Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volume 1Paulin, 1834 - France |
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Page 16
... sentiment religieux , tout oc- cupées à l'œuvre d'une conversion qui n'était pas compléte- ment achevée . Les Évêques devaient être disposés à saisir la pre- mière occasion d'isoler leur troupeau du contact des terres héré tiques ...
... sentiment religieux , tout oc- cupées à l'œuvre d'une conversion qui n'était pas compléte- ment achevée . Les Évêques devaient être disposés à saisir la pre- mière occasion d'isoler leur troupeau du contact des terres héré tiques ...
Page 42
... sentiment de l'égalité ; que les différences qui sépa- raient le gouvernement des villes de celui des camps furent dimi- nuées ; etc. Les révolutions intérieures restèrent cependant encore princi palement militaires . En effet , sous la ...
... sentiment de l'égalité ; que les différences qui sépa- raient le gouvernement des villes de celui des camps furent dimi- nuées ; etc. Les révolutions intérieures restèrent cependant encore princi palement militaires . En effet , sous la ...
Page 55
... sentiment des vieux usages se réveilla , et l'ambition des principaux chefs militaires s'en fit un moyen d'ailleurs Pepin ne laissa en mourant que des fils jeunes encore : Grimoald et Drogo , ses aînés , n'existaient plus . Les ...
... sentiment des vieux usages se réveilla , et l'ambition des principaux chefs militaires s'en fit un moyen d'ailleurs Pepin ne laissa en mourant que des fils jeunes encore : Grimoald et Drogo , ses aînés , n'existaient plus . Les ...
Page 79
... sentiment du devoir social n'était nulle part . On se disputait en Italie et en Allemagne , les armes à la main , et on al- lait même , comme aux derniers temps de l'Empire romain , jus- qu'à appeler des Barbares à son secours . Ainsi l ...
... sentiment du devoir social n'était nulle part . On se disputait en Italie et en Allemagne , les armes à la main , et on al- lait même , comme aux derniers temps de l'Empire romain , jus- qu'à appeler des Barbares à son secours . Ainsi l ...
Page 91
... sentiment et de volonté . Or , pour qu'il en fût ainsi , il fallait qu'il n'y eût plus , en France , que des hommes libres , et que toutes ces appellations qui indiquaient tant de classes différentes , eussent disparu pour faire place à ...
... sentiment et de volonté . Or , pour qu'il en fût ainsi , il fallait qu'il n'y eût plus , en France , que des hommes libres , et que toutes ces appellations qui indiquaient tant de classes différentes , eussent disparu pour faire place à ...
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Common terms and phrases
actes Ægidius ariens armée arrêté assemblée assemblée nationale avaient Bagaudes bailliages bailliages ou sénéchaussées bénéfices Bourgogne c'était cahiers Capitation chargés Charles Charles-le-Chauve Chilpéric citoyens civile classes clergé Clotaire Clovis commencement commissaires composée comte conférences conseil constitution convocation cour déclaration délibération dépenses députés des communes desdits donner Ebroïn ecclésiastiques effet enfans enfin établi États États-Généraux événemens Évêques Fermes générales fiefs finances forme François Ier garde-des-sceaux générale gouvernement guerre habitans hommes Hugues Capet impôts intérêts jugement justice l'assemblée l'Église l'État l'ordre lit de justice long-temps Louis Louis XIV majesté membres ment Messieurs militaire ministre monarchie motion nation nationale Necker Neustrie noblesse nombre nommés ordonnances ordres parlemens particuliers pays d'États Pepin peuple premier présent président prévôt princes principes propose provinces public publique race réforme rent représentans reste réunir révolution rois Romains royale royaume séance sénéchaussées sentimens sera seront seul siècle Sieyès souverain tiers tiers-état tion titre tribunaux trône vérifiés
Popular passages
Page 165 - Dieu, en donnant à l'homme des besoins, en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait du droit de travailler la propriété de tout homme, et cette propriété est la première, la plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 164 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent. La lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion ; et alors ce sera un beau tapage. Les jeunes gens sont bien heureux; ils verront de belles choses.
Page 355 - J'ai déjà ordonné dans les dépenses des retranchemens considérables; vous me présenterez encore à cet égard des idées que je recevrai avec empressement; mais malgré la ressource que peut offrir l'économie la plus sévère, je crains, messieurs, de ne pouvoir pas soulager mes sujets aussi promptement que je le désirerois. Je ferai mettre sous vos yeux la situation exacte des finances, et quand vous l'aurez examinée, je suis assuré d'avance que vous me proposerez les moyens les plus efficaces...
Page 164 - Je tiens pour impossible que les grandes monarchies de l'Europe aient encore longtemps à durer; toutes ont brillé, et tout État qui brille est sur son déclin.
Page 264 - ... l'autre partie, composée de tous les ecclésiastiques engagés dans les ordres, attachés par quelque fonction au service du chapitre, nommera un député à raison de vingt desdits ecclésiastiques présents et au-dessous, deux audessus de vingt jusqu'à quarante et ainsi de suite.
Page 355 - Puisse, messieurs , un .heureux accord régner dans cette assemblée, et cette époque devenir à jamais mémorable pour le bonheur et la prospérité du^ royaume ! c'est le souhait de mon cœur, c'est le plus ardent de mes vœux, c'est enfin le prix que j'attends de la droiture de mes intentions et de mon amour pour mes peuples.
Page 460 - Et moi, messieurs, je crois le veto du roi tellement nécessaire, que j'aimerais mieux vivre à Constantinople qu'en France, s'il ne l'avait pas : oui, je le déclare, je ne connaîtrais rien de plus terrible que l'aristocratie souveraine de six cents personnes, qui demain pourraient se rendre inamovibles, après-demain héréditaires, et finiraient, comme les aristocrates de tous les pays du monde, par tout envahir.
Page 354 - ... l'augmentation des impôts en a été la suite nécessaire, et a rendu plus sensible leur inégale répartition. Une inquiétude générale, un désir exagéré d'innovations se sont emparés des esprits, et finiraient par égarer totalement les opinions , si on ne se hâtait de les fixer par une réunion d'avis sages et modérés.
Page 226 - Que le roi est chef souverain de la nation, et ne fait qu'un avec elle; Enfin que le pouvoir législatif réside dans la personne du souverain, sans dépendance et sans partage.
Page 354 - États-Généraux ; et quoique la convocation de ces assemblées parût être tombée en désuétude , je n'ai pas balancé à rétablir un usage dont le royaume peut tirer une nouvelle force, et qui peut ouvrir à la nation une nouvelle source de bonheur.