Histoire des Girondins, Volumes 3-4 |
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accusés âme amis appel armée avaient avant c'était cause citoyens comité commune convention corps côté coup cour crime Danton décret demande députés dernier devant Dieu dit-il donner Dumouriez enfants enfin ennemis faisait famille femme fille fils force foule frapper garde général génie Girondins gouvernement guerre heures hommes j'ai jacobins jeta jeune jour juges jusqu'à justice l'armée l'autre l'échafaud l'homme laisser leva liberté livres Louis XVI lui-même Lyon madame main maison Marat marche membres ment mille montagne mort mourir mouvement n'avait n'était nation nationale nature nuit parler paroles passer patrie patriotisme peine pendant pensée père peuple place porte pouvait premier présent prince prison propre publique qu'un regards reine répondit représentants républicains république reste révolution révolutionnaire Robespierre s'était salle salut public sang sauver semblait sentiment sera seul soldats sort supplice tête tion tombe tour tribunal tribune trouva tyran venait Vergniaud victimes ville voix vote voulait voyait yeux
Popular passages
Page 270 - Convention , si par ces insurrections toujours renaissantes il arrivait qu'on portât atteinte à la représentation nationale, je vous le déclare, au nom de la France entière, Paris serait anéanti. Bientôt on chercherait sur les rives de la Seine si Paris a existé.
Page 273 - S'il est des jours amers, il en est de si doux! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête? L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'Espérance.
Page 273 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui. Je ne veux point mourir encore.
Page 274 - Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson ; Et, comme le soleil, de saison en saison Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin, Je veux achever ma journée.
Page 22 - On vient de vous exposer mes moyens de défense ; je ne les renouvellerai point. En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver dans...
Page 415 - ... la haine des rois et l'unité de la République. » Les maisons nationales seront converties en casernes, les places publiques en ateliers d'armes, le sol des caves sera lessivé pour en extraire le salpêtre.
Page 176 - Le but du gouvernement constitutionnel est de conserver la République; celui du gouvernement révolutionnaire est de la fonder. La révolution est la guerre de la liberté contre ses ennemis; la constitution est le régime de la liberté victorieuse et paisible.
Page 18 - Dieu, qui doit marcher avant tout, de rester toujours unis entre eux, soumis et obéissants à leur mère , et reconnaissants de tous les soins et des peines qu'elle se donne pour eux , et en mémoire de moi. Je les prie de regarder ma sœur comme une seconde mère. Je recommande à mon fils , s'il avait le malheur de devenir roi , de songer qu'il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens ; qu'il doit oublier toutes les haines et tous les ressentiments, et nommément tout ce qui a rapport...
Page 19 - Je prie MM. de Malesherbes , Tronchet et Desèze , de recevoir ici tous mes remercîments , et l'expression de ma sensibilité, pour tous les soins et les peines qu'ils se sont donnés pour moi. « Je finis en déclarant devant Dieu , et prêt à paraître devant lui , que je ne me reproche aucun des crimes qui sont avancés contre moi.
Page 462 - C'est à vous, ma sœur, que j'écris pour la dernière fois. Je viens d'être condamnée, non pas à une mort honteuse, elle ne l'est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère ; comme lui innocente, j'espère montrer la même fermeté que lui dans ses derniers moments.