Le socialisme depuis l'antiquité jusqu'à la Constitution française du 14 janvier 1852, Volume 1Valinthout et Cie, 1852 - Socialism |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 5
... une mer profonde et tranquille . Les défenseurs et les adversaires du socialisme ont attribué aux études historiques une importance exagérée . Aussitôt que les premiers découvrent , chez l'un ou l'autre peuple de l'antiquité , une ...
... une mer profonde et tranquille . Les défenseurs et les adversaires du socialisme ont attribué aux études historiques une importance exagérée . Aussitôt que les premiers découvrent , chez l'un ou l'autre peuple de l'antiquité , une ...
Page 12
... un mot du droit d'insurrection , admis dans l'ile . Au commencement du XIIIe siècle avant Jésus - Christ , le ... l'un d'eux les institutions de l'île de Crète ( V. I , 61 et 94 , IV , 62 ; éd . Charpentier ) . - Je m'abstiendrai ...
... un mot du droit d'insurrection , admis dans l'ile . Au commencement du XIIIe siècle avant Jésus - Christ , le ... l'un d'eux les institutions de l'île de Crète ( V. I , 61 et 94 , IV , 62 ; éd . Charpentier ) . - Je m'abstiendrai ...
Page 17
... l'une pour le culte des dieux et les dépenses de l'admi- nistration , l'autre pour les repas publics des hommes libres ( 1 ) . Ceux - ci ne faisaient qu'un métier , la guerre ; ils n'appré- ciaient qu'une seule vertu , la valeur du ...
... l'une pour le culte des dieux et les dépenses de l'admi- nistration , l'autre pour les repas publics des hommes libres ( 1 ) . Ceux - ci ne faisaient qu'un métier , la guerre ; ils n'appré- ciaient qu'une seule vertu , la valeur du ...
Page 33
... une atteinte irréparable . Un Éphore , nommé Épi- tadès , fit adopter une loi qui , tout en attachant le déshon- neur à l'achat et à la vente d'un patrimoine , permettait de disposer arbitrairement de son bien par donation entre - vifs ...
... une atteinte irréparable . Un Éphore , nommé Épi- tadès , fit adopter une loi qui , tout en attachant le déshon- neur à l'achat et à la vente d'un patrimoine , permettait de disposer arbitrairement de son bien par donation entre - vifs ...
Page 38
... une réforme non moins importante . A l'épo- que où Aristote composa sa Politique , les richesses se trou- vaient concentrées aux mains d'un petit nombre de citoyens ; et lorsque le roi Agis essaya de réformer les abus , on comptait à ...
... une réforme non moins importante . A l'épo- que où Aristote composa sa Politique , les richesses se trou- vaient concentrées aux mains d'un petit nombre de citoyens ; et lorsque le roi Agis essaya de réformer les abus , on comptait à ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Anabaptistes apôtres Aristote avaient Babœuf besoins bonheur Cabet Campanella Carpocrate chefs choses chrétiens christianisme cité citoyens civilisation classes Clément d'Alexandrie communauté communisme conséquences Contrat social Crète Crétois démocratique Dieu disait-il disciples dit-il doctrine domaine économiques également enfants Esséniens famille femmes Fourier galité gnosticisme gouvernement guerre Hist hommes humaine Ibid Icarie idées institutions Jean de Leyde justice l'égalité l'Église l'État l'Évangile l'histoire l'homme l'humanité l'organisation législation liberté livre lois Lollard Louis Blanc Lycurgue Mably magistrats ment misère modernes monde morale Moravie Morelly Morus munauté Müncer nature organisation Owen paroles passions pauvres peuple phalange phalanstère philosophe Platon Plutarque politique population priété principes propriétaires propriété individuelle Proudhon public publique réformateurs religieux république reste révolution riches richesses Robespierre Rousseau s'était saint Saint-Simon science sectaires secte sera seul siècle société sort Sparte Spartiates Storck Sudre suivant système Tanquelinus terre théorie tion trad travail trouve universelle Villegardelle Voyage en Icarie
Popular passages
Page 263 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou. comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne...
Page 294 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 302 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 251 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 161 - Ton nom, si longtemps le dernier mot du savant, la sanction du juge, la loroe du prince, l'espoir du pauvre, le refuge du coupable repentant, eh bien ! ce nom incommunicable, désormais .voué au mépris et à l'anathème, sera sifflé parmi les hommes. Car Dieu, c'est sottise et lâcheté; Dieu, c'est hypocrisie et mensonge; Dieu, c'est tyrannie et misère; Dieu, c'est le mal.
Page 308 - Nous voulons un ordre de choses où toutes les passions basses et cruelles soient enchaînées, toutes les passions bienfaisantes et généreuses éveillées par les lois; où l'ambition soit le désir de mériter la gloire et de servir la patrie; où les distinctions ne naissent que de l'égalité même...
Page 270 - Quoi ! la liberté ne se maintient qu'à l'appui de la servitude ? Peut-être. Les deux excès se touchent. Tout ce qui n'est point dans la nature a ses inconvénients, et la société civile plus que tout le reste.
Page 256 - Je le vois se rassasiant sous un chêne, se désaltérant au premier ruisseau, trouvant son lit au pied du même arbre qui lui a fourni son repas ; et voilà ses besoins satisfaits.
Page 257 - ... ses désirs ne passent pas ses besoins physiques (k) ; les seuls biens qu'il connaisse dans l'univers sont la nourriture, une femelle et le repos; les seuls maux qu'il craigne sont la douleur et la faim.
Page 27 - Mais aucun de nous n'est lui. — Chacun de nous vit de sa vie, — et tous nous communions en lui ; car il est TOUT CE QUI EST* ». Nul de nous n'est hors de lui!