Opinion de M. de Tracy, sur les affaires de Saint-Domingue, en septembre 1791 |
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12 octobre 28 mars adversaires affaires de Saint-Domingue agité amis assemblées coloniales auroit avez avoit base posée blancs de Saint-Domingue blée calme chose citoyen actif colo colons blancs comité colonial commissaires conditions connoissance constitutionnel couleur libres cret crois décide rien décision décret du 28 députés des colons devroit dis-je discussion discuter disent disoit doit doivent Domingue éclairée enfin entendoit époque est-ce étoit eût évènemens faisoit faudroit formelle gens de couleur hommes libres inébranlable instruction intérêt jusqu'à présent juste justice l'Angleterre l'Assem l'Assemblée n'a l'Assemblée nationale l'espérance l'état l'oppression laisse législateur lonies loyalement majorité mande masse ment Messieurs métropole mois n'avoit n'espéroit n'étoit OPINION paroît permis de dire plan de conduite plan de constitution politique pourroit principes projet puissans qu'aux esclaves question rassurer relations commerciales résolution retarde sagesse Saint savez septembre 1791 seroit seulement silence sitions soutient successeurs superflu sur-tout systême tion titution TRACY vement vérité versatilité Veuillez vouloir
Popular passages
Page 8 - Chaque colonie est autorisée à faire connaître son vœu sur la constitution, la législation et l'administration qui conviennent à sa prospérité et au bonheur de ses habitants, à la charge de se conformer aux principes généraux qui lient les colonies à la métropole, et qui assurent la conservation de leurs intérêts respectifs.
Page 6 - ... présente une foule innombrable de députés des colonies, dont plusieurs inconnus même au pays qu'ils disent représenter. On voit en eux des amis, on les admet ; ce n'était pas là le moment de discuter. « Quelque temps après, on vérifie leurs pouvoirs ; la reconnaissance ne permet pas d'examiner s'ils sont bien en règle, si ces hommes veulent et peuvent être soumis à notre Constitution, si, par conséquent, ils doivent y participer. On les croit patriotes, tout est dit. On se borne...
Page 6 - ... la porte du célèbre Jeu de paume, berceau de la liberté française, se présente une foule innombrable de députés des colonies dont plusieurs inconnus même au pays qu'ils disent représenter. On voit en eux des amis, on les admet ; ce n'était pas là le moment de discuter. Quelque temps après, on vérifie leurs pouvoirs ; la reconnaissance ne permet pas d'examiner s'ils sont bien en règle ; si ces hommes veulent et peuvent être soumis à notre Constitution, si, par conséquent, ils...
Page 17 - Je ne dis pas que leur inlenfion soit d'abuser contre la métropole, du pouvoir qu'elle leur auroit laissé prendre ; mais je dis que les gens de...
Page 23 - ... ne vous exposez pas à décréter précipitamment tout un système colonial , qui n'a pas même été agité parmi vous dans son ensemble.