Le socialisme depuis l'antiquité jusqu'à la Constitution française du 14 janvier 1852, Volume 1Valinthout et Cie, 1852 - Socialism |
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... avaient été placés au rang des dieux . Les exploits des ancêtres avaient pris cette teinte de poésie et de mystère que le génie riant du peuple aimait à imprimer aux actes des divinités de l'Olympe . Cependant , au milieu des fictions ...
... avaient été placés au rang des dieux . Les exploits des ancêtres avaient pris cette teinte de poésie et de mystère que le génie riant du peuple aimait à imprimer aux actes des divinités de l'Olympe . Cependant , au milieu des fictions ...
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... avaient le commandement des armées , qu'on les chargeait de toutes les ambassades , qu'ils avaient le droit de saisir les biens et les personnes ( p . 362 et 363 ) . Il ajoute qu'ils jouissaient du droit de préséance sur les sénateurs ...
... avaient le commandement des armées , qu'on les chargeait de toutes les ambassades , qu'ils avaient le droit de saisir les biens et les personnes ( p . 362 et 363 ) . Il ajoute qu'ils jouissaient du droit de préséance sur les sénateurs ...
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... avaient aussi le triste privilége d'être attachés au sol de la Laconie . Il faut ici se référer aux coutumes gé- nérales de la race dorienne . Les conquérants laissaient aux vaincus la jouis- sance d'une portion du sol , à condition de ...
... avaient aussi le triste privilége d'être attachés au sol de la Laconie . Il faut ici se référer aux coutumes gé- nérales de la race dorienne . Les conquérants laissaient aux vaincus la jouis- sance d'une portion du sol , à condition de ...
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... avaient obtenu un traité ou qu'ils n'avaient cédé qu'à la force . Les La- cédémoniens se trouvaient si bien dans une condition exceptionnelle que , pour l'expliquer , on a supposé l'existence d'une convention primitive par laquelle les ...
... avaient obtenu un traité ou qu'ils n'avaient cédé qu'à la force . Les La- cédémoniens se trouvaient si bien dans une condition exceptionnelle que , pour l'expliquer , on a supposé l'existence d'une convention primitive par laquelle les ...
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Jean Joseph Thonissen. de table avaient poétisé cette exploitation du faible par le fort , du serf par le citoyen , du laboureur par le guerrier ; ils chan- taient « Ma grande richesse est ma lance ; mon glaive et mon » solide bouclier ...
Jean Joseph Thonissen. de table avaient poétisé cette exploitation du faible par le fort , du serf par le citoyen , du laboureur par le guerrier ; ils chan- taient « Ma grande richesse est ma lance ; mon glaive et mon » solide bouclier ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 263 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou. comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne...
Page 294 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 302 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 251 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 161 - Ton nom, si longtemps le dernier mot du savant, la sanction du juge, la loroe du prince, l'espoir du pauvre, le refuge du coupable repentant, eh bien ! ce nom incommunicable, désormais .voué au mépris et à l'anathème, sera sifflé parmi les hommes. Car Dieu, c'est sottise et lâcheté; Dieu, c'est hypocrisie et mensonge; Dieu, c'est tyrannie et misère; Dieu, c'est le mal.
Page 308 - Nous voulons un ordre de choses où toutes les passions basses et cruelles soient enchaînées, toutes les passions bienfaisantes et généreuses éveillées par les lois; où l'ambition soit le désir de mériter la gloire et de servir la patrie; où les distinctions ne naissent que de l'égalité même...
Page 270 - Quoi ! la liberté ne se maintient qu'à l'appui de la servitude ? Peut-être. Les deux excès se touchent. Tout ce qui n'est point dans la nature a ses inconvénients, et la société civile plus que tout le reste.
Page 256 - Je le vois se rassasiant sous un chêne, se désaltérant au premier ruisseau, trouvant son lit au pied du même arbre qui lui a fourni son repas ; et voilà ses besoins satisfaits.
Page 257 - ... ses désirs ne passent pas ses besoins physiques (k) ; les seuls biens qu'il connaisse dans l'univers sont la nourriture, une femelle et le repos; les seuls maux qu'il craigne sont la douleur et la faim.
Page 27 - Mais aucun de nous n'est lui. — Chacun de nous vit de sa vie, — et tous nous communions en lui ; car il est TOUT CE QUI EST* ». Nul de nous n'est hors de lui!