaient passer pour villes avant le VII e siècle•
Page 47 - Prusse ; dangereux , parce qu'en temps de guerre ce serait encore ce prince qui dicteroit l'usage à faire des forces de l'alliance. De façon que je verrois ruiner mes armées, sacrifier mes intérêts et en un mot abaisser ma maison. Et en temps de paix, on la dépouillerait de toute considération (1). „ C'était aussi la manière de voir de de Kaunitz (2). Une haine implacable contre la Prusse , la perspective d'un amour-propre plus ou moins froissé , la...
Page 9 - Représentant surtout une puissance conservatrice, la reine essaye des réformes parfois intempestives, qui finissent par la ruine de sa dynastie. Une trop haute idée de sa puissance, de sa dignité et du lustre de sa maison , quelque propension à l'espionnage et aux délations, une sincérité douteuse (1) nuisaient singuliè(1) A propos du peu de sincérité de son gouvernement, l'impératrice le déplore dans une lettre à son fils : « Notre conduite mystérieuse tant avec nos alliés que nos...
Page 12 - Par son habileté, son activité et ses talents, il dominait complétement le conseil et devint le favori de l'empereur (1). En continuant à remplir leurs fonctions sous le règne de Marie-Thérèse, chacun de ces conseillers garda le rôle qu'il avait joué sous Charles VI (2). Un seul y fit exception. Ce fut Bartenstein. Plus actif que jamais, il devint plus fertile en expédients, et mettant à profit les faiblesses de la reine, caressant toujours sa vanité, il lui inspira la jalousie du pouvoir...