J'ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était sans cesse Prête à chanter comme un oiseau. Mais j'ai souffert un dur martyre , Et le moins que j'en pourrais dire , Si je l'essayais sur ma lyre, La briserait comme un roseau. La Revue hebdomadaire - Page 321909Full view - About this book
| 1906 - 594 pages
...ou ma jeunesse Sur mes l&vres etait sans cesse Prete a chanter comme un oiseau. Mais j'ai soufiert un dur martyre, Et le moins que j'en pourrais dire, Si je 1'essayais sur ma lyre, La briserait comme un roseau.' The poet has the last word, and the protesting... | |
| France - 1835 - 794 pages
...insatiable , Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable A l'heure où passe l'aquilon. J'ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était...l'essayais sur ma lyre , La briserait comme un roseau. ALFRED DE Ml SSK I . DE LA DÉMOCRATIE Deux prodigieuses puissances, la démocntie européenne et la... | |
| Alfred de Musset - 1841 - 456 pages
...insatiable , Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable A l'heure où passe l'aquilon J'ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était...l'essayais sur ma lyre, La briserait comme un roseau. LA NUIT DE DÉCEMBRE. LE POÈTE. Du temps que j'étais écolier , Je restais un soir à veiller Dans... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 680 pages
...insatiable, Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable A l'heure où passe l'aquilon. J'ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était...l'essayais sur ma lyre, La briserait comme un roseau. M. ALFRED DE MUSSET. > Cette comparaison du péllean mériterait d'être appliquée a un plus auguste... | |
| Alfred de Musset - French poetry - 1849 - 428 pages
...insaliable, Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable A l'heure où passe l'aquilon. J'ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était sans cesse Prêle à chanter comme un oiseau. Mais j'ai souffert un dur martyre, El le moins que j'en pourrais... | |
| Alfred de Musset - 1852 - 306 pages
...Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable A l'heure où passe l'aquilon. J ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était sans cesse Prèle à chanter comme un oiseau, Mais j'ai souffert un dur martyre, Et le moins que j'en pourrais... | |
| A. Roche - 1853 - 720 pages
...insatiable, Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable A l'heure où passe l'aquilon. J'ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était...l'essayais sur ma lyre, La briserait comme un roseau. (LA NUIT IIR HH, fragment .', Une VUlon. Dans notre salle solitaire . Devant ma table vint s'asseoir... | |
| Alfred de Musset - 1857 - 300 pages
...insatiable, Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable A l'heure où passe l'aquilon. J'ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était...l'essayais sur ma lyre, La briserait comme un roseau, LA NUIT DE DÉCEMBRE LE POETE. Du temps que j'étais écolier, Je restais un soir à veiller Dans notre... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - French literature - 1857 - 624 pages
...insatiable ! Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit pas sur le sable A l'heure où passe l'aquilon. J'ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était...l'essayais sur ma lyre, La briserait comme un roseau. ALFRED DE MUSSET. 1) Cette comparaison du pélican mériterait d'être appliquée à un plus auguste... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 340 pages
...insatiable, Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable A l'heure où passe l'aquilon. J'ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était...l'essayais sur ma lyre, La briserait comme un roseau. J'a LA LOI SUR LA PRESSE Je rve fais pas grand cas des hommes politiques ; Je ne suis pas l'amant de... | |
| |