Moeurs |
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Common terms and phrases
affez affurément aimer ainfi amour auffi auroit avoit ayent befoin bomme c'eft c'eſt caufe ceffe chofe claffe cœur complaifance conféquent confervation confidération confifte connoiffance connoit crime culte de-même défirs devoir Dieu différens diftincte dispenfe Divifion doit efprit eft-il enfans Epoux eſt étoient étoit fage falut fans doute fanté fecours fecret femblables femble fens fentimens fentiment feroient feroit fervir feul fexe fimple fincérité fion foient foin foit fon goût font fouffre fource fous fouvent fuis fujet fuppofe fur-tout graces hommes injufte jufte juftice Juge juſtice l'ame l'amitié l'amour l'efprit l'eft l'ufage laiffe Loi naturelle Loix ment mœurs Monfieur n'eft n'en n'eſt n'étoit néceffaire néceffité paffe paffions penfe Père perfonne Philofophes plaifir plaifirs poffède poffible préfent prémière Proxène puiffe qu'un raifon reconnoiffance refpect refte richeffes rien s'eft s'il eft talens tems tendre tendreffe tion toyens Trimalcion vertu vertueux vices دو وو
Popular passages
Page 239 - Ne point faire à autrui ce que nous ne voudrions pas qu'on nous » fît " : voilà la règle qui détermine quelles fortes de traitemens la nature nous interdit à l'égard du refte des hommes.
Page 239 - ... voilà la règle qui détermine quelles fortes de traitemens la nature nous interdit à l'égard du refte des hommes. Tout ce qui , fait à nous-mêmes, nous paroîtroit dur, barbare & cruel, eft compris dans la prohibition. Mais cette maxime, d'un ufage fi étendu, eft bien...
Page 90 - ... 3° ceux par lesquels la constance de l'homme de bien est exercée ; telles sont les persécutions qu'il éprouve de la part des...
Page 125 - Alexandre , on le refufe au conquérant du Nord; & nul Prince n'y peut prétendre , s'il n'offre pour l'obtenir que des victoires & des trophées.
Page 123 - L'autre, au contraire, connaît le prix de son existence, les charmes du plaisir et |la douceur du repos : il...
Page 137 - Une affaire de trahir la vérité par intérêt, ou pour fe difculper , ou pour en excufer un autre ; on appelle ces menfonges officieux ; on les fait pour avoir la paix , pour obliger quelqu'un , pour prévenir quelqu'accident. Miférables prétextes, qu'un mot feul va pulvérifer; il n'eft jamais permis de faire un mal pour qu'il en arrive un bien , la bonne intention fert à juftifier les actions indifférentes; mais n'autorife pas celles qui font déterminément mauvaifes.
Page 45 - Sage eft de s'attacher au culte intérieur, qui n'eft pas fufceptible de diverfité. Et quant au culte extérieur dans lequel il eft né , s'il eft compatible avec les principes de la Religion, naturelle , il doit fe faire une loi de n'y jamais donner atteinte, ni en le troublant , ni en l'abjurant.