La Médecine à GrenobleVeuve Rigaudin, 1896 - 295 pages |
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... Botanique . Villars . Liotard . Le Pere Ovide ( Claude Lallemant ) . Le Père Elisée ( Marie - Vincent Tolochon ) . Le Père Dominique ( Durand ) . II . La Société royale de médecine de Paris . - Nicolas , conseiller et médecin du roi ...
... Botanique . Villars . Liotard . Le Pere Ovide ( Claude Lallemant ) . Le Père Elisée ( Marie - Vincent Tolochon ) . Le Père Dominique ( Durand ) . II . La Société royale de médecine de Paris . - Nicolas , conseiller et médecin du roi ...
Page 53
... botanique ( 3 ) . Un collège de médecins était tellement bien une école , doublant une association professionnelle , mais une école , qu'à Bordeaux encore , en 1707 , les membres du collège de la ville furent appelés , conjointement ...
... botanique ( 3 ) . Un collège de médecins était tellement bien une école , doublant une association professionnelle , mais une école , qu'à Bordeaux encore , en 1707 , les membres du collège de la ville furent appelés , conjointement ...
Page 83
... botanique de Montpellier sous Henri IV , vint à Grenoble , en 1610 , pour herboriser dans nos montagnes ; Plumier vint en 1679 ; Pierre Belon ( du Mans ) , était venu dans le même but en 1543 . Villars nous apprend d'ailleurs que ...
... botanique de Montpellier sous Henri IV , vint à Grenoble , en 1610 , pour herboriser dans nos montagnes ; Plumier vint en 1679 ; Pierre Belon ( du Mans ) , était venu dans le même but en 1543 . Villars nous apprend d'ailleurs que ...
Page 120
... botanique sérieux . On y cultive , ainsi que le dit le procès verbal , « les plantes botaniques ( 2 ) » ; mais les simples seront encore remis à MMiles de Blanc et Daru ( 3 ) , pour le service des pauvres malades de l'Hôpital . Les ...
... botanique sérieux . On y cultive , ainsi que le dit le procès verbal , « les plantes botaniques ( 2 ) » ; mais les simples seront encore remis à MMiles de Blanc et Daru ( 3 ) , pour le service des pauvres malades de l'Hôpital . Les ...
Page 124
... Botanique . - - Cours d'accouchement du Dr Héraud.- Villars . Liotard . Le Père Ovide ( Claude Lallemant ) . - - Le Père Elisée ( Marie - Vincent Tolochon ) . II . La Société royale de médecine de Paris . pour les maladies épidémiques ...
... Botanique . - - Cours d'accouchement du Dr Héraud.- Villars . Liotard . Le Père Ovide ( Claude Lallemant ) . - - Le Père Elisée ( Marie - Vincent Tolochon ) . II . La Société royale de médecine de Paris . pour les maladies épidémiques ...
Common terms and phrases
Albin Gras année apothicaires Archives de l'Hôpital Archives municipales Aribert-Dufresne Armand Rey barbiers Billerey botanique Buissard camphre chaire Chanrion Charité Charvet chimie chirurgiens clinique collège de médecine commission conseil consuls contagion cours d'accouchement d'anatomie Dauphiné Davin décret département de l'Isère Directeur docteur en médecine Dominique Villars eaux minérales écoles Ecoles préparatoires Ecoles secondaires élèves épidémies époque examens Faculté des sciences Gagnon général Histoire de Grenoble hôpitaux Ibid inscriptions interne jurys l'Ecole de chirurgie l'Ecole de Grenoble l'Ecole de médecine l'enseignement l'Hospice l'Université Laugier Leroy Lesdiguières livres maire malades matière médicale médecine de Grenoble Monin Nicolas nommé officiers de santé once ordonné ordres de médecins orviétan pathologie peste pharmacie pharmaciens Pierre Aréoud Préfet préparatoire de médecine professeurs de l'Ecole Recteur religieux réorganisation Saint-Prix secondaire de médecine sera seront service sieur Silvy Société de médecine Société de santé Société de statistique tion Trousset Universités vaccine Villars
Popular passages
Page 179 - Outre l'instruction donnée dans les Écoles de médecine, il sera établi dans l'hospice le plus fréquenté de chaque département un cours annuel et gratuit d'accouchement théorique et pratique, destiné particulièrement à l'instruction des sages-femmes. Le traitement du professeur et les frais du cours seront pris sur la rétribution payée pour la réception des officiers de santé.
Page 183 - A compter du 1er vendémiaire an xu, nul ne pourra embrasser la profession de médecin, de chirurgien ou d'officier de santé sans être examiné et reçu comme il sera prescrit par la présente loi. ART. 2. — Tous ceux qui obtiendront, à partir du commencement de l'an xii, le droit d'exercer l'art de guérir, porteront le titre de docteur...
Page 201 - Nous avons mûrement examiné ces institutions que nous nous proposons de réformer, et il nous a paru que le régime d'une autorité unique et absolue était incompatible avec nos intentions paternelles et avec l'esprit libéral de notre gouvernement. Que...
Page 172 - Trousset, qu'elle avait nommé commissaire pour examiner un mémoire sur la gélatine des os et son application à l'économie alimentaire, privée et publique, et principalement à l'économie de l'homme malade et indigent, par Al.
Page 220 - Histoire naturelle médicale et matière médicale ; 3° Anatomie et physiologie ; 4° Clinique interne et pathologie interne; 5° Clinique externe et pathologie externe; 6° Accouchements, maladies des femmes et des enfants.
Page 230 - Déterminer quelles sont les altérations des organes dans les maladies désignées sous le nom de fièvres continues ? , Quels sont les rapports qui existent entre les symptômes de ces maladies et les altérations observées ? Insister sur les vues thérapeutiques qui se déduisent de ces rapports.
Page 183 - L'un sur l'anatomie, — l'autre sur les éléments de la médecine, — le troisième sur la chirurgie, et les connaissances les plus usuelles de la pharmacie.
Page 183 - ART. 3. — Les docteurs en médecine et les chirurgiens reçus par les anciennes Facultés de médecine, les Collèges de chirurgie et les Communautés de chirurgiens continueront d'avoir le droit d'exercer l'art de guérir, comme par le passé.
Page 180 - M. Henri Gagnon portait une perruque poudrée, ronde, à trois rangs de boucles, parce qu'il était docteur en médecine, et docteur à la mode parmi les dames, accusé même d'avoir été l'amant de plusieurs, entre autres...
Page 181 - ... L'empirisme le plus dangereux, le charlatanisme le plus éhonté abusent partout de la crédulité et de la bonne foi. Aucune preuve de savoir et d'habileté n'est exigée. Ceux qui étudient depuis sept ans et demi dans les trois Écoles de médecine instituées par la loi du 14 frimaire an III, peuvent à peine faire constater les connaissances qu'ils ont acquises, et se distinguer des prétendus guérisseurs qu'on voit de toutes parts. Les campagnes et les villes sont également...