Révolution française: histoire de dix ans, 1830-1840, Volume 5Pagnerre, 1849 - France |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Abd-el-Kader affaires Alibaud amis anglaise Arabes Arago Armand Carrel avaient Barbès Barrot Berne bourgeoisie c'était Cabinet cantons capital Carrel Chambre chef coalition Conseil Constantine Constantinople Cormenin Cour d'Oran débats déclaration demande démocratique dépêche devait Diète Directoire fédéral doctrinaires duc d'Orléans Émile de Girardin enfin ennemis eût Fieschi flotte force fût général Bugeaud général Desmichels gouvernement guerre Guizot haine hommes Ibrahim jour juillet l'ambassadeur l'amortissement l'Angleterre l'armée l'émir l'État l'Europe Laffitte laisser lord Palmerston lord Ponsonby Louis Bonaparte Louis-Philippe Mahmoud main maréchal Clauzel maréchal Soult Martin Bernard Méhémet Méhémet-Ali menace ment mesure ministres Molé monarchie Montalivet Montebello Morey mort n'avait n'était Odilon Barrot pacha pair paix passer passions Passy Pépin peuple politique Porte pouvait président presse prince Puissances qu'un question réfugiés rentes répondit reste révolution royauté Russie s'était sentiment serait soldats sorte Sublime-Porte Suisse sultan Syrie système Talleyrand Thiers tion tout-à-coup troupes Tuileries Turcs Turquie venait vice-roi
Popular passages
Page 50 - Pendant le sacrifice, et ta main pour signal Me doit au lieu d'encens, donner le coup fatal; La moitié de tes gens doit occuper la porte, L'autre moitié te suivre et te prêter main-forte.
Page 489 - L'Émir Abd-el-Kader reconnaît la souveraineté de la France en Afrique. ART. 2. La France se réserve, Dans la province d'Oran: Mostaganem, Mazagran et leurs territoires; Oran, Arzew, plus un territoire délimité : à l'est par la rivière de la Macta et le marais d'où elle sort; au sud, par une ligne partant du marais ci-dessus mentionné, passant par le bord sud du lac...
Page 489 - Le général nous rendra tous les déserteurs et les fera enchaîner. 11 ne recevra pas non plus les criminels. Le général commandant à Alger n'aura pas de pouvoir sur les Musulmans qui viendront auprès de lui avec le consentement de leurs chefs. 4* On ne pourra empêcher un Musulman de retourner chez lui quand il le voudra.
Page 490 - ART. 5. Les Arabes vivant sur le territoire français exerceront librement leur religion. Ils pourront y bâtir des mosquées , et suivre en tout point leur discipline religieuse , sous l'autorité de leurs chefs spirituels. ART.
Page 220 - ... de soutenir. Vous pouvez m'en croire , Messieurs, il a plu à Dieu de me faire connaître des joies et des douleurs qui laissent l'âme bien froide à tout autre plaisir et à tout autre mal...
Page 489 - A compter d'aujourd'hui , les hostilités cesseront entre les Français et les Arabes. 2° La religion et les usages des Musulmans seront respectés. 3" Les prisonniers français seront rendus. 4° Les marchés seront libres. 5° Tout déserteur français sera rendu par les Arabes. 6...
Page 486 - Tout en laissant à la Suisse le temps de se soustraire à de funestes et criminelles influences et de revenir, à ce système de modération et de justice dont ces...
Page 280 - ... rang, des places, tout cela rend si fier! Qu'avez-vous fait pour tant de biens? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus. Du reste, homme assez ordinaire; tandis que moi, morbleu ! perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer plus de science et de calculs, pour subsister seulement, qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes : et vous voulez jouter...
Page 477 - ... gouvernement , a reçu l'ordre d'y répondre de la manière suivante : Le gouvernement du roi a vu avec plaisir une démarche aussi conforme à la tranquillité intérieure de la Suisse qu'à l'intérêt bien entendu de ses rapports de droit international , et il n'a pas été moins satisfait de retrouver dans le discours prononcé par M. le président du Directoire, à l'ouverture de la Diète fédérale , les principes de la saine et loyale politique qui ont inspiré celte sage résolution.
Page 337 - Rome l'initiative de cette question de « l'évacuation d'Ancône, de ne jamais la soulever, et d'é« viter tout ce qui s'y rapporterait. Si vous étiez abso« lument obligé d'exprimer une opinion, elle devrait être « que le fait de la retraite des Autrichiens n'entraînerait « pas nécessairement celle de nos troupes. » Mais ces recommandations de M. Thiers se trouvaientelles conformes aux engagements pris? Oui, sans nul doute ; et, pour s'en convaincre, il suffît de remonter à l'origine...