Essais historiques sur les causes et les effets de la Révolution de France, Volume 2 |
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Common terms and phrases
Adrien Duport agens amis assemblée assignats avaient Barnave blée Bouillé bres Brissot c'était cause Cazalès cesse chambre des vacations Champ de Mars circonstance citoyens clergé club comité des recherches comte constitution corps législatif crime déclaration décret déja délibérations demanda départemens députés désordres devait discours donner duc d'Orléans Duport ecclésiastiques espèce eût événemens fesait firent force fût garde nationale général gouvernement habitans hommes jacobins journal l'abbé Maury l'abbé Syeyes l'as l'assem l'assemblée nationale Lafayette Lameth liberté lois Louis XVI majesté Malouet manière membres ment messieurs ministres Mirabeau monarchie monarque motion Mounier municipalité n'avait n'était nation Necker ordre paix par-tout parler patriotisme personnes Péthion peuple populace pouvait pouvoir exécutif pré prince principes projet proposition propriétaires provinces public publique question régiment de Flandre représentans révolution révolutionnaires Robespierre royale royaume s'était sanction sanction royale sentimens serait serment seul sorte sur-tout système Thouret tion tribune troupes Versailles veto vicomte de Mirabeau voulait voulu
Popular passages
Page 241 - i°. que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation, à la charge de pourvoir d'une manière convenable aux frais du culte , à l'entretien de ses ministres , et au soulagement des pauvres, sous la surveillance et l'inspection des provinces. « » 2°. Que dans les dispositions à faire pour
Page 70 - aux engagemens publics , par la crainte de « l'excès des sacrifices, par la terreur de « l'impôt..... Qu'est-ce donc que la ban« queroute , si ce n'est le plus cruel, le plus « inique, le plus inégal , le plus désastreux « des impôts ? ... - Mes amis , écoutez un « mot, un seul mot. « Deux siècles de déprédations et de bri
Page 508 - faux amis; revenez à votre roi, '«il ser'a toujours votre père, votre meilleur « ami: Quel plaisir n'aurait-il pas à oublier « toutes ses injures personnelles, et de se « voir au milieu de vous, lorsqu'une cons« titution qu'il aura acceptée librement, fera « que notre sainte religion sera respectée, « que le gouvernement sera établi sur un pied
Page 301 - Que ceux qui s'éloigneraient encore d'un « esprit de concorde devenu si nécessaire, « me fassent le sacrifice de tous les souvenirs « qui les affligent $ je les paierai par ma re« connaissance et mon affection. Ne profes« sons tous, je vous en donne l'exemple, « qu'une seule opinion, qu'un seul intérêt
Page 69 - l'assentiment de l'opinion publique, le plus « grand talent ne saurait triompher des cir« constances Et moi aussi , je ne « crois pas les moyens de M. Necker les « meilleurs possibles ; mais le ciel me pré« serve, dans une situation si critique, d'op« poser les miens aux siens ! Vainement je « les tiendrais pour préférables
Page 359 - que la section de l'assemblée nationale qui « veut le concours de la volonté royale dans « l'exercice du droit de la paix et de la « guerre , est, parricide de la liberté publi« que ; on répand les bruits de perfidie , de « corruption; on invoque les vengeances po« pulaires pour soutenir la tyrannie des
Page 359 - nions : on dirait qu'on ne peut sans crime « avoir deux avis, dans une des questions les « plus délicates et les plus difficiles de l'or« ganisation sociale. C'est une étrange manie, « c'est un déplorable aveuglement, que celui « qui anime ainsi les uns contre les autres , « des hommes qu'un même but , un
Page 520 - Je vois, messieurs, par l'objet de la mission qui vous est donnée,' qu'il ne s'agit point ici d'un interrogatoire ; mais je veux bien répondre au desir de l'assemblée nationale , et je ne craindrai jamais de rendre publics les motifs de ma conduite. ' < « Les motifs de mon départ sont les outrages
Page 532 - tère dans l'état monarchique, il est clair « que je dois le vouloir par-dessus tout autre. « Voilà tout le secret de mes principes, et « ma profession de foi bien faite. J*aurai « peut-être bientôt le temps de développer «cette question, et j'espère prouver, non * que la monarchie est préférable , dans telle « ou telle position , mais que dans toutes
Page 68 - qui répond oui, de considérer que son plan « n'est pas connu ; qu'il faut du temps pour «le développer, l'examiner, le démontrer/ « que, fût-il immédiatement soumis à notre « délibération, son auteur a pu se tromper; « que , fût - il exempt de toute erreur , on