De là vient encore que je réussis mieux aux ouvrages qui demandent du travail qu'à ceux qui veulent être faits avec une certaine légèreté, comme les lettres, genre dont je n'ai jamais pu prendre le ton, et dont l'occupation me met au supplice.... Oeuvres complètes - Page 79by Jean-Jacques Rousseau - 1865Full view - About this book
| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 pages
...genre dont je n'ai jamais pu prendre le ton , et dont l'occupation me met au supplice. Je n'écris point de lettres sur les moindres sujets qui ne me...confus verbiage , à peine m'entend-on quand on la lit. Non-seulement les idées me coûtent à rendre, elles me" coûtent même à recevoir. J'ai étudié... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1782 - 364 pages
...- ma lettre eft un long & confits verbiage ; à peine m'èntend-on quand on la lit. Non -feulement les idées me coûtent à rendre ,- elles me coûtent même à recevoir. J'ai étudié les hommes & je me crois affez bon obfervateur.- Cependant je nefais rien voir de ce que je vois; je ne vois bien... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1782 - 358 pages
...lettre eft un long & confus verbiage ;. à peine m'entend-on quand on la lit ' Non -feulement lès idées me coûtent à. rendre, elles me coûtent même à recevoir. J'ai étudié les hommes & je me crois aflez bon obfervateur. Cependant je ne fais rien voir de ce que je vois; je ne vois bien... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1791 - 326 pages
..., ma lettre eft un long & confus verbiage > à peine m'entend - on quand on la lit. Non-feuîement les idées me coûtent à rendre , elles me coûtent même à recevoir. Éai étudié les hommes & je me crois aiftz bon obfervateur. Cependant je ne fais rien voir de ce... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 454 pages
...lettres; genre dont je n'ai jamais pu prendre le ton, et dont l'occupation me met au supplice. Je n'écris point de lettres sur les moindres sujets qui ne me...confus verbiage ; à peine m'entend-on quand on la lit. Non seulement les idées me coûtent à rendre, elles me coûtent même à recevoir. J'ai étudié... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 458 pages
...lettres; genre dont je n'ai jamais pu prendre le ton, et dont l'occupation me met au supplice. Je n'écris point de lettres sur les moindres sujets qui ne me...confus verbiage ; à peine m'entend-on quand on la lit. Non seulement les idées me coûtent à rendre , elles me coûtent même à recevoir. J'ai étudié... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 482 pages
...genre dont je n'ai jamais pu prendre le ton , et dont l'occupation me met au supplice. Je n'écris point de lettres sur les moindres sujets qui ne me...ma lettre est un long et confus verbiage; à peine m' entendon quand on la lit. Non-seulement les idées me coi'itent à rendre, elles me coûtent même... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 508 pages
...lettres, genre dont je n'ai jamais pu prendre le ton, et dont l'occupation me met au supplice. Je n'écris point de lettres sur les moindres sujets qui ne me...sais ni commencer ni finir; ma lettre est un long et PART. I, LIV. III. (173i—1732) 196 confus verbiage; à peine m'entend-on quand on la lit. Non seulement... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 494 pages
...jamais pu prendre le ton , et dont ^'occupation me met au supplice. Je n'écris point de lettres s\»r les moindres sujets qui ne me coûtent des heures...de fatigue, ou, si je veu'x écrire de suite ce qui »e vient, je ne sais ni commencer ni finir ; nia lettre est un long et confus verbiage; à peine m'entenclon... | |
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