Le socialisme depuis l'antiquité jusqu'à la Constitution française du 14 janvier 1852, Volume 1Valinthout et Cie, 1852 - Socialism |
From inside the book
Results 1-5 of 47
Page 38
... pauvres et grossières . Il n'en fut plus de même après la guerre du Péloponèse ( 431 à 405 avant J.-C. ) . Le sentiment de la propriété se manifesta avec d'autant plus de force qu'il avait été plus énergiquement comprimé ; la sévérité ...
... pauvres et grossières . Il n'en fut plus de même après la guerre du Péloponèse ( 431 à 405 avant J.-C. ) . Le sentiment de la propriété se manifesta avec d'autant plus de force qu'il avait été plus énergiquement comprimé ; la sévérité ...
Page 65
... pauvres , de manière que chacun d'eux obtienne au moins trois arpents et demi . Les patriciens possédant plus de deux cent cinquante arpents du domaine national seront tenus de restituer l'excédant ( 1 ) . » Voilà les lois agraires ...
... pauvres , de manière que chacun d'eux obtienne au moins trois arpents et demi . Les patriciens possédant plus de deux cent cinquante arpents du domaine national seront tenus de restituer l'excédant ( 1 ) . » Voilà les lois agraires ...
Page 70
... pauvres une grande partie des propriétés publiques situées en Italie ( 1 ) . Tel était l'état des choses au moment de l'établissement de l'Empire . On le voit les lois agraires de Rome n'ont jamais eu la signification que quelques ...
... pauvres une grande partie des propriétés publiques situées en Italie ( 1 ) . Tel était l'état des choses au moment de l'établissement de l'Empire . On le voit les lois agraires de Rome n'ont jamais eu la signification que quelques ...
Page 78
... pauvres la patience et la résignation . Il ne leur dit point que les riches se sont emparés du patrimoine com- mun que Dieu avait destiné à l'espèce humaine ; il ne les engage pas à revendiquer une part du capital naturel ; il n ...
... pauvres la patience et la résignation . Il ne leur dit point que les riches se sont emparés du patrimoine com- mun que Dieu avait destiné à l'espèce humaine ; il ne les engage pas à revendiquer une part du capital naturel ; il n ...
Page 85
... pauvres une part des biens dont le Père céleste l'a gratifié : il a fait de la charité la première des vertus ( 1 ) . Comment les socialistes modernes ne se sont - ils pas aper- çus , dès l'abord , que cette doctrine touchante est incom ...
... pauvres une part des biens dont le Père céleste l'a gratifié : il a fait de la charité la première des vertus ( 1 ) . Comment les socialistes modernes ne se sont - ils pas aper- çus , dès l'abord , que cette doctrine touchante est incom ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Anabaptistes apôtres Aristote avaient Babœuf besoins bonheur Cabet Campanella Carpocrate chefs choses chrétiens christianisme cité citoyens civilisation classes Clément d'Alexandrie communauté communisme conséquences Contrat social Crète Crétois démocratique Dieu disait-il disciples dit-il doctrine domaine économiques également enfants Esséniens famille femmes Fourier galité gnosticisme gouvernement guerre Hist hommes humaine Ibid Icarie idées institutions Jean de Leyde justice l'égalité l'Église l'État l'Évangile l'histoire l'homme l'humanité l'organisation législation liberté livre lois Lollard Louis Blanc Lycurgue Mably magistrats ment misère modernes monde morale Moravie Morelly Morus munauté Müncer nature organisation Owen paroles passions pauvres peuple phalange phalanstère philosophe Platon Plutarque politique population priété principes propriétaires propriété individuelle Proudhon public publique réformateurs religieux république reste révolution riches richesses Robespierre Rousseau s'était saint Saint-Simon science sectaires secte sera seul siècle société sort Sparte Spartiates Storck Sudre suivant système Tanquelinus terre théorie tion trad travail trouve universelle Villegardelle Voyage en Icarie
Popular passages
Page 263 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou. comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne...
Page 294 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 302 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 251 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 161 - Ton nom, si longtemps le dernier mot du savant, la sanction du juge, la loroe du prince, l'espoir du pauvre, le refuge du coupable repentant, eh bien ! ce nom incommunicable, désormais .voué au mépris et à l'anathème, sera sifflé parmi les hommes. Car Dieu, c'est sottise et lâcheté; Dieu, c'est hypocrisie et mensonge; Dieu, c'est tyrannie et misère; Dieu, c'est le mal.
Page 308 - Nous voulons un ordre de choses où toutes les passions basses et cruelles soient enchaînées, toutes les passions bienfaisantes et généreuses éveillées par les lois; où l'ambition soit le désir de mériter la gloire et de servir la patrie; où les distinctions ne naissent que de l'égalité même...
Page 270 - Quoi ! la liberté ne se maintient qu'à l'appui de la servitude ? Peut-être. Les deux excès se touchent. Tout ce qui n'est point dans la nature a ses inconvénients, et la société civile plus que tout le reste.
Page 256 - Je le vois se rassasiant sous un chêne, se désaltérant au premier ruisseau, trouvant son lit au pied du même arbre qui lui a fourni son repas ; et voilà ses besoins satisfaits.
Page 257 - ... ses désirs ne passent pas ses besoins physiques (k) ; les seuls biens qu'il connaisse dans l'univers sont la nourriture, une femelle et le repos; les seuls maux qu'il craigne sont la douleur et la faim.
Page 27 - Mais aucun de nous n'est lui. — Chacun de nous vit de sa vie, — et tous nous communions en lui ; car il est TOUT CE QUI EST* ». Nul de nous n'est hors de lui!