Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volume 1Paulin, 1834 - France |
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... laissa les choses dans l'é- tat où elles étaient , c'est - à - dire que les magistratures militaires et municipales restèrent électives et à la discrétion des citoyens : il n'aurait d'ailleurs pu changer cet usage . Bien plus , quel ...
... laissa les choses dans l'é- tat où elles étaient , c'est - à - dire que les magistratures militaires et municipales restèrent électives et à la discrétion des citoyens : il n'aurait d'ailleurs pu changer cet usage . Bien plus , quel ...
Page 45
... laissa sur leur territoire un camp de cinq mille Francs . Ensuite , dit Grégoire de Tours , il dit encore une fois aux siens : « Il m'est triste de voir ces Goths ariens posséder une partie des Gaules . Allons , avec l'aide de Dieu ...
... laissa sur leur territoire un camp de cinq mille Francs . Ensuite , dit Grégoire de Tours , il dit encore une fois aux siens : « Il m'est triste de voir ces Goths ariens posséder une partie des Gaules . Allons , avec l'aide de Dieu ...
Page 50
... laissa encore quatre fils , dont le moins âgé avait vingt - cinq ans , et qui se partagèrent le commandement du royaume . Chérebert eut Paris ; Gontran , Orléans et la Bourgogne ; Chilpéric , Soissons ; et Sigebert , l'Austrasie ...
... laissa encore quatre fils , dont le moins âgé avait vingt - cinq ans , et qui se partagèrent le commandement du royaume . Chérebert eut Paris ; Gontran , Orléans et la Bourgogne ; Chilpéric , Soissons ; et Sigebert , l'Austrasie ...
Page 51
... laissa deux fils : Dagobert et Ca- ribert . Il avait associé le premier au commandement , en lui don- nant la garde d'une frontière toujours menacée , toujours incer- taine , celle de l'Austrasie . Succession de Clotaire.- Dagobert ...
... laissa deux fils : Dagobert et Ca- ribert . Il avait associé le premier au commandement , en lui don- nant la garde d'une frontière toujours menacée , toujours incer- taine , celle de l'Austrasie . Succession de Clotaire.- Dagobert ...
Page 52
... laissa un fils enfant . Le duc de son palais fit raser ce jeune enfant , et le fit déporter en Angleterre . En sa place , Grimoald proclama roi son propre fils . Mais c'était un essai trop hardi et trop neuf , qui révolta l'opinion ...
... laissa un fils enfant . Le duc de son palais fit raser ce jeune enfant , et le fit déporter en Angleterre . En sa place , Grimoald proclama roi son propre fils . Mais c'était un essai trop hardi et trop neuf , qui révolta l'opinion ...
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Common terms and phrases
actes Ægidius ariens armée arrêté assemblée assemblée nationale avaient Bagaudes bailliages bailliages ou sénéchaussées bénéfices Bourgogne c'était cahiers Capitation chargés Charles Charles-le-Chauve Chilpéric citoyens civile classes clergé Clotaire Clovis commencement commissaires composée comte conférences conseil constitution convocation cour déclaration délibération dépenses députés des communes desdits donner Ebroïn ecclésiastiques effet enfans enfin établi États États-Généraux événemens Évêques Fermes générales fiefs finances forme François Ier garde-des-sceaux générale gouvernement guerre habitans hommes Hugues Capet impôts intérêts jugement justice l'assemblée l'Église l'État l'ordre lit de justice long-temps Louis Louis XIV majesté membres ment Messieurs militaire ministre monarchie motion nation nationale Necker Neustrie noblesse nombre nommés ordonnances ordres parlemens particuliers pays d'États Pepin peuple premier présent président prévôt princes principes propose provinces public publique race réforme rent représentans reste réunir révolution rois Romains royale royaume séance sénéchaussées sentimens sera seront seul siècle Sieyès souverain tiers tiers-état tion titre tribunaux trône vérifiés
Popular passages
Page 165 - Dieu, en donnant à l'homme des besoins, en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait du droit de travailler la propriété de tout homme, et cette propriété est la première, la plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 164 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent. La lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion ; et alors ce sera un beau tapage. Les jeunes gens sont bien heureux; ils verront de belles choses.
Page 355 - J'ai déjà ordonné dans les dépenses des retranchemens considérables; vous me présenterez encore à cet égard des idées que je recevrai avec empressement; mais malgré la ressource que peut offrir l'économie la plus sévère, je crains, messieurs, de ne pouvoir pas soulager mes sujets aussi promptement que je le désirerois. Je ferai mettre sous vos yeux la situation exacte des finances, et quand vous l'aurez examinée, je suis assuré d'avance que vous me proposerez les moyens les plus efficaces...
Page 164 - Je tiens pour impossible que les grandes monarchies de l'Europe aient encore longtemps à durer; toutes ont brillé, et tout État qui brille est sur son déclin.
Page 264 - ... l'autre partie, composée de tous les ecclésiastiques engagés dans les ordres, attachés par quelque fonction au service du chapitre, nommera un député à raison de vingt desdits ecclésiastiques présents et au-dessous, deux audessus de vingt jusqu'à quarante et ainsi de suite.
Page 355 - Puisse, messieurs , un .heureux accord régner dans cette assemblée, et cette époque devenir à jamais mémorable pour le bonheur et la prospérité du^ royaume ! c'est le souhait de mon cœur, c'est le plus ardent de mes vœux, c'est enfin le prix que j'attends de la droiture de mes intentions et de mon amour pour mes peuples.
Page 460 - Et moi, messieurs, je crois le veto du roi tellement nécessaire, que j'aimerais mieux vivre à Constantinople qu'en France, s'il ne l'avait pas : oui, je le déclare, je ne connaîtrais rien de plus terrible que l'aristocratie souveraine de six cents personnes, qui demain pourraient se rendre inamovibles, après-demain héréditaires, et finiraient, comme les aristocrates de tous les pays du monde, par tout envahir.
Page 354 - ... l'augmentation des impôts en a été la suite nécessaire, et a rendu plus sensible leur inégale répartition. Une inquiétude générale, un désir exagéré d'innovations se sont emparés des esprits, et finiraient par égarer totalement les opinions , si on ne se hâtait de les fixer par une réunion d'avis sages et modérés.
Page 226 - Que le roi est chef souverain de la nation, et ne fait qu'un avec elle; Enfin que le pouvoir législatif réside dans la personne du souverain, sans dépendance et sans partage.
Page 354 - États-Généraux ; et quoique la convocation de ces assemblées parût être tombée en désuétude , je n'ai pas balancé à rétablir un usage dont le royaume peut tirer une nouvelle force, et qui peut ouvrir à la nation une nouvelle source de bonheur.