Histoire de la Constitution Civile du Clergé (1790-1801).: L'Eglise sous la Terreur et le Directoire |
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page 679: de Sambucy ....bravaient tous les dangers pour se tenir sur le passage des charrettes...
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Common terms and phrases
10 août accusation administrateurs appelés arrêté assassins aurait autorités avaient catholiques cause cent citoyens clergé comité commissaires commune complètement compte condamné constitution civile constitutionnel convention coup crime culte curé d'autres d'être Danton déclare décret demande dénoncés département députés dernier devant dire directoire district donner ecclésiastiques églises évêques faisait fanatisme femmes force garde général girondins hommes jacobins jours juges l'assemblée l'église laisser législative lettre liberté lieu livres lois Louis XVI malheureux mariage mars massacres membres ment mesures mille ministre modérés montré mort municipalité n'avait n'était nationale nombre nombreux nouvelle parler passer patriotes peine pendant persécution personnes peuple place porter pouvait pouvoir premier présenter prêter prêtres pris prison proclamation proposa public publique qu'un raison rapport réclama réfractaires refus religieuse religion reste révolution révolutionnaires Robespierre s'était s'ils septembre sera serment seront seulement sorte suivant suspects tion traitement tribunal troubles trouve venir véritable vicaire violents vote voulaient
Popular passages
Page 626 - Si le ressort du gouvernement populaire dans la paix est la vertu , le ressort du gouvernement populaire en révolution est à la fois la vertu et la terreur : la vertu , sans laquelle la terreur est funeste ; la terreur , sans laquelle la vertu est impuissante.
Page 253 - Prévenue que des hordes barbares s'avancent contre elle, la Commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le...
Page 388 - Je jure d'être fidèle à la nation, cl de maintenir la liberté et l'égalité, ou de mourir en les défendant (I 4 août 1792).
Page 478 - ... ceux des ci-devant nobles, ensemble les maris, femmes, pères, mères, fils ou filles, frères ou sœurs et agents d'émigrés, qui n'ont pas constamment manifesté leur attachement à la Révolution; 6°...
Page 240 - Nous demandons que quiconque refusera de servir de sa personne ou de remettre ses armes soit puni de mort.... Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme : c'est la charge sur les ennemis de la Patrie.
Page 615 - Vos maîtres vous disent que la nation française a proscrit toutes les religions, qu'elle a substitué le culte de quelques hommes à celui de la Divinité; ils nous peignent à vos yeux comme un peuple idolâtre ou insensé. Ils mentent : le peuple français et ses représentants respectent la liberté de tous les cultes, et n'en proscrivent aucun. Ils honorent la vertu des martyrs de l'humanité sans engouement et sans idolâtrie ; ils abhorrent l'intolérance et la persécution, de quelque prétexte...
Page 49 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 223 - Tous les ecclésiastiques qui, étant assujétis au serment prescrit par la loi du 26 décembre 1790, et celle du 17 avril 1791, ne l'ont pas prêté, ou qui, après l'avoir prêté, l'ont rétracté et ont persisté dans leur rétractation, seront tenus de sortir, sous huit jours, hors des limites du district et du...
Page 653 - ... l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées et frappe au hasard le crime et la vertu, que son âme n'est qu'un souffle léger qui s'éteint aux portes du tombeau? L'idée de son néant lui inspirera-t-elle des sentiments plus purs et plus élevés que celle de son immortalité?
Page 654 - Ses coryphées déclamaient quelquefois contre le despotisme et ils étaient pensionnés par les despotes ; ils faisaient tantôt des livres contre la cour, et tantôt des dédicaces aux rois, des discours pour les courtisans et des madrigaux pour les courtisanes; ils étaient fiers dans leurs écrits et rampants dans les antichambres.