| World War, 1914-1918 - 1915 - 184 pages
...genoux; personne ne songe plus à s'abriter. Nous arrivons à une petite dépression de terrain; des pantalons rouges gisent là, morts ou blessés, en...nous sommes là. Se retournant, il demande quartier, mais on lui dit : « C'est bien ainsi que travaillent vos outils? » et on le cloue au sol. A côté... | |
| Germans - 1916 - 122 pages
...s'abriter. Nous arrivons à une petite dépression de terrain ; des pantalons rouges gisent là, morls ou blessés, en foule. Nous assommons ou transperçons...fusilier lui apprend que nous sommes là. Se retournant, mande quartier, mais on lui dit : « C'est bien ainsi, b..., I travaillent vos outils ?» et on le... | |
| Ernest Lavisse, Charles Andler - War - 1916 - 56 pages
...Les pantalons rouges gisent là, morts ou blessés, enfouie. Nous assommons ou nous transperçons ces blessés, car nous savons que ces canailles, quand...sommes là. Se retournant, il demande quartier... on le cloue au sol. A côté de moi, j'en tends des craquements singuliers... ce sont les coups de... | |
| Paul Gaultier - National characteristics, German - 1917 - 308 pages
...genoux ; personne ne songe plus à s'abriter. Nous arrivons à une petite dépression de terrain : des pantalons rouges gisent là, morts ou blessés, en...lui apprend que nous sommes là. Se retournant, il nous demande quartier, mais on lui dit : « C'est bien « ainsi, b..., que travaillent vos outils?... | |
| French literature - 1915 - 918 pages
...genoux : personne ne songe plus à s'abriter. Nous arrivons à une petite dépression de terrain : des pantalons rouges gisent là, morts ou blessés, en...Français, face contre terre, mais il fait le mort. Ie coup de pied d'un robuste fusilier lui apprend que nous sommes Ià.; Se retournant, il demande quartier,... | |
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