| French periodicals - 1828 - 686 pages
...de provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise ; moi, déterminé à veiller,...passée presque entière assez tranquillement , et je commencais à me rassurer , quand , sur l'heure où il me semblait que le jour ne pouvait être loin... | |
| French periodicals - 1828 - 688 pages
...de provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise ; moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis auprès. La nu il s'était déjà passée presque entière assez tranquillement , et je commençais à me rassurer... | |
| Paul-Louis Courier - French literature - 1830 - 478 pages
...échelle, c'était là le coucher qui nous attendait, espèce de nid , dans lequel on s'introduisait eh rampant sous des solives chargées de provisions pour...semblait que le jour ne pouvait être loin , j'entendis au dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer; et prêtant l'oreille par la cheminée... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 428 pages
...provisions pour i76 toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise. Moi, déterminé à veiller,...il me semblait que le jour ne pouvait être loin, j'e^ tendis au-dessous de moi notre hôte et sa femnw parler et se disputer; et prêtant l'oreille... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...de provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise; moi, déterminé à veiller,...je commençais à me rassurer, quand, sur l'heure ou il me semblait que le jour ne pouvait être loin, j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa... | |
| Edouard Salvador - Authors, French - 1845 - 320 pages
...provisions pour toute l'année. Mon » camarade y grimpa seul, et se coucha tout » endormi , la tête sur la précieuse valise. Moi, » déterminé à veiller,...passée presque » entière assez tranquillement, et je commen» çais à me rassurer, quand sur l'heure où il » me sernblaitquelejournepouvait être loin,... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1848 - 626 pages
...se coucha tout endormi , la tête sur la précieuse valise. Moi , déterminé à veiller, je fis hon feu , et m'assis auprès. La nuit s'était déjà...rassurer, quand sur l'heure où il me semblait que le jour ue pouvait être loin , j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer;... | |
| André Sears - 1850 - 426 pages
...de provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa20 seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise. Moi déterminé à veiller,...m'assis auprès. La nuit s'était déjà passée presque 21 entière assez tranquillement, et je commençais à me a rassurer, quand sur l'heure où il me semblait... | |
| Antonin Roche - French prose literature - 1854 - 704 pages
...provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul , et se coucha tout endormi , la tête sur sa précieuse valise. Moi, déterminé à veiller, je...parler et se disputer; et, prêtant l'oreille par lu cheminée, qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots du... | |
| G Ch F. Werner - 1854 - 196 pages
...valise. Moi déterminé à veiller, je fi» bon feu, et m'assis auprès. La nuit s'était déjà passé presque entière, assez tranquillement, et je commençais...il me semblait que le jour ne pouvait être loin, j'entendisau-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et disputer; et, prêtant l'oreille par... | |
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