La Médecine à Grenoble |
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... n'était autre chose que le Collège des médecins de Paris ; chaque affilié avait droit d'interroger le récipiendaire et de formuler le Dignus intrare . Quelques membres de ce Col- lège étaient en outre chargés par leurs collègues de ...
... n'était autre chose que le Collège des médecins de Paris ; chaque affilié avait droit d'interroger le récipiendaire et de formuler le Dignus intrare . Quelques membres de ce Col- lège étaient en outre chargés par leurs collègues de ...
Page 15
Beaucoup de membres du Parlement , des nobles , des avocats , des bourgeois , « tous citoyens , » étaient partis ( 6 ) ; la justice n'était plus rendue . Aussi demande - t - on que si le Parlement quittait la ville à cause de la peste ...
Beaucoup de membres du Parlement , des nobles , des avocats , des bourgeois , « tous citoyens , » étaient partis ( 6 ) ; la justice n'était plus rendue . Aussi demande - t - on que si le Parlement quittait la ville à cause de la peste ...
Page 29
Ces mesures radicales se comprennent aisément , quand on considère que la plupart des habitants , presque tous les magistrats , les hommes de loi , les notaires , les membres même du Conseil de la ville , avaient pris la fuite .
Ces mesures radicales se comprennent aisément , quand on considère que la plupart des habitants , presque tous les magistrats , les hommes de loi , les notaires , les membres même du Conseil de la ville , avaient pris la fuite .
Page 32
Sur ses conseils , on prend contre les voyageurs , qui viennent de Lyon , les mesures les plus sévères : la famille de La Marche a reçu , il y a quelques jours , un de ses fils arrivant de cette ville ; tous les membres qui la composent ...
Sur ses conseils , on prend contre les voyageurs , qui viennent de Lyon , les mesures les plus sévères : la famille de La Marche a reçu , il y a quelques jours , un de ses fils arrivant de cette ville ; tous les membres qui la composent ...
Page 39
En novembre 1598 , les conseils envoient à Romans prier les membres de la chambre des vacations , qui étaient réfugiés dans cette ville , de reve- nir à Grenoble « attendu que la santé y est fort bonne » . Il n'y a plus qu'à régler les ...
En novembre 1598 , les conseils envoient à Romans prier les membres de la chambre des vacations , qui étaient réfugiés dans cette ville , de reve- nir à Grenoble « attendu que la santé y est fort bonne » . Il n'y a plus qu'à régler les ...
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Common terms and phrases
année apothicaires Archives de l'Hôpital Archives municipales assez aujourd'hui aura avaient Billerey botanique chaire chargé chef chimie chirurgie chirurgiens clinique collège collège de médecine commune compte conseil considérable consuls corps cours d'ailleurs Dauphiné décret demande département dernier devant Directeur docteur donner eaux Ecoles Ecoles préparatoires effet élèves enfin épidémies époque établissements études examens Faculté faisait femmes fera fils forme général Grenoble Histoire jour l'Ecole l'enseignement l'Hospice l'Isère l'un l'Université lettre lieu livres maire maison maîtres malades médecine médicale membres mémoire ment mois montre mort moyen n'était naturelle nécessaire nombre nommé nouveau nouvelle officiers ordonné outre Parlement passer pauvres pendant Pères personnes peste pharmacie Pierre place porte pratique premier présent professeurs publique quatre question rapport règlement religieux réorganisation reste s'il santé sciences secondaires semble sera seront service seulement sieur Société somme sorte souvent suite suivant tion titre traitement travaux trouve Villars ville
Popular passages
Page 179 - Outre l'instruction donnée dans les Écoles de médecine, il sera établi dans l'hospice le plus fréquenté de chaque département un cours annuel et gratuit d'accouchement théorique et pratique, destiné particulièrement à l'instruction des sages-femmes. Le traitement du professeur et les frais du cours seront pris sur la rétribution payée pour la réception des officiers de santé.
Page 183 - A compter du 1er vendémiaire an xu, nul ne pourra embrasser la profession de médecin, de chirurgien ou d'officier de santé sans être examiné et reçu comme il sera prescrit par la présente loi. ART. 2. — Tous ceux qui obtiendront, à partir du commencement de l'an xii, le droit d'exercer l'art de guérir, porteront le titre de docteur...
Page 201 - Nous avons mûrement examiné ces institutions que nous nous proposons de réformer, et il nous a paru que le régime d'une autorité unique et absolue était incompatible avec nos intentions paternelles et avec l'esprit libéral de notre gouvernement. Que...
Page 172 - Trousset, qu'elle avait nommé commissaire pour examiner un mémoire sur la gélatine des os et son application à l'économie alimentaire, privée et publique, et principalement à l'économie de l'homme malade et indigent, par Al.
Page 220 - Histoire naturelle médicale et matière médicale ; 3° Anatomie et physiologie ; 4° Clinique interne et pathologie interne; 5° Clinique externe et pathologie externe; 6° Accouchements, maladies des femmes et des enfants.
Page 230 - Déterminer quelles sont les altérations des organes dans les maladies désignées sous le nom de fièvres continues ? , Quels sont les rapports qui existent entre les symptômes de ces maladies et les altérations observées ? Insister sur les vues thérapeutiques qui se déduisent de ces rapports.
Page 183 - L'un sur l'anatomie, — l'autre sur les éléments de la médecine, — le troisième sur la chirurgie, et les connaissances les plus usuelles de la pharmacie.
Page 183 - ART. 3. — Les docteurs en médecine et les chirurgiens reçus par les anciennes Facultés de médecine, les Collèges de chirurgie et les Communautés de chirurgiens continueront d'avoir le droit d'exercer l'art de guérir, comme par le passé.
Page 180 - M. Henri Gagnon portait une perruque poudrée, ronde, à trois rangs de boucles, parce qu'il était docteur en médecine, et docteur à la mode parmi les dames, accusé même d'avoir été l'amant de plusieurs, entre autres...
Page 181 - ... L'empirisme le plus dangereux, le charlatanisme le plus éhonté abusent partout de la crédulité et de la bonne foi. Aucune preuve de savoir et d'habileté n'est exigée. Ceux qui étudient depuis sept ans et demi dans les trois Écoles de médecine instituées par la loi du 14 frimaire an III, peuvent à peine faire constater les connaissances qu'ils ont acquises, et se distinguer des prétendus guérisseurs qu'on voit de toutes parts. Les campagnes et les villes sont également...